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 LOUP BLANC

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Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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REPONSES DE LOUP BLANC


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La Grande Louve Grise
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loup blanc
Le loup qui hurle
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   Posté le 07-04-2011 à 18:38:55   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

1ère question


loup blanc
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   Posté le 07-04-2011 à 18:42:59   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

2ème question


Le Grand port maritime de Dunkerque (GPMD) est un établissement public de l'État financièrement autonome et ayant la personnalité civile, l'établissement est dirigé par un directoire de 3 personnes. Le port de Dunkerque présente un des revirements de tendance les plus remarqués du monde portuaire français. Transformé dans les années 1960-70 (extension vers l’ouest-17 km) et plus récemment socialement et économiquement, le port autonome a vécu des années 1990 difficiles. Il a réussi un repositionnement vers des marchandises à plus forte valeur ajoutée (conteneurs, rouliers, produits frais) notamment en gagnant la confiance de grands opérateurs. De longue date port industriel, Dunkerque cherche aujourd’hui à cultiver sa place dans les réseaux logistiques internationaux et européens. Les principales ressources du GPMD proviennent :
des droits de ports perçus sur les navires, les passagers et les marchandises ;
de l’utilisation par les entreprises des installations et équipements portuaires ;
des recettes domaniales (locations de terrain).
Le GPMD est en charge :
la réalisation, l'exploitation et l'entretien des accès maritimes ;
la police, la sécurité et la sûreté du port ;
la gestion du domaine ;
la gestion et la préservation des espaces dont il est propriétaire ou gestionnaire ;
la construction et l'entretien des infrastructures portuaires ;
la promotion de l'offre de désertes ferroviaires et fluviales ;
l'aménagement et la gestion de l'aire industrielle ou logistique liée à l'activité portuaire ;
les actions en faveur de la promotion générale du port.
Actuellement, Dunkerque est le :
premier port français d’importations de minerais et de charbon ;
premier port français de trafic de fruits ;
premier port français du trafic hors produits pétroliers ;
deuxième port français pour les échanges avec la Grande-Bretagne.
En termes de volume de marchandises, au GPMD en 2009, ont transité :
pour les vracs liquides, 12,4 millions de tonnes,
pour les vracs solides, 17,5 millions de tonnes,
pour les marchandises divers, 15,1 millions de tonnes,
soit un total de 45 millions de tonnes de marchandises (pour un trafic de 6 540 navires), ce qui représente une diminution de 22 % par rapport à l’année 2008.
Depuis plusieurs années, le port autonome de Dunkerque fait preuve d’initiative dans ses secteurs d’activités : partenariat public/privé dans certains terminaux, engagement dans le feeder et le fluvial… Comme les autres ports européens, le port de Dunkerque se doit de conforter ses trafics, extrêmement industriels, et simultanément de développer des marchés stratégiques et porteurs. La conteneurisation, la logistique, l’automobile, le roulier transmanche, et pourquoi demain les autoroutes de la mer représentant autant de marchés potentiels pour le GPMD.





loup blanc
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   Posté le 07-04-2011 à 18:48:26   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

3ème question


Dunkerque est une commune française de 72 333 habitants, sous-préfecture du département du Nord et de la région Nord-Pas-de-Calais. La ville est baignée par la mer du Nord et plusieurs canaux. Ses habitants sont appelés les Dunkerquois et les Dunkerquoises.
La ville et ses alentours ont appartenu au comté de Flandre et ils relèvent de la zone linguistique flamande. L'histoire de la « cité de Jean Bart » est liée à la mer : à l'origine, Dunkerque était un village de pêcheurs construit à l'extrémité ouest d'une île longue et étroite « à la frisonne » comprenant l'abbaye des Dunes de Coxyde (d'où le nom : en ouest-flamand duun-kerke = église des dunes) et allant jusqu'à Oostduinkerke qui était à l'époque au bord d'une anse de l'Yser. Des siècles plus tard, la ville abrita des corsaires dont le célèbre Jean Bart, héros de la bataille du Texel. De par sa position sur la mer du Nord, Dunkerque a souvent suscité les convoitises, elle fut le théâtre de nombreuses opérations militaires. Demeurée aux mains des alliés durant la Première Guerre mondiale, elle fut sévèrement bombardée par les Allemands conscient du rôle primordial du port. Au cours de la Seconde Guerre mondiale elle fut le théâtre de l'opération Dynamo. Sortie anéantie de cette guerre, la ville doit son salut à l'installation dans son port de l'usine sidérurgique Usinor qui accéléra sa reconstruction et son développement.
De nos jours, Dunkerque est le cœur d'une agglomération de 200 000 habitants. C'est la première plate-forme énergétique du Nord-Pas-de-Calais et l'un des pôles économiques de la région notamment grâce à son port, le troisième de France : trafic minéralier et pétrolier, porte-conteneurs, production d'acier.
Elle est aussi connue pour son carnaval, festivités s'étalant sur une période comprise entre janvier et mars, où les habitants se réunissent dans les rues aux rythmes de la fanfare guidée par le « tambour-major ».
Les quartiers de Dunkerque :
La ville est composée de plusieurs quartiers : Dunkerque-Centre, Dunkerque-Sud, Malo-les-Bains, Petite-Synthe, Rosendaël, Glacis-Victoire ; et des communes associées : Fort-Mardyck, Mardyck et Saint-Pol-sur-Mer.
Les quartiers historiques
Dunkerque-Centre et Glacis-Victoire
C'est le quartier central de Dunkerque, il contient l'hôtel de ville, la gare, les principaux pôles commerciaux (Pôle et Centre Marine) et plusieurs établissements scolaires. Il abrite également les ports de plaisances. Historiquement, c'est le berceau de la ville.
En janvier 2009, Glacis-Victoire a été détaché de Dunkerque-Centre afin de constituer un quartier à lui tout seul.
Dunkerque-Sud
Le quartier est situé au sud-ouest du centre-ville. Il en majorité composé d'habitations à loyer modéré. Historiquement, il correspond aux limites des fortifications qui entouraient la ville. Sa superficie est de 1,1 km2 et il abrite 6 724 habitants en 1999.
Malo-les-Bains
Le quartier est une station balnéaire depuis plus de 100 ans. Il est réputé pour sa plage « la reine des plages du Nord » longue de 4 kilomètres ainsi que son casino et son palais des congrès : le Kursaal. Le quartier appartient à Dunkerque depuis le 17 décembre 1969, date à laquelle les deux villes ont fusionné. La superficie du quartier est de 3,76 km2 et, en 1999, 16 182 Dunkerquois y vivaient.
Rosendaël
La « vallée des roses » a fêté son tricentenaire en 2010, ce quartier contient le centre hospitalier et le complexe sportif Stades de Flandres/Stade Tribut. Tout comme Malo, Rosendaël a fusionné avec Dunkerque le 8 octobre 1971.En 1999, Rosendaël comptait 18 272 habitants, vivant sur une superficie de 3,97 km2
Petite-Synthe
Le quartier le plus étendu de Dunkerque, il contient une zone commerciale et une zone industrielle. La ville a fusionné le même jour que Rosendaël avec Dunkerque. En 1999, les Dunkerquois étaient 16 700 à vivre à Petite-Synthe, répartis sur une superficie de 11,45 km

Risques principaux :
Les principaux risques qui pèsent sur Dunkerque sont de deux types.
Le premier risque est le risque industriel. En effet, la ville de Dunkerque compte sur son territoire quatre établissements classés SEVESO II auxquels s'ajoutent neuf autres établissements répartis dans les autres villes de la communauté urbaine. Il y a, entre autres, des raffineries, une aciérie (Arcelor-Dunkerque), une usine de fabrication d'aluminium (Alcan-Aluminium Dunkerque) et des fabricants de polymères plus particulièrement de polyéthylène (Polimeri Europa France). Les risques engendrés par un incident dans l'un de ces établissements sont l'effet de souffle dû à une explosion, la déflagration due à cette même explosion (ainsi que les incendies qu'elle causerait) et le rejet de produits chimiques dans l'environnement (eau ou air). De plus, compte tenu du fait que ces établissements sont pour la plupart voisins, une explosion dans l'un dans eux pourrait entrainer une réaction en chaine cataclysmique.
La ville de Dunkerque est également soumise au risque d'incident nucléaire en raison de la centrale nucléaire de Gravelines qui est située à environ 20 km du centre-ville. Selon l'autorité de sûreté nucléaire, un accident ne nécessiterait pas l'évacuation immédiate de la population puisque la totalité de la ville se trouve à plus de 10 km de la centrale. Cependant, l'évacuation à plus ou moins long terme serait inévitable en raison de la quantité de retombées radioactives poussées par les vents.
Le second risque est dû à la mer. L'élévation du niveau de la mer est doublement problématique. Si le niveau de la mer s'élève trop, le canal exutoire ne pourra plus évacuer à marée basse les eaux provenant des différents canaux et ce malgré les pompes, ce qui impliquerait de stocker l'eau dans le canal exutoire jusqu'au moment où la ville se noiera sous ces eaux. D'un autre côté si le niveau de la mer est trop important, il peut entraîner la rupture des digues ou tout simplement permettre à l'eau de mer de passer par dessus celles-ci et cette fois ce serait l'eau de mer qui noierait la ville.






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   Posté le 07-04-2011 à 18:51:41   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

4ème question


Le tunnel sous la Manche (en anglais, The Channel Tunnel ou Chunnel) est un tunnel reliant le sud-est de l'Angleterre et le nord de la France. Composé de deux tubes parcourus par des trains, et d'un tube de service plus petit, il est long de 50,5 kilomètres. Il est exploité par la société franco-britannique Eurotunnel.
C'est actuellement le tunnel ayant la section sous-marine la plus longue du monde. Il est légèrement moins long que le tunnel du Seikan entre les iles d'Honshu et Hokkaido au Japon, mais comporte un tronçon de 37 km sous le fond marin (le tronçon sous-marin du tunnel du Seikan mesure 23,3 km).
Sa construction a été réalisée par TransManche Link (TML), consortium de dix entreprises de BTP (cinq françaises et cinq britanniques). Il est ouvert au service commercial depuis mai 1994.
Le service navette d'Eurotunnel permet la traversée des véhicules routiers et de leurs passagers sur des trains adaptés, en environ 35 minutes. La traversée des voyageurs sans véhicule est assurée par des trains Eurostar, de type TGV et conçus spécialement pour cette ligne. À l'origine du projet du tunnel, il était aussi prévu la circulation de trains de nuit. Des voitures-lit (voitures « Nightstar » ont été conçues et construites pour ce service mais elles n'ont jamais été utilisées pour cela (elles ont été revendues à l'opérateur canadien Via Rail Canada).
Le tunnel à ses deux extrémités est relié :
au réseau autoroutier (A16 en France et M20 (en) en Angleterre) et routier ;
au réseau de chemin de fer « classique » (pas à grande vitesse) pour les trains de fret et côté britannique pour les trains Eurostar avant l'ouverture de la LGV britannique ;
au réseau de chemin de fer à grande vitesse (LGV Nord côté français et High Speed 1 côté britannique) pour les trains à grande vitesse. La LGV britannique peut aussi être utilisée par des trains de fret au gabarit continental qui est plus large que le gabarit britannique.
Une des difficultés de la solution en tunnel était l'incertitude géologique 11 et la gestion du risque sismique, difficulté amoindries pour la solution "pont", mais qui génère d'autres problèmes (dont risques de collision dans un détroit qui compte parmi les plus fréquentés au monde par le trafic maritime) En 1979, les deux sociétés ferroviaires nationales essaient en vain de relancer une nouvelle fois le projet de tunnel ferroviaire. Il faut attendre le sommet franco-britannique des 10 et 11 septembre 1981 pour que le projet soit repris. Un nouveau groupe d’experts est créé qui se prononce sur un double tunnel ferroviaire. Un groupement de cinq banques françaises et britanniques abondent en ce sens en soutenant que pour ce projet il faut une garantie des États. Ce point est refusé par Margaret Thatcher. De plus, le fait d’avoir des fonds privés permet d’éviter les abandons suite à des décisions des gouvernements. Le 2 avril 1985, les gouvernements fixent au 31 octobre la date limite pour que les promoteurs proposent des liens fixes trans-manche pour véhicules routiers et ferroviaires.

Quatre projets furent proposés :
Europont : il s’agissait d’un pont-tube de 37 km soutenu par 8 pylônes de 340 m de hauteur, faisant appel à des techniques nouvelles, avec des travées longues de 5 km suspendues à des câbles en kevlar. Le pont aurait deux niveaux de 6 voies chacun. Une liaison ferroviaire serait faite par tunnel. Le coût était évalué à 68 milliards de francs.
Euroroute : c’était un ensemble routier pont-tunnel-pont. Les ponts à haubans avec des travées de 500 mètres de portée reliant des îles artificielles à la côte, et un tunnel ferroviaire de 21 km sous le fond de la mer. Des rampes hélicoïdales permettent le passage du pont au tunnel. Une liaison ferroviaire indépendante passe par deux tunnels. Le coût était évalué à 54 milliards de francs hors frais financiers.
Transmanche Express : ce projet a été présenté à la dernière minute par la société British Ferries. Il comprenait un ensemble de quatre tunnels (deux routiers et deux ferroviaires) unidirectionnels. Deux îles artificielles seraient créées pour assurer la ventilation des tunnels routiers via des puits. Le coût annoncé est de 30 milliards de francs.
Eurotunnel : dans ses grandes lignes, ce projet reprenait celui de 1972 – 1975, d’un double tunnel ferroviaire avec un troisième tunnel de service. Ce projet a un coût estimé à 30 milliards de francs.
Le premier projet est écarté par crainte de collision avec les navires ainsi que l’utilisation de techniques non maîtrisées. Le troisième projet reçoit un avis défavorable car le système d’aération est considéré comme insuffisant et le coût semble sous-évalué. Restaient donc en compétition les projets Euroroute et Eurotunnel. Ce dernier fut sélectionné du fait de son coût inférieur mais également pour son impact jugé plus faible sur l’environnement et l’utilisation de techniques éprouvées. Le choix est entériné le 20 janvier 1986 par le premier ministre britannique Margaret Thatcher et le président français François Mitterrand.
Une étude d’impact est faite. Le projet est soumis à enquête publique et assorti de mesures compensatoires et conservatoires ;
L’inauguration officielle du tunnel par la reine Elizabeth II et le président François Mitterrand a lieu le 6 mai 1994






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   Posté le 07-04-2011 à 18:56:15   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

5ème question


Douai est une commune française du département du Nord et de la région Nord-Pas-de-Calais, située dans le sud de la Flandre romane.
Les habitants de Douai sont les Douaisiens. La région s'appelle le Douaisis.
Le nom jeté des habitants est les « ventres d'osier » (vint' d'osier en chti) en raison de la matière dont sont faits les géants locaux (la famille Gayant).
Culture et patrimoine :
Douai est classée ville d'art et d'histoire.
Douai conserve des vestiges de son passé militaire, par ses fortifications (porte de Valenciennes, porte d'Arras, tour des Dames), mais aussi son arsenal, sa fonderie de canons, ses casernes.
Le beffroi de Douai, édifice de 54 m, commencé au XIVe siècle, cache en son clocher un impressionnant carillon de 62 cloches. En 2005, avec 22 autres beffrois du Nord-Pas-de-Calais, il a intégré le Patrimoine mondial de l'UNESCO au sein du groupe des Beffrois de Belgique et de France. À noter qu'au même moment étaient classés au Patrimoine mondial de l'UNESCO les géants de Douai, la famille Gayant.
Les fortifications :
L'état général est à découvrir sur le plan relief du XVIIe exposé au musée de la Chartreuse. Seuls quelques vestiges ont échappé au démantèlement des remparts de la ville décidé en 1891.
La Porte de Valenciennes
Cette porte autrefois appelée porte Notre-Dame a été construite en 1453 en grès. Comme le Palais de Justice, la porte de Valenciennes s'inscrit dans le style gothique pour l'une de ses faces et dans le style classique (XVIe siècle) pour l'autre, très courant à l'époque.
La Porte d'Arras
Généralement datée du début du XIVe siècle, elle est constituée d'un châtelet à deux tours rondes en grès flanquant le passage d'entrée.
La Tour des Dames
Tour ronde faisant partie de l'enceinte XIIIe. Elle date de 1425 et est bâtie en grès. Elle se trouve dans un parc du même nom agrémenté d'un plan d'eau.
Les ouvrages disparus
La porte Saint-Eloy ou de Paris
La porte d'Esquerchin ou porte de Béthune
La porte d'Ocre ou d'Ocq
La porte de Lille ou porte Morel
L'ouvrage d'entrée et celui de la sortie des eaux de la Scarpe

Grandes entreprises implantées sur la commune :
Autrefois siège des Houillères du Nord-Pas-de-Calais (HBNPC), Douai a dû se reconvertir dans les années 1980, notamment avec l'implantation d'une usine Renault et de l'Imprimerie nationale.
Automobile (Renault Usine Georges Besse située à Cuincy) : Usine d'assemblage Renault Douai spécialisée dans la production intégrale du Scénic 3 , le site a perdu l'assemblage de la Mégane maintenant assemblée en Espagne .
Métallurgie (emboutissage de pièces automobiles) : activité des anciens Etablissements Arbel devenu Oxford Automotive puis Wagon Automotive usine située boulevard Faidherbes
Matériel roulant ferroviaire : activité des anciens Etablissements Arbel devenu Arbel Fauvet Rail, aujourd'hui "IGF Industries - Arbel Fauvet Rail" usine située rue du Paradis
Imprimerie : l'Imprimerie nationale est installée à Flers-en-Escrebieux depuis 1974.
Produits chimiques
Douai possède une antenne terriotriale de la Chambre de commerce et d'industrie du Grand Lille. Elle gère le port fluvial de Douai.
En septembre 2006, l'implantation d'un centre d'appels téléphonique près de Gayant Expo (duacom - groupe allemand Bertelsmann), employant plus de 300 salariés, permet à Douai de s'ouvrir au monde des services. Cette implantation s'inscrit dans le cadre d'un projet politique engageant le groupe Vivendi (propriétaire de SFR dont est géré une partie du service clients à Douai) à créer 300 emplois dans cette ville moyennant un crédit d'impôts de 2 milliards d'euros (accord conclu entre Vivendi et Nicolas Sarkozy, alors ministre des finances). Nicolas Sarkozy a d'ailleurs visité cette société lors de sa campagne présidentielle en 2007.



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   Posté le 07-04-2011 à 18:59:25   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

6ème question


En 1667, Douai devient ville française. Louis XIV décide d'en faire un centre militaire important. Il y installe des casernes, un arsenal, l’École d’Artillerie et une fonderie de canons. Cette dernière est édifiée sur l'emplacement de l'ancien château des comtes de Flandre. Louis XIV en confie l’exploitation aux frères Keller, fondeurs suisses très réputés. En 1696, elle passe à la famille Bérenger et sera gérée par elle jusqu’en 1819. À partir de cette date et jusqu’à sa fermeture en 1867, elle sera dirigée par des officiers d’artillerie. Des bâtiments de la fonderie de Louis XIV, il ne reste aujourd’hui que le mur circulaire et le portail d’entrée. De nombreux canons en bronze sont sortis de la fonderie de Douai. Certains sont visibles en France (Hôtel des Invalides), en Angleterre (tour de Londres), en Autriche, Espagne, Portugal, et même aux États-Unis (musée de l’école de West Point). Chaque canon est une pièce unique ayant une carte d’identité avec l’inscription de son calibre, son poids, son nom, celui du fondeur, les armes de France. "La Furibonde", (dépôt du musée de l’Armée - Paris) est placée dans les jardins de la fonderie afin de rappeler cette production importante. Ce canon a été fondu à Douai en 1744 par Jean-François Bérenger, directeur de la fonderie. Il pèse 2 050 kg et porte les armes de Louis-Charles de Bourbon et un soleil, emblème du roi.

Géants du Nord :
Dans le folklore du Nord de la France et de Belgique, le géant est une figure gigantesque qui représente un être fictif ou réel. Hérité de rites médiévaux, la tradition veut qu’il soit porté, et qu’il danse dans les rues les jours de carnavals, braderies, kermesses, ducasses et autres fêtes. Sa physionomie et sa taille sont variables, et son appellation varie selon les régions ; chez les Flamands, il est connu sous le nom de Reuze, chez les Picards, il est appelé Gayant.
Créé par un groupe de personnes qui partagent des valeurs communes, le géant est un symbole majeur de l’identité collective. Porté par une ou plusieurs personnes, il se déplace seul, en couple, ou en famille, lors de son jour de fête. En effet, chaque géant possède son jour de sortie : le porteur lui donne alors vie, le fait danser, embrasser une géante, saluer la foule… Ils apparaissent souvent lors de cortèges ou parades accompagnés de la fanfare locale. L'orchestre joue des marches de carnavals, de ducasses ou des airs et des chansons qui leurs sont dédiés.
Chaque géant a son histoire, les géants naissent, sont baptisés, se marient et ont des enfants comme les hommes. Le géant, en tant que représentant des habitants du lieu où il vit, est enraciné dans la tradition et fait partie de la culture populaire.
Le géant a une origine lointaine. La création et la vie du géant sont les témoins de pratiques ancestrales, propres aux régions possédant des géants sur leur sol. Présente sur tous les continents, la tradition des géants est désormais un élément du patrimoine vivant.
Depuis novembre 2005, les géants et dragons processionnels de Belgique et de France et leurs fêtes sont inscrits au titre de chefs-d’œuvre du patrimoine culturel immatériel de l'humanité auprès de l’UNESCO.

Gayant est le géant porté qui symbolise la ville de Douai (France - département du Nord). Entouré de sa femme, Marie Cagenon, et de leurs trois enfants, Jacquot, Fillon et Binbin, il parcourt la ville chaque année pendant trois jours à l'occasion des fêtes de Gayant, début juillet. Le Grand Cortège du dimanche après-midi est le point culminant de ces journées, après l'arrivée, le matin, de la famille Gayant au grand complet dans la cour de l'Hôtel de Ville de Douai, au pied du beffroi.

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   Posté le 08-04-2011 à 18:28:15   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

7ème question


Lille est une commune française du nord de la France, préfecture du département du Nord et chef-lieu de la région Nord-Pas-de-Calais. Surnommée la « Capitale des Flandres », Lille est, avec ses 225 784 habitants au 1er janvier 2008, la principale ville, aux côtés de Roubaix, Tourcoing et Villeneuve-d'Ascq, de Lille Métropole Communauté urbaine, intercommunalité qui regroupe 85 communes et compte 1,1 million d'habitants. Plus largement, elle appartient à une vaste conurbation formée avec les villes belges de Mouscron, Courtrai, Tournai et Menin qui a donné naissance en janvier 2008 au premier Groupement européen de coopération territoriale, l'Eurométropole Lille Kortrijk Tournai, qui totalise près de deux millions d’habitants. Avec les villes de l'ancien bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, elle participe aussi d'un ensemble métropolitain de plus de 3,5 millions d'habitants, appelé « aire métropolitaine de Lille ».
Son nom en ancien français (L’Isle), comme en flamand français (Ryssel [ri:səl], et Rijsel [reɪsəl] en néerlandais; de « ter Yssel » proviendrait de sa localisation primitive sur une île des marécages de la vallée de la Deûle où elle a été fondée. Lille et ses environs appartiennent à la région historique de la Flandre romane, ancien territoire du comté de Flandre ne faisant pas partie de l'aire linguistique du flamand occidental. Ville de garnison, Lille a connu une histoire mouvementée du Moyen Âge à la Révolution française. Connue pour avoir été la ville la plus assiégée de France, elle a appartenu successivement au comté de Flandre, au royaume de France, à l'État bourguignon, au Saint-Empire romain germanique et aux Pays-Bas espagnols avant d'être définitivement reprise par la France au terme de la guerre de Succession d'Espagne. Elle est encore assiégée en 1792 lors de la guerre franco-autrichienne et très durement éprouvée par les deux conflits mondiaux du XXe siècle au cours desquels elle est occupée.
Cité marchande depuis ses origines, manufacturière depuis le XVIe siècle, la révolution industrielle en fait une grande capitale industrielle, principalement autour des industries textiles et mécaniques. Leur déclin, à partir des années 1960, ouvre une longue période de crise et ce n'est qu'à partir des années 1990 que la reconversion vers le secteur tertiaire et la réhabilitation des quartiers sinistrés donnent un autre visage à la ville. La construction du nouveau quartier d'affaires Euralille à partir de 1988, l'arrivée du TGV en 1993 et de l'Eurostar en 1994, le développement d'un pôle universitaire qui accueille au début des années 2000 près de 100 000 étudiants, le classement Ville d’art et d’histoire en 2004 et les manifestations de Lille 2004, Capitale européenne de la culture, constituent les principaux symboles de ce renouveau.

Manifestations culturelles et festivités :
Chaque année, le premier week-end de septembre, la ville organise la grande Braderie de Lille, l'un des plus grands rassemblements de France et le plus grand marché aux puces d'Europe. Ses origines remontent au XIIe siècle et elle reçoit de nos jours environ deux millions de visiteurs chaque année109.
La ville accueille par ailleurs régulièrement plusieurs festivals de cinéma, de musique ou encore de photographie :
le Festival du Cinéma Européen de Lille, qui se tient chaque année en mars ou avril ;
le Festival international du film indépendant de Lille, qui se déroule dans divers lieux de la métropole en juin et juillet ;
la Fête de l'Animation, qui propose chaque année depuis 2004 un regard sur le cinéma d'animation autour du monde ;
Le Printemps de la Vieille Bourse, festival de jazz et de musiques actuelles organisé chaque année en mars ou avril ;
le Festival Paysages Electroniques, dédié aux musiques électroniques et à la création digitale, organisé en avril ;
le festival Jazz en nord, qui se déroule dans toute l'agglomération lilloise d'octobre à fin mars ;
le Festival Wazemmes l'Accordéon, qui se déroule entre mai et juin ;
Les Paradis Artificiels, festival de musiques actuelles qui se tient en avril ;
Le Père-Noël est-il un rocker ?, festival musical et social se déroulant chaque année fin-novembre, début-décembre ;
les Transphotographiques, festival organisé par la Maison de la Photographie en mai et juin.
Ainsi que des évènements à caractère plus local :
le Festival international de la soupe, chaque 1er mai à Wazemmes, sur la place du marché de Wazemmes et aux environs de la maison folie de Wazemmes après la traditionnelle manifestation des travailleurs ;
le Lille Comics Festival, le premier ou second week-end de novembre pour les passionnés de bandes dessinées anglo-saxonnes ;
Lille Grand Palais accueille également de nombreux salons et expositions périodiques parmi lesquels, depuis 2008, la Foire Européenne de l’Art Contemporain Lille Art Fair, en avril.

La citadelle de Lille est un ouvrage militaire bâti au XVIIe siècle pour la défense de Lille. Baptisée par Vauban lui-même la « Reine des citadelles »1, c’est un ouvrage militaire remarquable par ses dimensions, la qualité de son architecture, et aujourd'hui son état de conservation. Elle a été classée monument historique en août 1914.

Cette « Reine des citadelles » est la matrice de la plupart des citadelles conçues par Vauban. Établie sur la frontière de la Flandre, elle faisait partie d'une double ligne de places fortes entre Gravelines, Dunkerque et Maubeuge-Rocroi. Elle délimitait le fameux « Pré carré », conçu par Vauban, comportant 28 villes fortifiées. C'est à partir de Lille que Vauban a supervisé l'édification des nombreuses citadelles et canaux du Nord, lesquels ont structuré la frontière qui sépare toujours la France de la Belgique.
Lille est prise aux Espagnols par les troupes françaises au mois d’août 1667 et Louis XIV ordonne aussitôt la construction d'une forteresse. Le chevalier de Clerville et Vauban proposent des plans. Ce sont ceux de Vauban qui sont retenus par le roi. Les travaux sont engagés dès 1668 sous la direction du maître-maçon lillois Simon Vollant. En 1671, la citadelle est opérationnelle tandis que Vauban continue de façonner la ville en faisant naître, à deux pas de là, un nouveau quartier autour de la rue Royale. La conception de la citadelle part d'une idée simple mais particulièrement efficace : pas un de ses murs ne peut être approché par l'ennemi sans que celui-ci ne se trouve sous le feu d'un mur voisin.











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8ème question


La Braderie de Lille est une manifestation populaire qui se déroule chaque année à Lille (Nord, France), le premier week-end de septembre. Ses origines remontent au XIIe siècle et elle accueille chaque année entre deux et trois millions de visiteurs. La Braderie de Lille est l'un des plus grands rassemblements de France et le plus grand marché aux puces d'Europe.
Les « bradeux » flânent ou fouinent finissent par s'arrêter pour manger des « moules-frites », plat traditionnel de la braderie. Les restaurants de la ville se lancent un défi pendant l'évènement : celui qui aura devant son enseigne le plus gros tas de coquilles de moules vides.
En 2009, cinq cents tonnes de moules et trente tonnes de frites ont été consommés durant la braderie7.
Depuis le milieu des années 1980, la braderie est précédée, le samedi matin, d'une course sur route qui rassemble des milliers de participants. Initialement un marathon, la course a été réduite à un semi-marathon à partir de 1996.
La braderie s'étend sur plus de cent kilomètres de trottoir et comporte plus de 10 000 exposants.
Des secteurs se sont créés par « spécialité », et on retrouve par exemple une forte concentration d'antiquaires professionnels Boulevard Jean-Baptiste Lebas et d'associations autour de la porte de Paris, alors que le long du champ de Mars et des rives de la Deûle règnent les amateurs vidant leur grenier. Syndicats et partis politiques sont également présents.
Des vendeurs peu scrupuleux y vendent des objets contrefaits. En 2010, 22 172 objets contrefaits ont été saisis par la police, ce qui fait la plus grosse saisie.

La braderie de Lille est le plus important marché aux puces d’Europe. En fonction des sources et des années, la fréquentation de la braderie se situe entre presque deux et trois millions de visiteurs, du fait qu'il est presque impossible de compter avec précision le nombre de personnes. En 2010, le journal local La Voix du Nord rapporte que Floriane Gabriels, la « madame Braderie » de la mairie de Lille, estime que le nombre de personnes durant la braderie est de presque deux millions.

Le moules-frites est un plat très populaire en Belgique et dans le nord de la France. C'est un mets simple constitué de moules cuites et assorties de frites. Il est de nos jours consommé en Belgique, à Lille mais aussi dans toute la France.
La portion de moules, dans les restaurants belges, est généralement de un kilogramme et demi par personne ; elle est servie à chaque convive dans le récipient de cuisson.
Il s'agit également du plat typique de la braderie de Lille.







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9ème question


Paris-Roubaix est l'une des plus anciennes courses cyclistes, créée en 1896 par Théodore Vienne après l'ouverture du nouveau vélodrome de Roubaix. Cette classique flandrienne s'est disputée tous les ans jusqu'à nos jours, en mars ou en avril, interrompue seulement par les deux guerres mondiales. Depuis 1968, elle ne part plus de Paris mais de Compiègne, avant de parcourir plus de deux cent cinquante kilomètres vers le nord.
Surnommée « l'enfer du Nord », « la dure des dures » comme le vantent les affiches de la 106e édition, ou encore « la reine des classiques », la course inclut plusieurs secteurs pavés, tel le décisif « Carrefour de l'Arbre », augmentant notoirement les risques de chutes et de crevaison. La tranchée de Wallers-Arenberg, "découverte" par le régional Jean Stablinski en 1967, a failli coûter sa jambe à Johan Museeuw en 1998. Ses deux kilomètres sont « un rodéo où tout tremble ». Ce secteur pavé mythique, de son vrai nom la « Drève des Boules d'Hérin », ne figure toutefois pas au parcours en 2005 en raison d'effondrements souterrains ayant trop déformé la chaussée. Après sa restauration, cet authentique monument historique de la course a été réintégré au parcours en 2006.
D'autres secteurs, très étroits, ont été tracés entre les champs de betteraves et ils ne peuvent être empruntés qu'en file indienne. Quand l'épreuve se déroule sous la pluie, la boue ajoute à la difficulté et aux risques. Le vainqueur est non seulement un homme fort du peloton, mais il doit aussi être chanceux et bien soutenu par ses équipiers.
La course est très prestigieuse, comme le confirme la présence, dans le palmarès ci-dessous, du premier vainqueur du Tour de France, Maurice Garin (1897, 1898), des célèbres Fausto Coppi (1950) et Louison Bobet (1956), et de deux quintuples vainqueurs du Tour, Eddy Merckx (1968, 1970, 1973) et Bernard Hinault (1981) qui à l'arrivée lâche « Paris-Roubaix est une connerie ». Le recordman de victoires est pour le Belge Roger De Vlaeminck, avec quatre succès (1972, 1974, 1975 et 1977). Le record de victoires consécutives est partagé par le Français Octave Lapize (1909, 1910 et 1911) et l'Italien Francesco Moser (1978, 1979, 1980).
Cette classique, autrefois inscrite au calendrier de la Coupe du monde puis du ProTour, fait désormais partie du Calendrier mondial UCI. Cette course a été élevée au rang de Monument du cyclisme au même titre que Milan-San Remo, le Tour des Flandres, Liège-Bastogne-Liège et le Tour de Lombardie. Le vainqueur reçoit un trophée constitué d'un véritable pavé.

Cette première édition est remportée en solitaire par l'Allemand Josef Fischer. Il met plus de 9 heures pour parcourir les 280 km de course, passant par Beauvais (Oise), Amiens, Doullens (Somme) où se trouve la principale difficulté, Arras, Hénin-Liétard (Pas-de-Calais), Seclin, Lesquin, Hem (Nord) en 1896.




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   Posté le 08-04-2011 à 18:40:08   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

10ème question


Gastronomie :
Le potjevleesch, la carbonade flamande, la tarte au maroilles et la goyère, les bêtises de Cambrai, les sottises valenciennoises, la langue Luculus, la tarte au sucre, le poulet à la bière,le petit salé lillois, la glace à la chicorée, le pain perdu, les rognons à la douaisienne, la glace aux speculoos.
Autres recettes du Nord
fromage: Mimolette ou boule de Lille, le Maroilles, le Vieux Lille, le Bergues.
Le moules-frites est un plat très populaire en Belgique et dans le nord de la France. C'est un mets simple constitué de moules cuites et assorties de frites. Il est de nos jours consommé en Belgique, à Lille mais aussi dans toute la France.
La portion de moules, dans les restaurants belges, est généralement de un kilogramme et demi par personne ; elle est servie à chaque convive dans le récipient de cuisson.
La Brasserie artisanale Moulins d'Ascq est située dans la ferme du Sens à Ascq, à Villeneuve d'Ascq dans le département du Nord.
La brasserie est créée en septembre 1999 sur le site de la Ferme du Sens à Ascq, par Mathieu Lepoutre2. Le but est alors de produire une bière issue de l'agriculture biologique, la plus naturelle possible2.
Les bières produites par cette brasserie sont toutes élaborées conformément aux règles de la reinheitsgebot de 1516. Seuls quatre ingrédients sont utilisés (eau, malt, houblon, levure) et les malts et houblons sont issus de l'agriculture biologique ce qui fait de cette bière de garde traditionnelle des Flandres une des rares bières biologiques françaises.





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   Posté le 08-04-2011 à 18:42:37   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

11ème question


Le Nord est le département français le plus septentrional. Il est bordé par la Mer du Nord, d'où son nom. Il est constitué de la Flandre française, qui correspond aux arrondissements départementaux de Dunkerque, de Lille et de Douai (autrefois partie du comté de Flandre), du Cambrésis (ancienne principauté ecclésiastique) et de la partie méridionale de l'ancien comté de Hainaut. En fait, le département du Nord décrit un tracé similaire à la "Province de Flandre" pré-révolutionnaire, qui avait adopté le blason au lion noir de l'ancien comté de Flandre même si cette province incluait aussi le Cambrésis et une partie du Hainaut en plus du comté de Flandre proprement dit. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 59.
C’est le département le plus peuplé de France, et avec le Pas-de-Calais, il constitue la région Nord-Pas-de-Calais.

Économie :
Longtemps négative, teintée par la grisaille et la crise industrielle des années 1970, l'image du Nord s'est en large partie améliorée depuis le début des années 1990. Là où l'on décriait naguère « l'enfer du Nord », on vante désormais la qualité de vie et le dynamisme retrouvé d'une région qui a su assurer sa reconversion économique. Sa capitale Lille, après s'être équipée à partir de 1983 d'un métro automatique, a développé un centre d'affaire (Euralille) qui a accompagné en 1993 l'arrivée du TGV Nord-Europe. La capitale du Nord est désormais tout entière vouée au tourisme de week-end pour les Parisiens, Bruxellois ou Britanniques. Des quartiers entiers comme celui du Vieux Lille ont retrouvé une nouvelle vie. Jadis sinistrés, ils sont désormais très prisés. En 2004, Lille a été capitale européenne de la culture. Parallèlement, Valenciennes a rénové son musée des Beaux-Arts et récemment inauguré un tramway.
De plus, le film Bienvenue chez les Ch'tis, sorti en 2008, contribue à donner une image plus positive du Nord.

L'économie du Nord-Pas-de-Calais est caractérisée par une implantation ancienne de secteurs d'activité important tels l'agriculture et ses dérivés (activité brasicole dès le VIIIe siècle), le textile, et le commerce en raison de sa situation géographique. La révolution industrielle donna un essor considérable à ces activités traditionnelles, et la présence de charbon permit le développement d'une industrie lourde. Après la Seconde Guerre mondiale, les centres de recherche ne furent pas reconstruits pour éviter la destruction ou l'appropriation de découvertes en cas de conflit et d'une quatrième occupation par l'Allemagne de la région. La fin des 30 Glorieuses coïncide avec le déclin des houillères, qui alimentait en énergie l'industrie lourde de la région. Ces graves difficultés structurelles s'ajoutent à la crise économique : Des trois grands secteurs qui étaient les piliers de son économie, charbon, acier, textile, seuls les deux derniers subsistent encore tant bien que mal. La dernière mine de la région a fermé en décembre 1990 et la sidérurgie a été déplacée de la Sambre et du Valenciennois sur la côte à Dunkerque pour utiliser le minerai apporté des antipodes. La pétrochimie y est aussi installée. Le textile s'est spécialisé et automatisé, pour faire face à l'importation des grandes séries. Le secteur secondaire n'occupe plus que 33,8 % de la population active (28,9 % pour la France). Son raccordement à l'Europe du Nord-Ouest lui permet toutefois de bénéficier des retombées économiques de la mise en service du tunnel sous la Manche et des LGV (TGV).
Malgré un ancien retard, la région a connu une rapide tertiarisation (62,8 % des emplois). Cette croissance a permis de combler les retards en matière de formation scolaire et universitaire. Le développement régional peut s'appuyer sur des compétences fortes comme la vente par correspondance (la Redoute, 3 Suisses, Damart), la grande distribution (Auchan), les transports et la logistique. Avec sept universités, le potentiel formation-recherche est devenu considérable. Le développement et la diversification du secteur tertiaire s'appuient sur le réseau des villes moyennes et surtout sur la conurbation Lille-Roubaix-Tourcoing, qui concentre près de la moitié des services supérieurs de la région.

Favorisée par sa situation de jonction entre le Royaume-Uni, l'Irlande et le continent, le Nord de la France est une région d'échanges, un carrefour de communication entre l'Europe du Nord-Ouest, le reste du pays, l'Espagne et le Portugal. Historiquement les voies d'eau étaient privilégiées pour le commerce. La présence de trois grands ports de commerce en est l'une des conséquences : le port de Boulogne, le port de Calais (premier port pour le nombre de voyageurs transmanche), et le port autonome de Dunkerque (troisième port pour le trafic pondéreux minéralier). Les fleuves ont été canalisés pour servir au transport, 680 kilomètres de voies navigables (soit 10 % du réseau français) sont actuellement disponibles, dont 575 kilomètres utiles à la commercialisation. Les voies navigables de France envisage de remettre aux normes certains canaux comme le canal de Roubaix, pour le tourisme fluvial. La Région attend surtout les travaux de construction du canal Seine-Nord, qui reliera le réseau nordiste à celui de la Seine.
Le nombre d’autoroutes, suivant à la fois l’axe nord-sud (A1, A2) et l’axe du littoral vers l’intérieur (A25, A26, A27), canalise un trafic régional, interrégional et international considérable. D’importants aménagements sont en cours sur le littoral et sur le site du terminal du tunnel. Un plan routier et autoroutier (A16, rocade littorale) qui est par ailleurs source de vives polémiques, les accompagne. Bien que la région comprenne 6,6 % des autoroutes françaises (majoritairement gratuites), depuis 1970, un projet d'autoroute supplémentaire est envisagé avec l'A24 pour désengorger l'A1.
Le tunnel sous la Manche, ouvert en mai 1994, dont l'axe ferroviaire (navettes pour voitures et camions ; TGV et trains classiques) relie le Kent à Sangatte, près de Calais, même s'il concurrence en partie les ports français et belges, incite à l'intensification du trafic transmanche. La mise en service du TGV entre Paris, Lille et Arras jusqu'à Londres, Bruxelles, Amsterdam et la Rhénanie a considérablement raccourci les temps de parcours entre les grandes métropoles de l'Europe du Nord-Ouest, et doivent faire de Lille et du Nord une plaque tournante européenne.

L'industrialisation de la région a été rendue possible par l'abondance de charbon, au sein d'un bassin minier qui s'étend de Lens à l'ouest jusqu'à Valenciennes à l'est, avec Douai comme siège des houillières. Les mines ont permis à l'industrie de bénéficier d'énergie à bas coût. Cependant depuis 1980 la montée en puissance de la centrale nucléaire de Gravelines a compensé la fermeture des mines (1990 dernière mine) et a permis de disposer d'énergie en abondance. Le nucléaire fournit 87 % de la production d'électricité, dont 5 400 MW pour celle de Gravelines. En 2006, la consommation de la région s'élevait à 36,3 milliards de kWh pour une production de 45 milliards de kWh7. De façon marginale à l'origine, l'éolien connaît actuellement un essor au sein de la région qui se hisse à la septième place avec 62 MW produit, et dont le potentiel offshore commence à être envisagé avec un objectif de 1 400 MW à terme.

La proximité de la mer du Nord a suscité l'essor d'une pêche industrielle concentrée à Boulogne-sur-Mer. La pêche régionale est depuis de nombreuses années en crise en raison de la baisse des quotas de pêche et petit à petit les ports régionaux se sont spécialisés dans un type d'activité. Ainsi Boulogne-sur-Mer est devenu le premier port français pour le volume des débarquements et le premier centre de transformation du poisson. Il existe cependant encore des petits ports de pêche comme Étaples à vocation régionale.
Port de Boulogne-sur-Mer
1er port de pêche français en volume et en chiffre d'affaires jusqu'en 2004
1er port de pêche français en volume et 2e en chiffre d'affaires (derrière Lorient) depuis 2005
Principal centre européen du traitement des produits de la mer

















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   Posté le 08-04-2011 à 18:47:34   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   

12ème question


Bienvenue chez les Ch’tis est un film français réalisé par Dany Boon, sorti le 20 février 2008 dans le Nord-Pas-de-Calais et dans quelques salles de la Somme, le 27 février 2008 dans le reste de la France, en Belgique et en Suisse, un jour après au Luxembourg, et le 25 juillet 2008 au Canada.
Le film raconte les aventures de Philippe Abrams, directeur d’une agence de La Poste dans le sud de la France qui, par mesure disciplinaire, est muté pour une durée de deux ans à Bergues, dans le Nord-Pas-de-Calais.
C’est le deuxième long métrage réalisé par l’humoriste français Dany Boon après La Maison du bonheur. C’est aussi la première fois que Kad Merad occupe, seul, le rôle principal d’un film. Bienvenue chez les Ch’tis a rencontré un immense succès auprès du public : à la surprise de ses protagonistes, il a dépassé le nombre d’entrées réalisées par La Grande Vadrouille et devient alors, avec 20 479 826 entrées, le deuxième meilleur score du box-office français, derrière Titanic (20 758 887 entrées).
Synopsis :
Philippe Abrams est depuis de nombreuses années directeur d’une agence de la Poste à Salon-de-Provence dans les Bouches-du-Rhône, où il vit avec sa femme Julie, au caractère dépressif, et leur fils Raphaël. Julie fait pression sur lui pour qu’il se fasse muter et trouve un poste au bord de la Méditerranée. Après plusieurs échecs et constatant que de nombreux employés handicapés sont prioritaires dans le choix des mutations, Philippe tente de tricher auprès de son administration en se faisant passer pour un handicapé en fauteuil roulant. Lorsque la supercherie est découverte, il est sanctionné et écope d’une mutation disciplinaire de deux ans à Bergues dans le Nord, près de Dunkerque. Il tente de cacher la nouvelle à sa femme mais lorsque celle-ci découvre la vérité, elle décide de rester dans le Sud avec leur fils et annonce à Philippe qu’il doit partir seul.
Philippe (Kad Merad) et Julie (Zoé Félix) ne connaissent le Nord qu’à travers des clichés. Le grand-oncle de Julie (Michel Galabru), qui, enfant, a vécu dans le Nord, le décrit comme une région inhospitalière où règne un froid polaire et des conditions de vie miséreuses. Philippe quitte le Sud la mort dans l’âme, avec de nombreux a priori négatifs à l’esprit. Ses premiers instants dans le Nord-Pas-de-Calais lui font croire que ces clichés sont bel et bien réels : des trombes d’eau s’abattent sur sa voiture lorsqu’il franchit le panneau autoroutier indiquant l’entrée dans la région. Lorsqu’il rencontre Antoine Bailleul (Dany Boon), l’un des préposés du bureau auquel il a été affecté, il a des difficultés à le comprendre. Antoine l’héberge provisoirement chez sa mère (Line Renaud), envahissante et autoritaire, avec qui il vit. Cependant, après quelques jours, Philippe apprend à connaître ses autres collègues Annabelle (Anne Marivin), Fabrice (Philippe Duquesne) et Yann (Guy Lecluyse). Il finit par se lier d’amitié avec Antoine, et découvre finalement une région très hospitalière et chaleureuse.
Lorsque Philippe essaie de rassurer son épouse et de lui parler des bons côtés de sa vie dans le Nord, celle-ci ne veut pas le croire et se persuade elle-même que son mari déprime encore plus qu’elle à cause de leur séparation. Philippe finit donc par lui mentir pour ne pas la froisser. D’ailleurs, lorsqu’il est au téléphone avec Julie, Philippe continue d’autant plus de lui cacher la situation qu’il considère que leur éloignement temporaire est positif pour leur relation de couple. Il noircit donc le tableau concernant sa nouvelle vie afin de la dissuader de venir s’installer à Bergues. Mais à force de fausses mauvaises nouvelles, Julie croit son mari déprimé et souhaite le rejoindre pour le soutenir. Lorsque celle-ci lui annonce qu’elle « monte » lui rendre visite, pour la décourager de venir le rejoindre, il a dépeint les Ch’tis comme peu raffinés, incultes, abrutis et ivrognes. Philippe prévient ses collègues de ses propos, mais malgré leur déception, ils lui font quand même la surprise de venir chercher Julie avec un camion de la Poste lorsqu’elle débarque à Lille. Ils jouent le jeu et se comportent avec elle comme Philippe les lui avait décrits. Ils l’emmènent dans une ancienne cité minière qu’ils font passer pour Bergues. Avec la complicité des habitants du lieu, ils font ainsi croire à Julie que tous les clichés qu’elle a sur les gens du Nord sont vrais. Lors d’un barbecue, les collègues de Philippe lui donnent l’impression que la nourriture servie est du chat. À table, tous se comportent de manière bruyante et déplacée.
Le lendemain, cherchant à se rendre au bureau de poste, Julie se rend compte que l’endroit où elle se trouve n’a rien à voir avec Bergues. Elle cherche à voir son mari et lorsqu’elle découvre qu’il lui a menti depuis le début, elle décide, vexée, de retourner dans le Sud.
Philippe s’aperçoit alors que son couple allait mieux grâce à la distance, mais lorsqu’Antoine lui fait remarquer que cette situation n’est pas très franche, il lui répond qu’il est mal placé pour lui donner des conseils étant donné que lui-même n’a pas le courage de dire à sa mère ce qu’il pense vraiment d’elle. Vexé, Antoine prend la décision de parler à sa mère et lui annonce qu’il va épouser Annabelle et quitter la maison. Cette nouvelle ravit sa mère et elle s’empresse de se rendre au bureau de poste pour annoncer à Annabelle qu’elle leur souhaite tous ses vœux de bonheur mais qu’elle va cependant continuer à les surveiller pour être sûre qu’ils soient effectivement heureux.
Avec la complicité de Philippe, Antoine demande Annabelle en mariage en déployant en haut du beffroi un drap sur lequel est écrit « Annabelle Je t’m épouse moi biloute ». Ils se marient quelques temps après, Philippe et Julie sont invités à la cérémonie. Lorsque Philippe redescend dans le Sud, il demande à Julie de venir vivre avec lui dans le Nord. Deux ans plus tard, Philippe apprend qu’il est de nouveau muté dans le Sud, à Porquerolles et doit alors quitter la région, avec regrets.












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   Posté le 08-04-2011 à 19:05:59   Voir le profil de loup blanc (Offline)   Envoyer un message privé à loup blanc   



j'ai fini la rando, je rentre chez moi


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Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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Wolf-Samantha
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   Posté le 09-04-2011 à 10:01:18   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

Loup Blanc très belle rando réussie félicitation, un grand très bonne documentation de superbes belles photos avec beaucoup de recherches très beaux montages toujours un plaisir de lire tes randos je vois qu'elle t'a beaucoup plut alors tu as appris le Ch'ti je suis fière de toi

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