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 DANY

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Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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Wolf-Samantha
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   Posté le 29-09-2008 à 19:19:31   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   



REPONSES DE DANY


dany
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   Posté le 08-10-2008 à 23:43:26   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

1ère question : En quelle année a été découvert un foyer d’habitation, qui a été trouvé à Cramond, près d’Édimbourg ? Des fosses et des traces de trous faits par des pieux laissent suggérer l’existence de campements appartenant à ces chasseurs-cueilleurs. Prenez quelques photos.



Un foyer d’habitation daté de 8500 av. J.-C. environ, a été trouvé à Cramond, près d’Édimbourg. Des fosses et des traces de trous faits par des pieux laissent suggérer l’existence de campements appartenant à ces chasseurs-cueilleurs, et des outils de pierre trouvés sur le site sont antérieurs à ceux du même style trouvés en Angleterre.

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   Posté le 08-10-2008 à 23:57:55   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

2ème question : Qu’a-t’on découvert datant de 1600-1300 av. J.-C. qui ont été découvertes à Clad Hallan sur l’île de South Uist, dans les Hébrides extérieures ?

Des momies datant de 1600-1300 av. J.-C. ont été découvertes à Clad Hallan sur l’île de South Uist, dans les Hébrides extérieures.


dany
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   Posté le 09-10-2008 à 00:03:42   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

3ème question : Décrivez un broch, prenez des photos.

Un broch est une fortification construite à l'Âge du fer (2 500 à 3 000 ans) que l'on trouve en grand nombre dans le Nord de l'Écosse et aux Orcades.

Constituées généralement d'une double enceinte, il s'agit de massives tours circulaires comportant deux étages et pouvant s'élever à plus de quinze mètres au dessus du sol.

Autour, comme à Gurness, on peut trouver les restes d'un habitat. Le broch, ancêtre sans doute du château fort, pouvait servir à abriter la population lors des conflits tribaux.

On pense que certains brochs ont été construits par les Pictes.


dany
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   Posté le 09-10-2008 à 00:36:57   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

4ème question : Quel est le peuple celte qui s’est installé en Ecosse ? Prenez quelques photos.

Les Gaëls constituent un peuple celte originaire d'Irlande, qui a envahi les îles britanniques au Ve siècle av. J.-C. et s'est établi principalement en Écosse, en Irlande et sur l'île de Man. Il a ensuite donné son nom au différents peuples gaëliques, cousins des autres peuples celtes, et peuples guerriers. Leur langue fait partie de la famille du gaélique, une division des langues celtiques insulaires.

L'histoire des Gaëls du Cap-Breton remonte au moins au cinquième siècle après J.-C. lorsqu'une colonie de Gaëls connue sous le nom de Dàl Riada a étendu son royaume du nord-ouest de l'Irlande jusqu'à l'actuel Argyllshire, sur la côte ouest de l'Écosse. La culture gaélique a fini par se répandre en Écosse, mais elle s'est repliée graduellement vers les Hautes-Terres et les îles il y a environ mille ans.

De la fin des années 1700 jusqu'au milieu des années 1800, à cause de pressions politiques, économiques, religieuses et culturelles, des dizaines de milliers de Gaëls ont quitté l'ouest de l'Écosse pour aller en Nouvelle-Écosse.



Pour faire plaisir à wolf

Les Pictes étaient un peuple établi essentiellement dans les hautes terres de l'Écosse, dites highlands.
Les migrations pictes s'installent entre les différentes vagues de migrations goïdeliques (gaëliques) et gallo-britonniques.
Le peuple gaulois des Pictons n’a a priori pas de rapport, sinon par le nom que les Romains lui ont donné.
En raison de sa position géographique excentrée, l'Écosse a été moins touchée par les invasions que l'Angleterre et a fortiori que les régions continentales. Après la conquête de l'Angleterre (env. 45 apr. J.-C.) par Claude, les Romains n'ont pas réussi ou pas souhaité pacifier l'Écosse. Ils se sont retranchés derrière le mur que l'empereur Hadrien fit édifier vers 120 apr. J.-C., sorte de muraille de Chine qui réussit à contenir tant bien que mal les Pictes jusqu'en 364. Le mur d'Antonin construit plus au nord ne fut pas efficace longtemps. Selon le Grec Claude Ptolémée, les différents peuples qui habitent alors l'Écosse étaient les Brigantes, les Caledonii, les Votadini, les Selgovae, les Novantae, le Damnonii, les Verturiones, etc.

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   Posté le 09-10-2008 à 00:48:04   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

5ème question : Décrivez le royaume d’Alba.

Pendant la période de l’occupation romaine, la province de Bretagne (Britannia) s’étend officiellement au mur d’Hadrien. Entre ce mur et celui d’Antonin, les Romains entretiennent une série d’États-tampons en séparant le territoire occupé par les Romains du territoire des Pictes. Le développement du « Pictland » lui-même, d’après le modèle historique développé par Peter Heather, est une réponse normale à l’impérialisme romain. Vers 400, les États-tampons deviennent le royaume bryttonique d’Y Gogledd Hen (le Vieux Nord), et en 900, le royaume des Pictes se mue en royaume gaélique d’Alba.

Alba est le nom gaélique de l’Écosse. L’irlandais utilise également le mot Alba, alors que le vieux gaélique emploie le terme Albu.

Le terme Alba vient d’un mot celte désignant l’ensemble de l’île de Grande-Bretagne, ceci bien avant l’utilisation du terme classique d’Albion. Il fut employé dans ce sens jusqu’au IXe siècle et au Xe siècle, avant de désigner uniquement les royaumes des Pictes et des Scots (Pictavia et Dál Riata), situés au nord de la rivière Forth et de l’estuaire de la Clyde, unifiés par Kenneth Mac Alpin.

Avec le temps, ce royaume en incorpora d’autres situés plus au sud. Son nom se latinisa au haut moyen âge pour devenir Albania. Il n’est pas très clair quant à savoir si le terme Albania, partage la même étymologie que l’Albanie moderne ou l’Albanie du Caucase.
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   Posté le 09-10-2008 à 22:29:03   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

6ème question : Quel roi est mort au château de Dunnottar en 900, qui est le premier homme à avoir été appelé rí Alban (roi d’Alba) ; ceci signifiant roi de Grande-Bretagne ou d’Écosse, la signification d’Alba ayant été fluctuante à cette époque. Tous ses prédécesseurs portaient en effet soit le titre de roi des Pictes.

Le roi Domnall II , mort au château de Dunnottar en 900, est le premier homme à avoir été appelé rí Alban (roi d’Alba) ; ceci signifiant roi de Grande-Bretagne ou d’Écosse, la signification d’Alba ayant été fluctuante à cette époque. Tous ses prédécesseurs portaient en effet soit le titre de roi des Pictes , soit celui de roi de Fortriu. Ce changement est tel dans les chroniques gaéliques qu’il est parfois considéré comme marquant la naissance de l’Écosse, bien qu’il n’y ait aucune trace du règne de Domnall II qui puisse confirmer cela. Domnall eut comme surnom dásachtach, terme qui s’applique à un fou, ou, selon loi irlandaise de l’époque, à un homme qui n’est pas en possession de ses moyens et par conséquent sans culpabilité légale. En fait, le long règne (900–942/3) du successeur de Domnall, Causantín est davantage considéré comme la clef de voute de la formation du royaume du Haut Moyen Âge d’Alba. En dépit de quelques reculs, c’est lors de son règne d’un demi-siècle que les Scots repoussent tout danger d’agrandissement du territoire viking au-delà des Hébrides extérieures, des Northern Isles et de la région de Caithness.

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   Posté le 09-10-2008 à 22:33:25   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

7ème question : Qui est le roi Malcolm III ? Qu’a–t’il fait ? Prenez une photo.



Malcolm III d'Écosse, surnommé Malcolm Canmore (Malcolm Grosse-Tête) (Écossais Maíl Choluim mac Donnchada), né vers 1031, mort le 13 novembre 1093 à Alnwick, est roi d'Écosse de 1058 à 1093.

Il est fils de Duncan Ier (1001-1040), dit Duncan le Gracieux, roi de Strathclyde (1018-1040) et roi d'Écosse (1034-1040), et de Sybille de Huntingdon (née vers 1010).

Après l'assassinat (ou la mort au combat) de son père, le 14 août 1040, il ne lui succède pas, le trône étant usurpé par son cousin Macbeth Ier.

En 1054, Malcolm réussit à obtenir l'aide du roi d'Angleterre Édouard le Confesseur, qui lui prête une armée pour reconquérir son trône. Le roi Macbeth est tué en 1057, et son successeur, Lulach Ier, en 1058.

Malcolm III est couronné roi d'Écosse le 25 avril 1058, en l'abbaye de Scone, dans le Perthshire. Aussitôt monté sur le trône, il renouvelle son alliance avec l'Angleterre, alliance qui est scellée par son second mariage avec la princesse Marguerite d'Angleterre, plus tard connue sous le nom de sainte Marguerite d'Écosse, petite-nièce du défunt roi Édouard le Confesseur et sœur du nouveau roi Edgar II.

Après les règnes éphémères des rois d'Angleterre Edgar II et Harold II, en 1066, il tente sans grand succès de lutter contre Guillaume le Conquérant, dont il doit reconnaître la suprématie en 1072. Une nouvelle guerre, en 1093, contre un autre roi d'Angleterre, Guillaume II, se solde par une lourde défaite écossaise et par la mort de Malcolm III et de son fils Edward, auquel succède son frère Donald III.

Ultérieurement, quatre fils de Malcolm III deviennent à leur tour rois d'Écosse : Duncan II (de son premier lit avec Ingeborg Finndottir), Edgar Ier, Alexandre Ier et David Ier (tous trois issus du second lit avec sainte Marguerite d'Écosse).

La dépouille de Malcolm III subit quelques vicissitudes après son décès. Il est tout d'abord inhumé à Tynemouth, puis plus tard déplacé à l'abbaye de Dunfermline. Près de quatre siècles plus tard, ses restes sont transportés, à la demande du roi Philippe II d'Espagne, et pour une raison qui reste à préciser, jusqu'au palais de l'Escurial, à proximité de Madrid, où il repose toujours.
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8ème question : Décrivez le Royaume de Strathclyde.

Le Strathclyde (écossais : Strathalcluith, puis Strathcluaide : « au-delà du Clyde » est l'un des royaumes celtes brittoniques qui résista aux Anglo-Saxons, aux Pictes, aux Scots et aux Vikings durant le haut Moyen Âge avant d'être réuni au royaume des Pictes et des Scots vers le milieu du XIe siècle.

Sa formation, mal connue, eut lieu durant la période romaine de l'île de Bretagne (avant 410) ; durant la période anglo-saxonne, le Strathclyde eut comme voisins le Dal Riada et la Calédonie au nord, le Gododdin et la Bernicie à l'est, le Rheged du nord et le Galwyddel (Galloway) au sud (de 450 à 600) ; puis, la Cumbrie au sud et la Northumbrie à l'est (à partir de 650) avant de se fondre dans l'Écosse médiévale.

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9ème question : En 1603, quel roi d'Écosse devint également Jacques I d'Angleterre et d'Irlande ? Prenez quelques photos de châteaux écossais.



Le roi d'Écosse, Jacques VI, accéda au trône d'Angleterre en 1603, devenant le roi Jacques Ier d'Angleterre, à la mort de la reine Élisabeth Ire d'Angleterre. Ce ne fut simplement qu'une union personnelle, les deux nations partageaient le même chef d'État, mais conservaient leurs propres Parlements et administrations




Le Château d'Édimbourg



Le château de Glamis & celui Tioram



Le château de Blackness au bord du fleuve Forth



Château de Kilravock & Château de Drum
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   Posté le 09-10-2008 à 23:09:05   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

10ème question : Décrivez le roi Robert the Bruce, (1274-1329), le plus célèbre roi d'Écosse, qu’a-t’il fait ? Prenez une photo.



Robert Ier d'Écosse, Robert de Brus (en normand), Roibert a Briuis (en Écossais méd.), Robert the Bruce ou Robert Bruce (en anglais moderne) (Château de Cardoss, 11 juillet 1274 – 7 juin 1329), comte de Carrick, est roi d'Écosse de 1306 à 1329. Il appartient à la maison Bruce.

Fils aîné de Robert Bruce VI (1304), comte de Carrick, et Margaret de Carrick (1292), comtesse de Carrick de jure, il naît au château de Cardoss sur le Firth-of-Clyde.

De la famille des Bruce, il hérite du titre de comte de Carrick à la mort de sa mère. Il reconnaît pendant longtemps la suzeraineté du roi Édouard Ier d’Angleterre qui le fait baron Bruce d'Anandale dans la pairie d'Angleterre en 1295.

Il est couronné roi d'Écosse à Scone en avril 1306 mais doit se cacher et se faire passer pour mort après avoir été battu par Aymar Ier de Valence, comte de Pembroke à Methven.

Au printemps 1307, il débarque dans son comté de Carrick, et profitant de la mort d'Édouard Ier, il se rend maître de presque toute l’Écosse. Puis il remporte une victoire sur Édouard II d'Angleterre à la bataille de Bannockburn (près de Stirling) le 24 juin 1314.

En 1326, par le traité de Corbeil, il renouvelle l’alliance avec la France. La fin de cette guerre par le traité de Northampton en 1328 reconnaît l’indépendance de l’Écosse et le titre royal de Robert Bruce. Sa dynastie s'éteint en 1371. Il est le héros d'un poème composé vers 1380 par J. Barbour d'Aberdeen.



Robert the Bruce naquit en juillet 1274, fruit de l'union de Robert the Bruce, seigneur d'Annandale et de Marjorie of Carrick, comtesse de Carrick. L'ascendance de son père donne à Robert le droit d'accéder au trône d'Ecosse. Mais en 1292, le roi Edward Ier d'Angleterre choisit son rival, John Balliol, comme roi d'Ecosse.
Lorsque John Balliol se rebelle face aux exigences inadmissibles du roi d'Angleterre, Robert the Bruce apporte son soutien à Edward Ier, qui écrase Balliol. Quand William Wallace (voir sa biographie dans le blog) se lève contre l'occupant anglais, Robert le rejoint dans son combat, malgré l'opposition de la noblesse écossaise. Wallace défait à Falkirk, Robert the Bruce est désigné Gardien du Royaume d'Ecosse, conjointement avec John Comyn, ancien soutien de John Balliol, et donc ennemi juré de Robert... Il renonce rapidement à son titre, laissant le soin à Sir John de Soulis de veiller sur l'Ecosse. Ce dernier essaie d'organiser le retour sur le trône de Balliol. C'est sans doute une des raisons pour lesquelles, en 1302, Robert the Bruce se soumet avec d'autres nobles écossais à Edward Ier. Il garde ainsi ses chances d'accéder un jour au trône d'Ecosse.
Mais Robert the Bruce ne renie pas pour autant son patriotisme écossais. Le 11 juin 1304, Robert signe un pacte secret avec William Lamberton, évèque de Saint-Andrews. Bien que les deux hommes se soient soumis au roi d'Angleterre, ils ne renoncent pas pour autant à la liberté de l'Ecosse. En 1305, John Comyn révèle à Edward Ier la conspiration. Robert the Bruce, alors en visite à la Cour d'Angleterre, est prévenu de la trahison de Comyn et fuit en Ecosse. De retour à Dumfries, Robert va trouver Comyn, l'assassine et se proclame "King of Scots", le 25 mars 1305.
Edward Ier envoie alors ses armées en Ecosse, bat Robert lors de la bataille de Methven en juin 1306. L'autoproclamé roi d'Ecosse doit fuir vers les îles de l'ouest de l'Ecosse et se cacha pendant près d'une année. Edward Ier sème la terreur, assassinant les proches de Robert. Mais le 7 juillet 1307, Edward Ier, fatigué et malade, décède. Robert the Bruce sort alors de la clandestinité et rassemble dans une même armée les clans de toute l'Ecosse pour chasser l'occupant anglais. Edward II, fils et successeur d'Edward Ier, n'a pas la carrure de son père et les hommes de Robert the Bruce mènent pendant plusieurs années une véritable guérilla contre l'occupant anglais, multipliant les batailles victorieuses : Glen Trool, Loundoun Hill, Inverurie, Brander, Linlithgow, Dumbarton, Perth. Mais la victoire décisive a lieu en 1314 lors de la bataille de Banockburn, près de Stirling. Robert the Bruce continue sur sa lancée, envahit l'Irlande (plaçant son frère Edward the Bruce sur le trône) et mène des raids sur le nord de l'Angleterre. Le roi d'Angleterre Edward II n'a alors pas d'autre choix que de signer la paix. En 1320, les nobles écossais signent la déclaration d'Arbroath, par laquelle ils promettent de ne plus jamais se soumettre au gouvernement des anglais.
En 1328, le nouveau roi d'Angleterre Edward III signe le traité d'Edimbourg-Northampton, par lequel il reconnaît l'indépendance du Royaume d'Ecosse.
Robert the Bruce succombe à la maladie le 7 juin 1329 à Dumbarton, laissant son héritier David, à la tête d'un Royaume d'Ecosse indépendant
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   Posté le 09-10-2008 à 23:34:25   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

11ème question : Qui est le disciple de Jean Calvin, au 16ème siècle, fondateur de l'Église réformée d'Écosse, ennemi de Marie Stuart la catholique et également le réformateur de l'Église écossaise grâce à sa liturgie : The Book of common order. Prenez une photo.



John Knox (ca.1515-1572), disciple de Jean Calvin, fondateur de l'Église réformée d'Écosse, ennemi de Marie Stuart la catholique.

John Knox est le réformateur de l'Église écossaise grâce à sa liturgie : The Book of common order. Collaborateur de Jean Calvin, il a organisé l'Église presbytérienne et fut l'une des figures de la réforme écossaise entamée en 1528.

Formé à l'université de Glasgow (1529), il étudie la théologie à Saint Salvator's College (1531-1535). Ordonné prêtre en 1536, Knox débute comme notaire, avant de devenir précepteur vers 1544. Témoin des premiers mouvements de réforme qui surviennent après la mort de Jacques V (1542) et marqué par l'autorisation de la lecture de la Bible en langue vulgaire, et adepte de la Réforme peu après et devient pasteur à Saint Andrews (petite ville située sur la mer du Nord à quelque 100 kilomètres de Glasgow). Violé en 1547 par les armées catholiques, il est prisonnier en France (juillet 1547 - mars 1549) et envoyé aux galères. Après sa libération, il se rend en Angleterre (1549), et se met à prêcher à Berwick, où il rencontre sa future femme Marjory Bowes. Il devient aumônier d'Édouard VI en 1551, et participe à la révision du Book of Common Prayer.

À l'avènement de la catholique Marie Tudor en 1553, il s'enfuit d'Angleterre, gagne la France (Dieppe - janvier 1554) puis se rend à Genève (où il rencontre Jean Calvin), à Francfort-sur-le-Main (novembre 1554 - mars 1555) et en Écosse, puis revient à Genève (1556) où il devient pasteur de l'Église anglaise, la dotant d'une liturgie (1556) essentiellement traduite de la Forme des prières de Calvin: elle deviendra celle de l'Église écossaise.

De retour en Écosse le 2 mai 1559, il y introduit la Réforme, en prêchant des sermons violents contre la reine Marie Ire Stuart et entreprend la rédaction de son ouvrage The History of the Reformation of the Religion within the Realm of Scotland. La mort de la régente (Marie de Guise) permet au Parlement d'adopter une Confession de foi écossaise (17 août 1560) qui décrète l'abolition du catholicisme et son remplacement par le protestantisme qui devient religion d'État. Le 27 janvier 1561, l'Assemblée de l'église écossaise adopte un Livre de discipline.

Quittant définitivement Lévis, le 14 août 1561, Marie Stuart revient en Écosse à la mort de son époux, le roi de France François II. Mais elle ne parvient pas à asseoir son autorité et les Français, aux prises avec les guerres de religion, ne peuvent pas la soutenir. Par ses sermons, John Knox s'oppose plus durement à la reine, au mode de vie de la cour et contribue à sa déposition en 1567. Puis il exerce une influence considérable sur le gouvernement de Jacques VI d'Écosse (futur Jacques Ier d'Angleterre), mais meurt avant l'établissement définitif de l'Église presbytérienne d'Écosse.

Prédicateur énergique, penseur rigide et borné, Knox a composé de nombreux traités. Dans ses écrits sur les responsabilités religieuses du pouvoir civil, il dépasse de loin la doctrine plutôt passiviste de Calvin, pour qui le fidèle ne doit pas résister à un souverain, même inique ; Knox a développé (le premier) l'idée que les autorités subalternes (nobles, magistrats) ont le droit et le devoir de résister à un tyran qui, comme Marie Tudor, cherche à imposer l'idolâtrie à ses sujets…

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   Posté le 09-10-2008 à 23:42:31   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

12ème question : Décrivez la vie de Marie Ire d'Écosse, combien de fois s’est-elle mariée ? Comment est-elle décédée ? Prenez des photos.



Marie Ire d'Écosse (Marie Stuart, ou Mairi Ire en gaélique écossais) (8 décembre 1542 - 8 février 1587), aussi connue comme Marie, reine des Écossais, était une reine du royaume d'Écosse, qui fut emprisonnée en Angleterre par sa cousine, la reine Élisabeth. Elle fut exécutée après avoir été condamnée pour trahison en 1587 .

C'est la première reine d'Ecosse à avoir épousé un proche de la Couronne d'Angleterre, en la personne de l'anglais Matthew Stewart, beau-frère de la Reine Marie Tudor, qui lui donne son nom de Stuart, alors que la mère de Marie Stuart est la français Marie de Guise. Elle est quelquefois confondue avec sa cousine Marie Ire d'Angleterre (Marie Tudor) qui vécut approximativement à la même période.

Elle fut successivement :

Reine d'Écosse à la mort de son père, quasiment dès sa naissance (elle n'a alors que six jours) du 14 décembre 1542 au 24 juillet 1567. Elle est probablement la mieux connue des souverains écossais, en grande partie à cause de son destin aussi tragique qu'extraordinaire (qui inspirera d'abord nombre d'écrivains ensuite nombre de cinéastes), puis,
Reine de France à dix-sept ans, après son mariage avec François II, du 10 juillet 1559 au 5 décembre 1560
Reine de France et d'Écosse : elle reste la seule souveraine à avoir pu prétendre à une telle dualité.

Elle se maria 3 fois :

le 24 avril 1558, elle épousa à Paris François de France qui devint le 10 juillet 1559 François II roi de France ;
le 29 juillet 1565, elle épousa à Édimbourg Henry Stuart, Lord Darnley qui devint par son mariage duc d'Albany et roi consort d'Écosse ;
le 14 mai 1567, elle s'unit à James Hepburn, comte de Bothwell qui devient duc d'Orkney

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   Posté le 09-10-2008 à 23:47:44   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

13ème question : Quel est le vrai nom d’alias Rob Roy, bandit et héros national ? Décrivez un peu sa vie. Prenez une photo.



Robert Roy MacGregor (7 mars 1671 – 28 décembre 1734), communément appelé Rob Roy, est un héros populaire écossais et un hors-la-loi du début du XVIIIe siècle.

Rob Roy est né à Glengyle, au bord du Loch Katrine, comme le certifie un extrait des registres du baptême de la paroisse de Buchanan. Son père était Donald MacGregor et sa mère Margaret Campbell. Rob Roy s’est marié avec Mary Helen MacGregor en janvier 1693. Par la suite ils eurent 4 enfants ; James, Ranald, Coll et Robert, connu sous le nom de Robin Oig ou Rob le jeune (Young Rob). Un cousin, Duncan fut également adopté.


Rob Roy est le nom anglais du gaélique Raibeart Ruadh, ou Robert le Rouge, en raison de sa chevelure rousse et bien que celle-ci ait bruni vers la fin de sa vie.

Il fut un brigand des Highlands, connu comme le Robin des Bois écossais. D’abord trafiquant de bétail, il devint lui même éleveur et vendait sa protection à ses voisins contre les autres voleurs de bétail. Un de ses clients n’était nul autre que James Graham (1682-1742), 4e marquis de Montrose, 1er duc de Montrose (en 1707). Il semble qu’il y ait eu une mésentente entre les deux hommes qui eut pour conséquence l’expropriation des MacGregor. Après la saisie de ses terres par le Duc, Rob Roy le combattit jusqu’en 1722, où il fut obligé de se rendre. Emprisonné, il fut finalement pardonné en 1727. Il est mort le 28 décembre 1734 dans sa maison à Inverlochlarig Beg, Balquhidder. Sa tombe se trouve dans le cimetière de Balquhidder.

La légende de Robert Roy MacGregor a inspiré le roman Rob Roy de Sir Walter Scott. Plusieurs adaptations de son histoire ont également été portées à l’écran, la plus récente étant Rob Roy, de Michael Caton-Jones en 1995.

La maison de Glengyle sur les rives du Loch Katrine, qui date du début du XVIIIe siècle, est construite sur le site de la maison de pierre dans laquelle Robert MacGregor serait né. En novembre 2004, elle a été vendue aux enchères malgré les objections du Scottish National Party (SNP - Parti national écossais).

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   Posté le 09-10-2008 à 23:57:25   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

14ème question : Quelles sont les découvertes de James Watt ? Prenez une photo.



James Watt ( né le 19 janvier 1736 à Greenock en Écosse - mort le 19 août 1819 à Heathfield près de Birmingham en Angleterre) était un mathématicien et ingénieur écossais dont les améliorations à la machine à vapeur furent une étape clé dans la révolution industrielle.



Watt a adapté le régulateur à boules - déjà utilisé pour la régulation des moulins à vent et à eau- pour assurer la régulation de la vitesse d’une machine à vapeur. Il a inventé la jonction à mouvement parallèle qui convertit un mouvement circulaire en mouvement approximativement rectiligne (ce dont il était très fier et le diagramme indicateur de vapeur pour mesurer la pression de la vapeur dans le cylindre pendant le cycle de fonctionnement de la machine, montrant ainsi son efficacité.





Watt a grandement contribué à la transformation de la machine à vapeur embryonnaire en un moyen de production d’énergie viable et économique. Il s’est aperçu que la machine à vapeur de Newcomen gâchait presque trois quarts de l’énergie de la vapeur en chauffant le piston et la chambre. Watt a développé une chambre de condensation séparée ce qui a augmenté significativement l’efficacité. Des améliorations supplémentaires (isolation du cylindre de vapeur, la machine à double action, un compteur, un indicateur et une valve de commande de puissance) ont fait de la machine à vapeur l’œuvre de sa vie.

Watt était opposé à l’utilisation de vapeur à haute pression et certains considèrent qu’il a freiné le développement technique de la machine à vapeur par d’autres ingénieurs, jusqu’à ce que ses brevets expirent en 1800. En particulier l’interdiction faite à son employé William Murdoch de travailler avec de la vapeur à haute pression pour ses expérimentations sur la locomotive à vapeur, a retardé le développement et l’application de cette invention. Avec l’aide de son partenaire Matthew Boulton, il s’est battu contre des ingénieurs rivaux comme Jonathan Hornblower qui a essayé de développer des machines qui échapperaient à ses brevets généraux. Boulton s’est avéré excellent homme d’affaires, et les deux hommes ont fini par faire fortune.



Il a introduit une unité appelée le cheval-vapeur pour comparer la puissance fournie par les machines à vapeur, sa version de l’unité étant équivalente à 550 livres-pied par seconde (environ 745,7 watts).

Watt a également inventé plusieurs autres choses, un appareil pour copier les lettres n’étant pas la moindre

dany
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   Posté le 10-10-2008 à 00:13:24   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

15ème question : Abbotsford, située près de Melrose, en Écosse, est une demeure historique ayant été la résidence de qui ? Décrivez les publications célèbres de ce personnage. Prenez une photo.



Abbotsford, située près de Melrose, en Écosse, est une demeure historique ayant été la résidence de l'écrivain britannique Walter Scott .



Quand Sir Walter Scott était enfant, il voyageait parfois avec son père de Selkirk à Melrose, dans le Scottish Borders, où il situe plusieurs de ses romans. En un certain endroit, le vieux gentleman a arrêté le chariot et a montré à son fils une pierre marquant le site de la bataille de Melrose (1526). Non loin de là se trouvait une petite ferme appelée Cartleyhole, qu'il a plus tard achetée.

Quand il eut les moyens, Scott transforma la ferme en demeure aristocratique matérialisant dans un style néo-gothique ses rêves de palais. Par les fenêtres, enrichies de insignes d'héraldique, le soleil brille sur les armures, les trophées de chasse, les meubles anciens et les tableaux. Des boiseries en chêne et en cèdre recouvrent les murs et dans les plafonds sont taillés et peints des blasons.

De nouvelles terres furent ensuite achetées, jusqu'à atteindre une étendue de presque 1 000 acres (4 km2), et on estime que les bâtiments ont dû lui coûter la somme de 25 000 £. Une voie romaine toute proche, qui a un gué utilisé autrefois par les abbés de Melrose, est à l'origine du nom d'« Abbotsford ».

Sir Walter Scott, 1er baronnet (15 août 1771 à Édimbourg - 21 septembre 1832 à Abbotsford) est un poète et écrivain écossais. Avocat de formation, antiquaire par goût, il parcourt l'Écosse à la recherche de son passé. Au tournant du XVIIIe et du XIXe siècles, il se lance dans la littérature, publiant des textes anciens (Sir Tristrem) ou appartenant à la tradition populaire (dans Les Chants de ménestrels de la frontière écossaise) autant que des poèmes de son cru, comme La Dame du lac. Puis, devant la gloire montante de Lord Byron, il se tourne vers le roman écossais, marqué par le succès de Waverley, avant d'évoluer vers le roman historique, où il brille notamment avec Ivanhoé et Quentin Durward.

L'un des plus célèbres auteurs écossais avec David Hume, Adam Smith, Robert Burns ou Robert Louis Stevenson, il est traditionnellement surnommé le « Magicien du Nord » (Wizard of the North). Il est également, avec Wordsworth, Coleridge, Byron, Shelley ou Keats, l'une des plus illustres figures du romantisme britannique. Père du roman historique, il a contribué à forger une image romantique de l'Écosse et de son histoire. C'est à lui, notamment, que l'on doit le retour de l'usage du tartan et du kilt, dont le port avait été interdit par une loi du Parlement en 1746.



Waverley, Rob-Roy , Suivi de La fiancé de Lammermoor, Robert Laffont, collection Bouquins, 1981. Préface, présentation, chronologie et note de Michel Crouzet.

Woodstock , éditions Florent-Massot, 1994, avant-propos d'Henri Suhamy et chronologie.

Waverley et autres romans , Gallimard, bibliothèque de la Pléiade, 2003. Introduction de Jean-Yves Tadié, traduction et présentation de Waverley par Henri Suhamy, traduction et présentation du Nain noir par Alain Jumeau, traduction et présentation du Cœur du Mid-Lothian chronologie, bibliographie par Sylvère Monod.

Redgauntlet, éditions du Rocher, collection Motifs, 2007, préface de James McCearney.

Ivanhoé et autres romans , Gallimard, bibliothèque de la Pléiade, 2007. Introduction de Jean-Yves Tadié, chronologie de Sylvère Monod. Traduction, présentation et notes d'Ivanhoé par Henri Suhamy, traduction de Quentin Durward par Philippe Jaudel, présentation et notes par Pierre Morère, traduction, présentation et notes du Talisman par Sylvère Monod. Notices et complément bibliographique d'Henri Suhamy.
dany
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   Posté le 10-10-2008 à 00:30:09   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

16ème question : Quel acteur écossais a interprété le rôle de l'agent 007, James Bond, à sept reprises ? Prenez une photo.



Sir Thomas Sean Connery, né le 25 août 1930 à Édimbourg, est un acteur écossais. De son impressionnante filmographie, outre des choix éclectiques, on notera qu'il a interprété le rôle de l'agent 007, James Bond, à sept reprises. Il a remporté, entre autres, un Oscar pour son rôle dans Les Incorruptibles en 1988, un BAFTA pour son interprétation du moine Guillaume de Baskerville dans Le Nom de la rose la même année, ainsi que deux Golden Globes.

Le 5 juillet 2000, à 69 ans, il fut anobli par la reine d'Angleterre Élisabeth II pour célébrer sa carrière au cinéma. En 2003 après le tournage du film La Ligue des gentlemen extraordinaires, Sean Connery a annoncé sa retraite cinématographique.

Il est particulièrement reconnu pour avoir gardé son accent écossais, peu importait la nationalité du personnage qu'il jouait. Malgré le fait qu'il était plus vieux que la plupart des Sex Symbols contemporains, Sean Connery a été souvent qualifié de « Sexiest Man Alive » (Homme le plus sexy) par divers magazines.


Les années James Bond : 1963-1967, 1971, 1983

En 1961, le « London Express » organise un concours afin de trouver une nouvelle figure pour le rôle de James Bond, l'agent 007, sorti de l'imagination de Ian Fleming. Il remporte le concours devant six cents candidats (dont David Niven, James Mason et Cary Grant)[11], et va incarner le héros dans sept épisodes, six produits par EON, la société d'Albert R. Broccoli, et le septième non-officiel produit par Warner Bros :

1963 : James Bond 007 contre Dr. No (Dr. No), réalisé par Terence Young
1964 : Bons baisers de Russie (From Russia with Love), réalisé par Terence Young
1965 : Goldfinger, réalisé par Guy Hamilton
1965 : Opération Tonnerre (Thunderball), réalisé par Terence Young
1967 : On ne vit que deux fois (You Only Live Twice), réalisé par Lewis Gilbert
1971 : Les diamants sont éternels (Diamonds Are Forever), réalisé par Guy Hamilton
1983 : Jamais plus jamais (Never Say Never Again), réalisé par Irvin Kershner (non-officiel)

L'acteur fut découvert par Harry Saltzman et Albert R. Broccoli après que les autres aspirants du rôle de Bond se sont fait éliminer, y compris David Niven qui jouera Bond dans la parodie Casino Royale en 1967, Cary Grant et James Mason. Le budget restreint contraint les producteurs à engager un acteur inconnu.

Le créateur de James Bond, Ian Fleming, émit des réserves sur le choix de l'acteur : « He's not what I envisioned of James Bond looks » (« Il ne ressemble pas à ce que j'envisageai pour James Bond » et « I’m looking for Commander Bond and not an overgrown stunt-man » (« Je recherche le commander Bond et pas un cascadeur trop grand »), ajoutant que Sean Connery (musclé, 1m88 et écossais) n'était pas raffiné. Malgré tout, l'amie de Ian Fleming lui dit que Connery avait le « charisme sexuel requis ». Fleming changea d'avis après la première réussie de James Bond 007 contre Dr. No : il était tellement impressionné d’avoir créé un héritage mi-écossais et mi-suisse pour le James Bond littéraire de ses prochains romans.

Le succès du film lui donne immédiatement une dimension internationale et marque le début d’une prestigieuse filmographie, avec des cachets en rapport avec la notoriété grandissante. Mais en juin 1967, après le tournage de On ne vit que deux fois, Sean Connery quitte le rôle, lassé des complots répétitifs, du manque de développement du personnage, de l'association permanente entre lui et Bond aux yeux du public et de la peur d'être enfermé dans un rôle.

Sa dernière participation officielle en tant que 007 est dans le 6e épisode Les diamants sont éternels en 1971 (7e épisode en tout : Au service secret de Sa Majesté en 1969, où l'agent 007 est incarné par George Lazenby). Il fut payé 1 million de dollars pour ce rôle. Il déclina l'offre de 5 millions de dollars pour faire le prochain film Vivre et laisser mourir en 1973 qui verra le début de la participation de Roger Moore dans le rôle du Commander Bond.

Le remake d’Opération Tonnerre en 1983 voit Sean Connery revenir pour sa septième et dernière fois dans le film non-officiel Jamais plus jamais. Le titre du film vient d'un commentaire de Sean Connery à la fin des diamants sont éternels, sur le fait qu'il ne jouerait « plus jamais » le rôle de Bond[12].

Plus de quarante ans après avoir joué le rôle, l'interprétation de James Bond par Sean Connery reste pour certains la meilleure, malgré les interprétations populaires de Roger Moore, Timothy Dalton, Pierce Brosnan et finalement Daniel Craig.

Les sentiments de Sean Connery à propos du personnage de James Bond vont de l'affection au ressentiment : un jour il dit qu'il déteste tellement le personnage qu'il pourrait le tuer, mais il dit aussi qu'il n'a jamais détesté Bond, mais qu'il aurait simplement voulu pouvoir en développer d'autres facettes. Il affirma également qu'il se souciait toujours de l'avenir du personnage et de la franchise, ayant été l'une de ses icônes pendant trop longtemps pour ne pas s'en inquiéter, et que tous les films avaient leurs points positifs.







dany
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   Posté le 10-10-2008 à 00:37:51   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   



RANDO ECOSSAISE 2E PARTIE TERMINEE


Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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Wolf-Samantha
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   Posté le 10-10-2008 à 19:18:02   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

Dany très belle rando réussie félicitation un grand très bonne documentation très belles photos avec beaucoup de recherches toujours un plaisir de lire tes randos çà t'as instruit un peu plus

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