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Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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REPONSES DE NATATATANKA


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1-

L'Astrolabe est un navire polaire français qui assure la logistique de la Terre Adélie (Antarctique) et celle des missions scientifiques françaises en Antarctique.

Propriété du groupe Bourbon, il est affrété par l'administration des TAAF et par l'Institut polaire français - Paul Émile Victor. Il est immatriculé sous le pavillon des Kerguelen.

Il peut transporter 48 passagers dans 13 cabines. Long de 65 mètres pour 12,80 mètres de largeur et 4,80 mètres de tirant d'eau, il possède une plateforme pour hélicoptère. Il est classé A, super navire polaire à capacité glace.

Il opère ses rotations pendant l'été austral vers la base Dumont d'Urville depuis le port d'Hobart (Tasmanie).

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   Posté le 11-11-2009 à 12:23:47   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

2-
La base Dumont d'Urville est une base scientifique française située sur l'île des Pétrels, en Terre Adélie, dans l'archipel de Pointe Géologie (66°39′46″S 140°0′5″E / -66.66278, 140.00139). Elle doit son nom à l'explorateur Jules Dumont d'Urville.

La base est gérée par l'Institut polaire français Paul-Émile Victor. Elle a été ouverte le 12 janvier 1956 pour remplacer la base Port Martin, détruite par le feu en 1952. La station peut accueillir de 30 à 40 personnes en hiver.

Sur la base se poursuivent des travaux scientifiques de portée internationale. Par exemple, en 1987, les scientifiques de la base effectuaient des carottages de glace prélevés à de grandes profondeurs et testés en laboratoire, des lancers de ballons pour mieux connaître les mouvements atmosphériques, des tirs de fusées à 350 kilomètres d'altitude pour l'étude de l'ionosphère…

C'est aussi dans cette base qu'ont travaillé les deux caméramans du film La Marche de l'empereur.

La glace et les forts vents empêchant les avions d'atterrir, on accède à la base par Zodiac ou par hélicoptère. Le personnel sur la base est en moyenne de 30 en hiver et entre 70 et 120 en été. Le navire de ravitaillement L'Astrolabe apporte provisions et personnel cinq fois par an entre novembre et mars.

Dans les années 1990 une piste, nommée piste du lion, a été construite entre les petites îles Cuvier, île du Lion et îles Buffon, à proximité immédiate de l'île de Pétrels. Cette construction a nécessité un dynamitage d'aplanissement de ces îles et un remblaiement pour les relier. Cependant la DGAC en refusera l'homologation en 1994 à cause de la qualité des granulats utilisés dans la construction et la piste fut officiellement abandonnée par décret ministériel en 1996. Le coût financier de son entretien et la polémique internationale suscitée par sa création sont aussi avancées comme explications de cet abandon. Le but était, grâce à une piste de 1100 mètres de long, de pouvoir relier l'Australie à la Terre Adélie par avion militaire cargo.

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3-

L'île des Pétrels est une île française faisant partie de l'archipel de Pointe Géologie et située dans le district de Terre Adélie des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). L'île des Pétrels est située à 5 kilomètres du continent Antarctique.

La région a été decouverte en 1840 par le commandant de exploration antarcique française Jules Dumont d'Urville.

L'île des Pétrels abrite la principale base française en Antarctique, la base antarctique Dumont d'Urville qui est habitée en permanence par une trentaine de personnes (une soixantaine en été depuis 1956.

La Terre Adélie en fait une tranche du continent Antarctique qui est non reconnu internationalement comme étant de souveraineté française. Le territoire est lié par le traité de l'Antarctique, mais dont la France conserve ses revendications, suspendues seulement pour la durée de validité du traité.


Jules-Sébastien-César Dumont d’Urville


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   Posté le 11-11-2009 à 16:26:51   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

4-

L'Antarctique est le continent le plus méridional de la Terre. Situé au pôle Sud, il est entouré de l'océan Austral ou océan Antarctique. Il est aussi bordé par la mer de Ross et la mer de Weddell.

Avec une superficie de 14 millions de kilomètres carrés[1], l’Antarctique est plus petit que l’Asie, l’Afrique et l’Amérique ; seules l'Europe et l'Océanie sont plus petites que lui. Quelque 98 % de sa surface sont recouverts d'une couche de glace faisant en moyenne 1,6 km d'épaisseur.

L'Antarctique est le continent le plus froid, le plus sec et le plus venteux. Puisqu'il n'y tombe que peu de précipitations, excepté sur les côtes, l'intérieur du continent constitue techniquement le plus grand désert du monde. Il n'y a pas de population humaine permanente, et l'Antarctique n'a jamais connu de population indigène. Seuls des plantes et des animaux adaptés au froid y survivent, y compris des manchots, des phoques, des mousses, du lichen et de nombreux types d'algues.

Le nom Antarctique vient du grec ἀνταρκτικός (antarktikós), qui signifie « opposé à l’Arctique ». Bien que des mythes et des spéculations concernant une Terra Australis (« Terre Australe » remontent à l'Antiquité, on considère en général que le continent a été aperçu pour la première fois en 1820 par l'expédition russe de Mikhaïl Lazarev et Fabian Gottlieb von Bellingshausen. Cependant, le continent resta globalement négligé durant le reste du XIXe siècle, du fait de son environnement hostile, de son manque supposé de ressources, et de son emplacement isolé.

Le traité sur l'Antarctique a été signé en 1959 par douze États. Il a été complété en 1991 par le Protocole au Traité sur l'Antarctique relatif à la protection de l'environnement en Antarctique. Il interdit les activités militaires, l'exploitation des ressources minérales sauf celles qui sont menées à des fins scientifiques. Il accorde la priorité aux activités de recherche scientifique. Les expériences en cours sont effectuées par plus de 4 000 scientifiques de diverses nationalités et ayant des intérêts différents. Il existe aussi une Convention pour la Conservation des Ressources Marines Vivantes de l'Antarctique (ou « CCAMLR »

L’histoire de l’Antarctique commence dans le monde occidental par la théorie de la Terra Australis, un vaste continent au sud du globe. Le passage du cap Horn et du cap de Bonne-Espérance au XVe siècle et XVIe siècle démontra que la Terra Australis Incognita (Terre australe inconnue) existait bel et bien. En 1773, James Cook franchit le cercle polaire antarctique pour la première fois. Il ne s'approcha cependant pas suffisamment du continent pour le voir et ne découvrit que quelques îles.

En 1820, plusieurs expéditions déclarèrent avoir été les premières à voir l'Antarctique. Le premier à toucher terre fut probablement le capitaine d'un vaisseau américain de chasse aux phoques, John Davis, en 1821. Une fois que le pôle Nord fut atteint, ce fut au tour du pôle Sud d'attirer les explorateurs. Après bien des tentatives infructueuses et des victimes, le Norvégien Roald Amundsen fut le premier à y poser le pied en décembre 1911. Son concurrent dans cette course, le Britannique Robert Falcon Scott, perdit la vie dans l'aventure.


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   Posté le 13-11-2009 à 18:24:28   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

5-

En 1519, Magellan part d'Espagne avec une expédition qui a pour but de rejoindre les îles aux épices à l'ouest de l'Amérique. Magellan sous-estimait alors l'importance de l'océan Pacifique. En longeant la côte est de l'Amérique du Sud, il espérait trouver un passage vers l'ouest par l'estuaire du rio de la Plata. Mais lorsque Magellan franchit le détroit qui porte aujourd'hui son nom, il ne pouvait pas savoir si la Terre de Feu était une île ou l'extrémité d'un continent austral.

En 1578, ce doute fut levé par Francis Drake lors de son tour du monde. Il passa au sud de la Terre de Feu et en déduisit que s'il y avait un continent austral, il serait plus au sud dans l'hiver perpétuel. Les cartographes européens laissèrent ensuite libre cours à leur imagination et dessinèrent des terres dans cette vaste région inconnue qu'était alors le sud des océans Pacifique, Atlantique et Indien. Ils utilisèrent le terme Terra Australis Incognita (« Terre inconnue australe » et elle devint une obsession pour les navigateurs des XVIe et XVIIe siècles.


Carte de 1771 montrant une Terra Australis au contour vaguePlusieurs expéditions, menées notamment par des navigateurs hollandais, eurent ensuite lieu dans le sud. Schouten et Le Maire redécouvrirent ainsi l'extrémité de la Terre de Feu et la nommèrent cap Horn en 1615. Quirós, en 1606, prit possession au nom du roi d'Espagne de toutes les terres qu'il avait découvertes en Australia del Espiritu Santo (plus grande île du Vanuatu) et de toutes celles qu'il découvrirait, « même jusqu'au pôle ». Abel Tasman démontra en 1642 que la Nouvelle-Hollande (Australie) était séparée d'un quelconque continent austral par la mer. D'autres expéditions permirent de découvrir la Nouvelle-Zélande ainsi que d'autres îles australes.

Les navires passant par le cap Horn rencontraient fréquemment des vents contraires et dérivaient vers le sud ; les marins rapportaient par la suite avoir vu une mer remplie de glace. En général, les découvertes faites avant 1750 près du cercle polaire furent ainsi totalement accidentelles. Aucune ne peut prouver qu'elle franchit le cercle polaire antarctique avant 1770. L'histoire de la découverte de terres à 64° S par Dirck Gerritz Pomp à bord du Blijde Boodschap en 1599 semble en effet être une erreur du traducteur Kasper Barlaeus en 1622. De même, un autre récit évoquant des « montagnes couvertes de neige » au-delà de 64° S fait en 1603 par le navigateur espagnol Gabriel de Castilla[6] ne peut être confirmé. Une controverse fut également soulevée quant à savoir si l'île de Géorgie du Sud fut repérée par La Roche en 1675.

En 1698, Edmond Halley au commande du HMS Paramore partit effectuer des relevés sur le champ magnétique terrestre dans l’Atlantique sud. Le navire rencontra la glace à 52° S en janvier 1700, au point le plus austral de son périple. Un autre voyage antérieur à 1770 eut aussi lieu dans ce secteur : celui du capitaine de la Marine française Jean-Baptiste Charles Bouvet de Lozier. Partant des récits semi-légendaires du sieur de Gonneville, il se rendit jusqu’à 55° S en 1738 afin de découvrir les terres australes. À partir de 48° S, il navigua dans des eaux parsemées de glaces et d'icebergs, ne découvrant que l'île Bouvet à 54°10' S.

En 1771, Yves Joseph de Kerguelen de Trémarec partit de France avec instructions de se rendre au sud de l'île Maurice et de rechercher « un très grand continent ». Il fit escale à 50° S sur une terre qu'il nomma « France australe » et qu'il croyait être la partie centrale du continent austral. Lors d'un voyage ultérieur pour parfaire son exploration, il découvrit qu'il ne s'agissait que d'un archipel formé d'îles inhospitalières. James Cook les rebaptisa « îles de la Désolation » trois ans plus tard, puis îles Kerguelen[7] en l'honneur de l'officier français.

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   Posté le 13-11-2009 à 18:28:36   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

6-

En 1820, plusieurs expéditions déclarèrent avoir été les premières à voir l'Antarctique. Le premier à toucher terre fut probablement le capitaine d'un vaisseau américain de chasse aux phoques, John Davis, en 1821. Une fois que le pôle Nord fut atteint, ce fut au tour du pôle Sud d'attirer les explorateurs. Après bien des tentatives infructueuses et des victimes, le Norvégien Roald Amundsen fut le premier à y poser le pied en décembre 1911. Son concurrent dans cette course, le Britannique Robert Falcon Scott, perdit la vie dans l'aventure.

L'Antarctique, il y a 200 Ma était une partie du supercontinent Gondwana. Il y a 160 millions d'années (Jurassique supérieur), le Gondwana commence à se scinder lorsqu'un rift sépare l'Afrique de l'Inde. Il y a 125 millions d'années, l'Inde se détache entièrement puis, il y a 80 millions d'années c'est au tour du bloc austral contenant la Nouvelle-Zélande, l'Australie et l'Antarctique. L'Australie se sépare de l'Antarctique il y a environ 50 millions d'années. Ce n’est qu’il y a environ 25 millions d’années, avec l’ouverture du passage de Drake entre la péninsule Antarctique et l’Amérique du Sud, que ce continent s’est retrouvé complètement isolé.

En dérivant vers le sud, des courants marins froids, dit circumpolaires, entourent ce nouveau continent. Celui-ci, en plus des nuits polaires, subit des hivers de plus en plus rigoureux : l'Antarctique finit ainsi par se couvrir de glace et toute vie y disparaît. Il sera le dernier continent conquis par l'espèce humaine.

En 1968, des traces assez confuses d'un fossile ont été trouvées au Graphite Peak à 650 km du pôle sud, complétées ensuite par l'expédition Colbert[1].

En 1991, des paléontologistes ont découvert la première espèce endémique de dinosaure d'Antarctique, le Cryolophosaurus ellioti. Certains estiment que cette faune, habituée à vivre dans le froid et sans lumière auraient pu résister à l'extinction du Crétacé.

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   Posté le 13-11-2009 à 18:34:29   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

7-

Certains états maintiennent une présence humaine permanente ou semi-permanente, dans des bases à vocation essentiellement scientifique. Ces bases sont ravitaillées par la mer pendant l'été polaire, lorsque le retrait ou la diminution de l'épaisseur de la banquise permet aux navires de s'approcher suffisamment des côtes.

Des expéditions scientifiques sont notamment envoyées dans le cadre du programme ANSMET pour la recherche et la récolte de météorites, disponibles en quantité sur le continent.

La beauté des paysages et la richesse de la faune favorisent une certaine activité touristique. Un tourisme d'échelle réduite existe depuis 1957. Il est régulé en grande partie par l'IAATO (Association Internationale des Tour Operators d'Antarctique). Selon cette organisation, environ 27 950 touristes ont visité l'Antarctique pendant la saison estivale 2004–2005, et ce nombre pourrait croître jusqu'à 80 000 par an d'ici 2010.[3]

Des gisements de charbon, d'hydrocarbure, de nickel ou d'or ont été découverts, mais pas en quantités suffisantes pour permettre une exploitation rentable, et le Protocole de Madrid de 1991 limite par ailleurs une éventuelle exploitation des ressources naturelles de l'Antarctique.

Dernière terra nullius de la planète, le continent antarctique fait actuellement l'objet d'un régime juridique défini par le Traité sur l'Antarctique de 1959. Ce traité reconnaît le continent comme une terre propice à la recherche scientifique, et dans ce cadre, à la coopération internationale.

Le Traité sur l'Antarctique établit également un « gel » des prétentions territoriales. En effet, en raison de la proximité géographique de leur métropole ou par intérêt géostratégique ou économique (au vu des probables ressources naturelles que comporte son sous-sol), des États ont revendiqué des portions du continent.

La plupart des portions sont des sortes de tranches partant du pôle Sud, allant jusqu'à l'océan, et dont les bords sont des méridiens. Dans certains cas, ces secteurs sont même revendiqués par plusieurs États (la péninsule Antarctique est ainsi revendiquée par l'Argentine, le Chili et le Royaume-Uni).

Le Traité sur l'Antarctique organise un « gel » des prétentions territoriales ainsi émises. Cela signifie que la France, par exemple, peut continuer à affirmer que la Terre Adélie relève du droit français alors que d'autres États, au contraire, pourront considérer que l'Antarctique est un espace international.

À l’heure actuelle, sept pays ont revendiqué des parties du continent Antarctique. Depuis la signature du traité sur l’Antarctique en 1961, ces revendications ont été ajournées sur la totalité des terres au sud du parallèle de 60°S et la plupart des pays du globe ne les reconnaissent pas. Aucune autre nation n’a émis de revendication (bien que les États-Unis et la Russie se soient réservés le droit d’en faire).

En l’absence de reconnaissance internationale, ces revendications sont d’une pertinence limitée, sans compter que le continent a été dédié aux missions scientifiques et que toute mission peut s’installer dans n’importe quel endroit, mais elles sont néanmoins signalées comme partie intégrante de leur territoire par les pays concernés. Ainsi, des bases scientifiques ont été installées dans les secteurs revendiqués par d’autres pays, tels la Chine, l’Afrique du Sud, le Japon, les États-Unis (au pôle Sud), ou par des pays renvendiquant d’autres secteurs (comme la base franco-italienne Concordia, dans le secteur australien).

À l’exception de l’île Pierre Ier, toutes les revendications ont pris la forme de secteurs s’étendant jusqu’au pôle Sud, délimités par des degrés de longitude. Aucune revendication n’a été formellement établie entre 150°W et 90°W.

En outre, le Brésil a déclaré en 1986 le secteur compris entre 53°W et 28°W (Antártida Brasileira (pt)) comme une « zone d’intérêt. »

Au cours du XXe siècle, plusieurs nations ont émis des revendications territoriales sur le continent Antarctique.

Ces revendications ont actuellement peu d'intérêt pratique du fait de la signature du traité sur l'Antarctique en 1961 par les nations en question, mais elles continuent généralement d'être observées par les cartographes.

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8-
En 2007, selon Mark Meier de l'Université du Colorado (Boulder, États-Unis), la fonte des glaces du Groenland et de l'Antarctique ne contribuerait, pour le siècle en cours, qu'à hauteurs respectives de 28 % et 12 % à l'élévation du niveau des mers. Ce serait plutôt les petits glaciers du monde, qui, fondant désormais à une vitesse accélérée, contribueraient actuellement à des apports excédentaires de 417 milliards de mètres cubes en eau par an, et devraient rester les plus gros contributeurs jusqu'à la fin du siècle. Alors le niveau marin se sera élevé de 10 à 25 cm.

L'ARENA (Antarctic Research, a European Network for Astrophysics) est un programme européen de recherche en astrophysique situé en antarctique. Soutenu par le CNRS en ce qui concerne la France, et par chaque organe de recherche national des États membres de l'Europe.


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9-

Faune


L'Antarctique est l'une des huit écozones ou régions biogéographiques terrestres.

L’océan Antarctique contient une biomasse importante grâce à des eaux très riches en nutriments et en oxygène. Une véritable frontière de brume le sépare des autres océans quand la température passe en quelques kilomètres de 6 à 16 °C en moyenne.

La faune marine, très poissonneuse, comprend également :

cachalots
calmars
dauphins
orques
rorquals
et surtout le krill, constitué de petits crustacés, qui est la nourriture de base des baleines, manchots, phoques.
Les côtes et les îles renferment de nombreux oiseaux :

albatros
cormorans
fulmars
manchots
pétrels
Enfin, plusieurs espèces de phoques peuplent le littoral. En revanche, il n'y a que très peu d'animaux au milieu des terres continentales, et ceux-ci restent proches d'organismes microscopiques.




Flore
Le climat de la région antarctique ne permet pas une végétation dense. En effet, les températures glaciales, la pauvre qualité du sol, le manque d'humidité et de luminosité empêchent les plantes de se développer. La flore antarctique se limite principalement à quelques mousses et hépatiques.


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10-

Le réchauffement climatique, également appelé réchauffement planétaire, ou réchauffement global[1], est un phénomène d'augmentation de la température moyenne des océans et de l'atmosphère, à l'échelle mondiale et sur plusieurs années. Dans son acception commune, ce terme est appliqué au changement climatique observé depuis environ 25 ans, c'est-à-dire depuis la fin du XXe siècle.

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est chargé d'établir un consensus scientifique sur cette question. Son dernier et quatrième rapport, auquel ont participé plus de 2 500 scientifiques de 130 pays[2], affirme que la probabilité que le réchauffement climatique depuis 1950 soit d'origine humaine est de plus de 90 %[3]. Ces conclusions ont été approuvées par plus de 40 sociétés scientifiques et académies des sciences, y compris l'ensemble des académies nationales des sciences des grands pays industrialisés.

Le climat global de la Terre connaît des modifications plus ou moins cycliques de réchauffements alternant avec des refroidissements qui diffèrent par leur durée (de quelques milliers à plusieurs millions d'années) et par leur amplitude. Depuis 800 000 ans, le climat terrestre a connu plusieurs de ces cycles. Plusieurs cycles de 100 000 ans environ se sont répétés au cours de cette période. Chaque cycle commence par un réchauffement brutal suivi d’une période chaude de 10 000 à 20 000 ans environ, appelée période interglaciaire. Cette période est suivie par un refroidissement progressif et l'installation d’une ère glaciaire. À la fin de la glaciation, un réchauffement brutal amorce un nouveau cycle. Nous vivons actuellement depuis plus de 10 000 ans dans une période interglaciaire (voir figure).

Grâce à l'étude des carottages de glace et plus précisément de l'analyse de la composition isotopique de l'oxygène piégé dans la glace, les températures atmosphériques des cycles glaciaires de l’ère quaternaire ont pu être reconstituées[6]. La carotte glaciaire la plus profonde a été forée dans le cadre du projet Epica, en Antarctique, à plus de 3 500 mètres de profondeur et permettant de remonter l'histoire du climat en Antarctique jusqu'à 800 000 ans[7]. Les carottes de glace contiennent des bulles d'air et des indications sur la teneur en gaz de l'atmosphère d'autrefois, ce qui montre que les températures globales sont liées à la quantité de gaz à effet de serre dans l'atmosphère[réf. nécessaire].

Les variations du climat sont corrélées avec celles de l'insolation, des paramètres de Milanković, de l'albédo, des cycles solaires et des concentrations dans l'atmosphère des gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone et des aérosols.

Au cours du quaternaire, l'amplitude thermique a été de l'ordre de 10 °C, mais avec des hausses de température n'ayant jamais dépassé de plus de 4 °C la température moyenne annuelle de la fin du XXe siècle.
En revanche pour les cycles plus anciens, comme durant le Permien, la température moyenne globale a atteint 22 °C soit 8 °C de plus par rapport à la moyenne actuelle, comme on peut le voir sur le graphique ci-contre. Durant ces périodes chaudes qui ont duré plusieurs dizaines de millions d'années, la Terre était dépourvue de calottes polaires.

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11-

http://www.youtube.com/v/uzb50xpblAQ&hl=fr_FR&fs=1&rel=0&border=1

http://www.youtube.com/v/jL41EezDNvg&hl=fr_FR&fs=1&rel=0&border=1

http://www.dailymotion.com/swf/x6ag3z&related=0

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Fin de la rando antartica


Wolf-Samantha
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   Posté le 16-11-2009 à 18:24:22   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

Natatatanka très belle rando réussie félicitation, un grand très bonne documentation de superbes belles photos avec beaucoup de recherches beaux montages de jolies vidéos interressantes toujours un plaisir de lire tes randos je vois qu'elle t'a beaucoup plut alors tu n'as pas eu trop froid je suis fière de toi

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