Sujet :

WOLF-SAMANTHA

Wolf-Samantha
   Posté le 06-05-2011 à 09:07:09   



REPONSES DE WOLF-SAMANTHA


Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 09:52:44   

1ère question


- Vous arrivez dans le port de Marie-Galante, photo de vous à l’arrivée.

Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 09:55:44   

2ème question


- Décrivez Marie-Galante ainsi que sa géographie, prenez des photos.

Marie-Galante « l'île aux cent moulins », fait partie de l'archipel de Guadeloupe; elle se situe à 30 km des côtes de la « Guadeloupe continentale ». Sa superficie de 158 km2 en fait la 4e île des Antilles françaises, juste après la Martinique (1 128 km2), la Basse-Terre (848 km2) et la Grande-Terre (586 km2).
Avant tout agricole, l'île connaît aussi une activité de pêche et s'ouvre petit à petit au tourisme. Marie-Galante est adhérente à la charte Pays qui favorise l'action coordonnée des communes la composant et valorise la production locale. Comme en Guadeloupe, la langue officielle est le français et la langue régionale, le créole.

Depuis les débuts de la colonisation, Marie-Galante a toujours été rattachée administrativement à l’arrondissement de Pointe-à-Pitre, hormis la période révolutionnaire de 1793-1794. Elle était républicaine alors que le reste de l'archipel était encore royaliste.
En 1994, ses trois communes se sont constituées en communauté de communes, la première créée dans un département d'outre-mer. Son chef-lieu est Grand-Bourg, les deux autres communes étant Saint-Louis et Capesterre-de-Marie-Galante.

Marie Galante comptait en 1946, 30 000 habitants. Fortement marquée par l'exode massif de ses jeunes vers la Guadeloupe et la France, l'île ne comptait plus en 2006 que 12 000 habitants. Cette chute de la population étant liée à la lente agonie de l'économie sucrière pendant cette période.

Géographie :
Certains appellent Marie-Galante la Grande Galette à cause de sa forme arrondie de 15 km de diamètre. L'île est un substrat calcaire vallonné, arrosé par l'alizé mais aussi soumis aux cyclones et aux tremblements de terre.
La côte nord, face à la Grande-Terre, est caractérisée par une haute falaise. Une faille appelée la Barre sépare le quart nord du reste de l'île. À l'ouest, face à la Basse-Terre, plages et mangroves s'étendent le long de la mer des Caraïbes. Les rivières de Saint-Louis et du Vieux-Fort s'y écoulent après avoir traversé le plateau insulaire depuis le cœur de Marie-Galante. À l'est et au sud, le plateau devient mornes pour basculer en pentes escarpées vers une plaine littorale. Celle-ci longe l'Atlantique dont elle est protégée par une barrière corallienne, les cayes.

Une partie du patrimoine animal et végétal terrestre a été dégradée suite aux activités humaines. Sauf à l'ouest, des récifs frangeants abritent encore de nombreuses espèces marines. Ils sont peu développés. A l’ouest de l'île, un banc corallien est présent à 20 mètres de fond environ. Des herbiers de Phanérogames marines peuplent les fonds sableux littoraux, de manière discontinue.




Photo de Marie-Galante
Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 09:58:57   

3ème question


- Décrivez l’histoire de Marie-Galante, prenez des photos.

Histoire :
Au IIIe siècle, les Arawaks étaient installés sur l'île, qu'ils appelaient Touloukaéra. Les Caraïbes l'occupèrent au IXe siècle et lui donnèrent pour nom Aïchi ou Aulinagan, terre à coton. Les populations amérindiennes cultivaient aussi du manioc et avaient appris l'usage des plantes médicinales. Ils vivaient également de la pêche. On a trouvé dans des grottes et dans les vestiges de leurs villages des céramiques, des pétroglyphes et des objets religieux.
Puis l'île fut baptisée le 3 novembre 1493 Maria Galanda, lors du second voyage de Christophe Colomb, prenant ainsi le nom de sa caravelle qui l'aurait abordée à Anse Ballet.
Une cinquantaine de colons français fut installée en 1648 à proximité du lieu-dit Vieux-Fort, par le gouverneur Charles Houël. En 1653, un second fort est bâti à Grand-Bourg. La population souffrait de conditions de vie difficiles et subit les attaques des Caraïbes jusqu'en 1660, année où un traité de paix fut signé à Basse-Terre entre autochtones et colons.
Pendant cette seconde moitié du XVIIe siècle, les premiers esclaves furent amenés d'Afrique à Marie-Galante pour cultiver les plantations. En 1671, la population noire constituait 57% des habitants. Des Hollandais juifs exilés du Brésil s'installèrent aussi, en apportant leurs techniques de la culture de la canne à sucre.
En 1676, une flotte hollandaise enleva la population et pilla ses installations. Après le repeuplement de l'île, ses nouveaux habitants furent attaqués trois autres fois par les Hollandais.
De 1692 à 1816, Anglais et Français se disputèrent l'île à cinq reprises. Au cours de cette période, Marie-Galante fut indépendante de 1792 à 1794. En 1790, sur 11 500 Galandais, 9 400 étaient des esclaves.
En 1838, un incendie dévasta Grand-Bourg, et en 1843, l'île fut touchée par un tremblement de terre.
Les révoltes d'esclaves et l'intervention des abolitionnistes français aboutirent en 1848. À Marie-Galante, l'abolition définitive de l'esclavage fut fêtée pendant 3 jours et 3 nuits autour de la mare au punch à l'Habitation Pirogue. Mais ces événements ne marquèrent pas la fin des violences coloniales. Lors des élections législatives de 1849, les forces de l'ordre réprimèrent, au morne Rouge, les affranchis qui s'opposaient à la fraude organisée par les grands planteurs. Il faudra attendre 1920 pour que des descendants d'esclaves deviennent propriétaires d'une sucrerie à Marie-Galante.
En 1865, un cyclone puis le choléra frappèrent l'île et sa population. En 1902, un second incendie dévasta Grand-Bourg. Des cyclones touchèrent encore l'île en 1928 et 1995.
En 1994 la charte du pays Marie-Galante est signée. Les membres la composant à savoir les trois communes de l'île se sont engagées par cette charte à valoriser la production locale de l'île et à protéger son patrimoine écologique en créant un site protégé au nord-est de l'île en partenariat avec l'association Amicale Ecolambda. Marie-Galante se présente donc comme un pays vert en devenir.
Le 24 janvier 2010 à 18 heures 43 minutes, heure locale un séisme d’une magnitude de 5,1 survient, en Martinique. Son hypocentre est situé approximativement à 60 km Marie-Galante, et à 52 km de Saint-François au nord de la Guadeloupe à une profondeur de 67 km. Les sismologues indiquent toutefois que ce tremblement de terre n’aurait aucun rapport avec le séisme d'Haïti du 12 janvier.




Photo de Marie-Galante
Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:02:49   

4ème question


- Décrivez l’économie et la culture de l’île, prenez des photos.

Economie & Culture :
L'économie coloniale développa sur l'île les cultures du tabac, de l'indigo, du café et du coton. Mais dès le XVIIe siècle, les planteurs ont fait de la canne à sucre une très importante source de revenus. Elle se maintint aux XIXe siècle et XXe siècle, s'adaptant à l'abolition de l'esclavage et à la grande crise sucrière.
De cette culture de la canne, Marie-Galante a hérité un surnom : l'île aux cent moulins. On dénombrait en 1818 un peu plus d'une centaine de moulins, qui permettaient de broyer la canne. Le jus qui en était tiré était transformé en sucre ou en rhum. Les moulins étaient originellement actionnés par des bœufs, puis des moulins à vent apparurent à partir de 1780, à leur tour concurrencés par des moulins à vapeur à partir de 1883.
Le XIXe siècle vit disparaître l'organisation économique de l'Ancien Régime. Progressivement, toutes les petites sucreries furent restructurées en usines sucrières. En 1885, 5 sites regroupaient l'activité. En 1931, 18 distilleries et 4 usines à sucre étaient en production. Les grandes plantations ont fait place à de petites exploitations agricoles, organisées au XXe siècle autour de coopératives. Mais l'agriculture est soumise dans toutes les Antilles françaises à une forte concurrence internationale. En ce début de XXIe siècle, une sucrerie (usine de Grande Anse) et trois distilleries (Bellevue, Bielle, Poisson) subsistent à Marie-Galante. Le rhum blanc agricole qui y est produit fait l'objet d'une appellation d'origine. Il est classé AOC (59°). La production sucrière biologique pourrait aussi être un nouvel axe de développement, mais le contexte actuel d'arrêt des subventions européennes rend incertain l'avenir agricole et donc économique de Marie-Galante et de ses habitants.
De l'ancienne économie, on peut encore voir de nombreux vestiges. Cette richesse historique est mise en valeur : quelques 70 tours dont 2 moulins restaurés (Moulin de Bézard), habitations coloniales et anciennes sucreries (Habitation Murat). Un réseau de sentiers permet aux randonneurs de découvrir l'île et sa population.
Ainsi Marie-Galante connaît-elle à son tour, comme les autres îles de Guadeloupe, la mutation économique que permet l'activité touristique. Mais le développement de ces services s'appuie ici sur une politique de conservation de la nature et du patrimoine, qu'il soit précolombien, colonial ou contemporain. Les Marie-Galantais préservent ainsi un style de vie pittoresque alliant modernité et authenticité. Alors que l'île dispose de plages parmi les plus réputées de l'archipel, l'industrie hôtelière y est discrète. En revanche, des artistes internationaux s'y retrouvent chaque année à l'occasion du Festival Terre de Blues au cours du week-end de la Pentecôte.
Elle a été chantée par Laurent Voulzy dans la chanson « Belle-île en Mer, Marie Galante ». Cette chanson a inspiré le trophée BPE en 2007 ainsi que le jumelage de l'île avec Belle-Île-en-Mer.





Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:07:06   

5ème question


- Qui est Constant d'Aubigné et sa fille ? Prenez des photos.

Constant d’Aubigné, né vers 1585 et mort en 1647, fils d’Agrippa d'Aubigné, est chevalier, seigneur des Landes-Guinemer, baron de Surimeau.
Écuyer de la Petite-Écurie, gouverneur de Maillezais, gentilhomme de la Chambre du Roi, « vice-roi » des Iles de Marie-Galantes, il abjure le protestantisme en 1618 et mène une vie de débauche, dans son chateau de Maillezais, légué par son père, ami d'Henri IV et chef protestant. Il a assassiné sa première femme avec son amant en 16191.
Lors de son deuxième mariage, il gaspille très vite la dot de sa femme puis donne naissance à Françoise d'Aubigné, qui devient la Marquise de Maintenon et la maitresse puis l'épouse du roi de France Louis XIV.
Le 27 décembre 1627, à Bordeaux, il épouse Jeanne de Cardilhac, qu’il a rencontrée en prison. Ensemble, ils auront trois enfants :
Constant (1628-1647)
Charles (1634-1703)
Françoise (27 novembre 1635-15 avril 1719), future Madame de Maintenon.
Après des années de cachot à Paris, à La Rochelle, à Niort, à Angers, à Bordeaux, à La Prée, à Poitiers, sans compter les autres cachots à l’étranger, Constant est libéré après la mort de Richelieu en 1642. Mais ils doivent partir. Le nom de Constant d'Aubigné est cité dans le premier voyage de Pierre Belain d'Esnambuc, gouverneur de Saint-Christophe, à la Martinique en 1635.
Il emmène sa famille en 1645 à Saint-Christophe, puis la Martinique. Ils restent quelques mois à Marie-Galante, avant de revenir à la Martinique. Mais Constant d’Aubigné n’a pu – ou voulu – s’acclimater à son existence de colon.
Dès le début de 1645, sous prétexte de démarche auprès de la Compagnie des Indes occidentales en vue d’obtenir son titre de gouverneur, il repart pour la France en compagnie d’un valet.
Au printemps 1647 Jeanne de Cardilhac trouve quatre places à bord d’un navire en partance pour La Rochelle.
Constant d’Aubigné meurt le 31 août de cette même année à Orange.


Constant d’Aubigné



Sa fille Françoise, future Madame de Maintenon


En 1645, Constant d'Aubigné fut le gouverneur, discret, de Marie-Galante. Sa fille Françoise d'Aubigné l'accompagnait. Plusieurs années après, elle allait devenir Madame de Maintenon mais, de son séjour aux Antilles, lui restera le surnom de Belle Indienne.
Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:11:12   

6ème question


- Quels sont les premiers habitants de l’île, racontez leur histoire, prenez une photo ainsi que des photos des habitants d’aujourd’hui.

Les Arawaks (arahuacos en espagnol, Aroüagues dans les écrits français du XVIIe siècle) sont des Amérindiens des Antilles issus de la forêt amazonienne, proches de la culture saladoïde (ce nom est issu du site éponyme vénézuélien de Saladero). Le nom d'Arawaks qu'on leur a donné ne désigne pas un peuple en particulier mais une famille linguistique à laquelle se rattachent de nombreuses populations amérindiennes d'Amazonie dont les populations Kali'na ou Caraïbes.
À la fin du XVe siècle, les Arawaks étaient dispersés en Amazonie, sur toutes les Grandes Antilles, aux Bahamas, en Floride et sur les contreforts des Andes.
Les plus connues des peuplades Arawaks sont les Taïnos qui vivaient principalement sur l'île d'Hispaniola, à Porto Rico et dans la partie orientale de Cuba. Ceux qui peuplaient les Bahamas s'appelaient les Lucayans.
Il s'agit de populations néolithiques pratiquant l'agriculture, la pêche et la cueillette, mais ils produisirent une céramique typique extrêmement décorée par la technique de l'adorno et les peintures blanches, noires, ocre. Les populations amérindiennes des Antilles ne connaissaient pas l'écriture.
Dans leur phase la plus récente (800-900 apr. J.-C.) et aux Petites Antilles, les Arawaks se rattachent à la culture suazoïde, du nom du site éponyme de Savane Suazey sur l'île de Grenade. Ceux-ci ont été longtemps désignés sous l'appellation de caraïbe. Ces populations ne sont pas des populations radicalement différentes des populations saladoïdes.
On dit que les Arawaks avaient une doctrine bien particulière quant aux animaux qu'ils tuaient : ils s'excusaient et les remerciaient pour leur viande.

Les Arawaks sont les premiers Amérindiens à avoir eu un contact avec les Espagnols du XVe siècle, c’est-à-dire Christophe Colomb et son équipage. Le bateau de Colomb arrivait alors aux Bahamas, l'étrange gros navire attirait la curiosité des Amérindiens, qui, émerveillés, s'en allèrent à la nage à la rencontre des visiteurs. Quand Colomb et ses marins débarquèrent, armés de leurs épées, parlant leur étrange langage, les Arawaks leur apportèrent rapidement de la nourriture, de l'eau, des cadeaux. Plus tard Colomb écrira ceci : « Ils nous apportèrent des perroquets, des ballots de coton, des javelots et bien d'autres choses, qu'ils échangèrent contre des perles de verre et des grelots. Ils échangèrent de bon cœur tout ce qu'ils possédaient. Ils étaient bien bâtis, avec des corps harmonieux et des visages gracieux. Ils ne portent pas d’armes – et ne les connaissent d’ailleurs pas, car lorsque je leur ai montré une épée, ils la prirent par la lame et se coupèrent, par ignorance. Ils ne connaissent pas le fer. Leurs javelots sont faits de roseaux. Ils feraient de bons serviteurs. Avec cinquante hommes, on pourrait les asservir tous et leur faire faire tout ce que l’on veut. »
Colomb, fasciné par ces gens si hospitaliers écrira plus tard : « Dès que j’arrivai aux Indes sur la première île que je rencontrai, je m’emparai par la force de quelques indigènes, afin qu’ils apprennent et puissent me donner des renseignements sur tout ce qu’on pouvait trouver dans ces régions. »


Photo d'Arawaks





Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:17:14   

7ème question


- Décrivez Grand-Bourg, prenez des photos.

Grand-Bourg est une commune française, située dans le département de la Guadeloupe sur l’île de Marie-Galante. La commune constitue à elle seule le Canton de Grand-Bourg.
Grand-Bourg est située au sud-ouest de l'île de Marie-Galante dont elle est le chef-lieu. La majeure partie de la commune est constituée d'un plateau vallonné. Celui-ci domine une large plaine littorale et une mangrove au nord, bordées de plages sur leur plus grandes partie. Au sud, celles-ci sont protégées par une barrière corallienne. La limite nord de la commune suit la rivière Saint-Louis.
Le Marais Folle Anse, vaste réserve d'eau douce, facilita l'installation des Arawaks dès le début du 1er millénaire. Il est possible que Christophe Colomb débarqua à l'Anse Ballet en 1493 lors de son second voyage. En 1653, un fort est implanté par les colons français arrivés dur l'île depuis 1648.
Grand-Bourg assure une part importante de l'activité économique, commerciale et administrative de l'île. Le port est le plus important de l'île. Il accueille des activités de pêche et touristiques. Un aérodrome assure la liaison avec la Guadeloupe en 15 mn.
L'habitation Murat accueille divers activités culturelles dont un écomusée dans un parc qui était, à l'époque coloniale, la plus riche sucrerie.
La mare au punch lieu commémoratif de l'abolition de l'esclavage
L'usine de Grande Anse ainsi que les distilleries Bielle et Poisson pour découvrir l'activité de la canne.









Photo de Grand-Bourg
Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:22:02   

8ème question


- Décrivez Capesterre, prenez des photos.

Capesterre-de-Marie-Galante est une commune française, située dans le département de la Guadeloupe sur l’île de Marie-Galante. La commune constitue à elle seule le Canton de Capesterre-de-Marie-Galante.
Capesterre est située au Sud-est de l'île de Marie-Galante. La majeure partie de la commune est constituée d'un plateau vallonné. Celui-ci bascule sur une plaine littorale avec d'importants dénivelés, les mornes. Le point culminant de l'île, le morne Constant (204 m), est accessible par le nord de la commune. Le port de Capesterre et ses longues plages sont protégés des vagues de l'Atlantique par les cayes, barrières coralliennes. Le climat y est de type tropical.
La plage de Feuillère à l'entrée du bourg
Les Galeries formées par l'océan dans les vastes falaises au nord de la commune
Le moulin de Bézard qui permettait de tirer le jus de la canne à sucre
La distillerie Bellevue bâtie sur les ruines d'une ancienne distillerie, actuellement précurseur local en matière d'écologie. Particularité marie-galantaise, son rhum est vendu sur place à 59°.




Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:29:22   

9ème question


- Décrivez Saint-Louis avec Vieux-Fort, prenez des photos.

Saint-Louis de Marie-Galante est une commune française, située dans le département de la Guadeloupe sur l’île de Marie-Galante. La commune constitue à elle seule le Canton de Saint-Louis.
Saint-Louis de Marie-galante est située au nord-ouest de l'île de Marie-Galante (de son premier nom Aulinagan à l'époque amérindienne) dont elle est la plus grande commune. Délimité au sud par la rivière Saint-Louis et au nord par une haute falaise, son territoire est séparé en deux par une faille dite la Barre. La rivière du Vieux-Fort la traverse. La côte ouest est bordée de nombreuses plages. Le climat y est de type tropical. Elle compte parmi les plus beaux sentiers pédestres de l'île.

Des populations amérindiennes s'étaient installées de longue date sur le territoire de Saint-Louis de Marie-galante. Les colons français bâtirent au lieu-dit Vieux-Fort leur première occupation sur l'île en 1648. Le bourg principal d'origine était Vieux-Fort. Mais suite au massacre des colons par les indiens caraïbes en 1653, le centre fut reconstruit un peu plus loin. Après le tremblement de terre de 1843 et Vieux-Fort détruit, les administrations s'installèrent dans la baie de Saint-Louis, et le bourg se développa autour de l'activité sucrière de l'île. Saint-Louis de Marie-Galante témoigne d'une grande activité amérindienne, Arawak puis Caraïbes. Beaucoup d'instrument servant à la culture sur brûlis de ces deux peuples ont été retrouvés. Au début de la colonisation, Caraïbes et Français cohabitaient pacifiquement. Mais en représaille des violences commises par les Français en Dominique, les Caraïbes ont perpétré des massacres sur ces colons. La paroisse de Vieux-Fort est créée tardivement vers 1750. Après le séisme de 1843 l'église est déplacée sur la Baie de Saint-Louis de marie-Galante qui devient le bourg de la commune en 1865 suite au cyclone. Les habitants se nomment les Saints-Louisiens.
Première ville de Guadeloupe de moins de 3000 habitants à s'inscrire dans les partenariats de type II promus par les Nations Unies qui incluent l'émergence de la Société civile. En effet, elle détient un partenariat public / privé avec l'ONG PLAC 21, unique et première Organisation Non Gouvernementale française des Caraïbes à détenir le « Statut Consultatif Spécial» conféré par le Conseil économique et Social des Nations Unies.
Ville jumelée avec Belle-ile en mer, Saint-louis du Mississippi, Saint-Louis du Sénégal.

Le port de Saint-Louis assure la liaison avec l'archipel et accueille une activité de pêche,
Canne à sucre,
Elevage bovins,
Antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Pointe-à-Pitre,
Projet d'une centrale photovoltaîque expérimentale.

Gueule Grand-Gouffre une arche naturelle creusée par l'océan dans la falaise,
Ecolambda pour découvrir la faune et la flore caraïbe dans un amphithéâtre naturelle,
La distillerie Bellevue,
La fête de la charrette, le 7 août,
Les belles plages de Anse de Mays, Anse Moustique, Anse Canot et de Vieux-Fort,
Parcours en pédalo sur la plus importante Mangrove de l'ile,
Ilet de vieux Fort,
Les Sources et sa rivière,
Moulin de Ménard, Moulin de Mayolette,
Site de Fréchy-Dorot
Club Jazz "Chez Henri".







Photo de Saint-Louis








Photo de Gueule Grand-Gouffre
Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:31:40   

10ème question


- Prenez plusieurs photos de vous sur Marie-Galante.



Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:33:36   

J'ai terminé la rando de Marie-Galante





Wolf-Samantha
   Posté le 12-05-2011 à 10:42:26