Sujet :

WOLF-SAMANTHA

Wolf-Samantha
   Posté le 06-08-2010 à 18:05:48   



REPONSES DE WOLF-SAMANTHA


Wolf-Samantha
   Posté le 10-08-2010 à 11:07:25   

1ère question


- Vous arrivez à Aurillac, décrivez son histoire, photo de vous en ville.

Aurillac est une commune française de la région d'Auvergne. C'est la préfecture du département du Cantal (15).
Ses habitants sont appelés les Aurillacois.
Aurillac est située au pied des monts du Cantal dans un petit bassin sédimentaire. La ville est construite sur les rives de la Jordanne, affluent de la Cère qui coule à proximité. Elle est desservie par la Route nationale 122 et la voie ferrée Figeac - Arvant.
Aurillac est relié à Paris par deux vols quotidiens. Aucun TGV ou autoroute ne dessert Aurillac.

Histoire :
L’origine d'Aurillac (Aureliacum = villa d'Aurelius) remonte à l'époque gallo-romaine, ce dont atteste le fanum polygonal d'Aron construit au Ier siècle et découvert en 1977 à Lescudillier.
On peut penser qu'à l'époque gauloise, le site régional primitif de la cité était sur les hauteurs qui dominent la ville à Saint-Jean-de-Dône ("Dône" = dunum) et que, comme la plupart des oppida, il a été abandonné après la conquête romaine au profit d'une ville nouvelle établie dans la plaine. Avec le retour de l'insécurité du Bas-Empire, on assiste au mouvement d'enchâtellement : un nouveau site fortifié est établi à mi-pente entre l'ancien oppidum et l'ancienne ville gallo-romaine, là où se trouve aujourd'hui le château Saint-Étienne.
L'histoire de la ville n'est réellement connue qu'à partir de 856, année de naissance du Comte Géraud, au château dont son père, nommé aussi Géraud, était le seigneur. Vers 885, celui-ci fonde une abbaye bénédictine qui portera plus tard son nom.
C’est dans ce monastère qu’étudiera Gerbert, premier pape français sous le nom de Sylvestre II.
La ville s’est constituée sur un territoire de sauveté qui est situé entre quatre croix et qui a été fondée en 898 par Géraud, peu après l'abbaye. De forme circulaire, la première unité urbaine s'est formée à proximité immédiate de l’abbaye d'Aurillac. Géraud meurt vers 910 mais son rayonnement est tel qu’au fil des siècles, Géraud est toujours resté un prénom de baptême répandu dans la population d'Aurillac et des environs.
C’est au treizième siècle que l'on commence à bien connaître les coutumes municipales grâce à un conflit entre les consuls et les abbés. Après la prise du château Saint-Étienne en 1255 et deux sentences arbitrales appelées les Paix d'Aurillac, les relations se normaliseront.
Aux XIIIe et XIVe siècles, Aurillac soutient plusieurs sièges contre les Anglais et au seizième siècle, continue à subir les guerres civiles et religieuses.
L'influence de l'abbaye décline avec sa sécularisation et sa mise en commende.
En 1569, la ville livrée par trahison aux protestants, les habitants torturés, rançonnés et l'abbaye saccagée. Toute sa bibliothèque et toutes ses archives sont brûlées.
Avant la Révolution, Aurillac abrite un présidial et porte le titre de capitale de la Haute-Auvergne. En 1790 à la création des départements, après une période d'alternance avec Saint-Flour, Aurillac devient définitivement le chef-lieu du Cantal.
C’est l'arrivée de la voie ferrée, en 1866, qui accélère le développement de la cité.
Au premier recensement, en 1759, Aurillac comptait 6 268 habitants, elle en compte aujourd'hui environ 31 000.

Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 17:36:15   

2ème question


- Décrivez le festival d’Aurillac, prenez des photos de la ville.

Le festival d'Aurillac (Festival international de théâtre de rue d'Aurillac) se tient chaque année depuis 1986, à la fin du mois d'août d'une durée de quatre jours. Depuis 2004 ce festival est précédé par "Les préalables" d'une durée variable (souvent de début août au festival) pré-festival proposant des spectacles de rues dans tout le Cantal (et parfois même en Corrèze) avec le soutien de l'association éclat. 2008 inaugure la première "université des arts de rues" (Site éclat)
Les européennes du goût/Les goudots gourmands Le Européennes du goût. Pendant trois jours en juin, a lieu un festival gastronomique et culturel durant lequel sont décerné divers prix (Les Goudots gourmands) et où il est mit en place des cours de cuisine (thèmes différents chaque années 2008 : Slow Food) assuré par des grands chefs et un partage de recettes entre festivaliers (Les blogs gourmand)
Le Théâtre d'Aurillac, 4 rue de La Coste
2007 marque la première édition des 36 Heures d'Aurillac, Solos et petites pièces dansées.






Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 17:50:38   

3ème question


- Décrivez la géographie du Cantal, prenez des photos du département.

Le département du Cantal est un département français situé dans la région d'Auvergne, dont le nom vient des monts du Cantal. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 15.

Géographie :
Le Cantal fait partie de la Région Auvergne. Il est limitrophe au Nord, des départements de la Corrèze, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme, à l'Est de de la Haute-Loire et de la Lozère, au Sud de l'Aveyron et du Lot, à l'Ouest du Lot et de la Corrèze.
Ses rivières, qui sont au nombre de 18 ou de 22, descendent en étoile des Monts-du-Cantal dans autant de vallées situées dans les bassins de la Garonne et de la Dordogne et un peu dans celui de la Loire.
Le département du Cantal tire son nom du Cantal, massif montagneux principal qui le couvre. En effet, c'est un département de moyenne montagne occupé essentiellement par le Massif volcanique du Cantal et par ses contreforts. Ce massif est un vestige d'un ancien volcan dont le diamètre est de près de 60 km (le plus grand d'Europe). Son point culminant actuel, le Plomb du Cantal atteint 1858 mètres. Le massif forme un cercle presque parfait dont les pentes s'élèvent en convergeant vers le centre. En ce centre se trouve un immense cirque qui devait être l'ancien cratère.
Dans ce massif se trouvent de nombreux sommets remarquables : à côté du Plomb du Cantal, on trouve le Puy Mary (1787 mètres), le Puy Chavaroche (1744 mètres), le Puy Violent (1594 mètres), le Puy Griou (1694 mètres), le Puy du Peyroux (1686 mètres), le Puy Gros (1599 mètres) et enfin le Lioran ou Puy de Mussabiau (1420 mètres).
Sur les flancs du massifs descendent des vallées profondes, modelées autrefois par l'érosion glaciaire, qui s'étendent à partir du centre de manière radiale. Parmi elles les vallées de l'Impradine, de la Santoire, de la Cère, de l'Alagnon, de la Jordanne, de la Doire (rivière) et de la Rhue. Très larges dans les terrains volcaniques, elles se resserrent à leur sortie.
Entre ces vallées, on trouve des plateaux. À l'Est, la Planèze de Saint-Flour est plutôt sèche tandis qu'à l'Ouest les terres sont plus arrosées du côté de Salers.
Dans l'ouest du Cantal se trouve l'immense lac artificiel du barrage de Saint-Étienne-Cantalès, le lac du Ribeyrès.
Au nord du Cantal, le volcanisme se prolonge dans les monts du Cézallier puis dans les Monts Dore (département du Puy de Dôme), tandis qu'à l'est la chaîne de la Margeride se prolonge en direction des cévennes (département de la Lozère). Le Cantal apparaît ainsi comme une entité géographique à la fois autonome et ouverte sur les territoires alentours.
Les villes principales sont Aurillac, mais aussi Saint-Flour et Mauriac.





Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 17:55:21   

4ème question


- Décrivez l’économie du Cantal et racontez l’histoire des jouets Dejou, prenez des photos.

Économie :
Surface Agricole Utile : 378 187 ha
Nombre d'exploitations agricoles : environ 6000

On y pratique essentiellement l'élevage de bovins (race Salers) (467 000 têtes en 2000), ovin (56 200 têtes en 2000) et porcin (53 700 têtes en 2000).
L'élevage sert aussi à la production de lait (3 623 000 litres en 2000) qui est utilisé en partie dans la fabrication de fromage tels que le cantal, le bleu d'Auvergne (47 220 tonnes de fromage en 2000), ou le salers.

Production et distribution de gaz industriels et médicaux.

Le bois reste une richesse de la région (chênes, résineux). L'exploitation forestière, moins prospère qu'autrefois, reste une composante de l'économie locale. Une très importante usine de menuiserie industrielle, installée à Ydes, emploie plusieurs centaines de personnes.
Fabrication de meubles, d’emballages en matières plastiques, de produits pharmaceutiques et de parapluies.
Les jouets Dejou en bois.
Les jouets Dejou sont des jouets en bois, construits entre les années 1937 et 1985, à plus de 300 000 exemplaires. Leur morphologie sobre et robuste, leurs déclinaisons chromatiques, leurs grandes dimensions (de 30 à 60 cm en moyenne), les rendent aisément identifiables. Aujourd’hui, ils sont activement recherchés par les collectionneurs.
De cette production, deux grandes familles se distinguent : les moyens de locomotion ou de traction industriels (camions, tracteurs, grues, etc.) et mobilier pour poupée.
Les Établissements Dejou – Féniès & Fils & Lartigue étaient établis à Arpajon-sur-Cère, près d’Aurillac, dans le Cantal. Depuis 1872, ils produisaient des meubles et des ustensiles en bois (poignées d'ombrelle, de parapluie, porte-manteaux, manches, matériel pour campeurs, tables, tableaux...).
Vers 1935, l'entreprise réorienta une partie de sa production vers la fabrication de jouets. Selon la saison, l’entreprise modifiait ses machines pour pouvoir produire avant Noël des camions, des grues, des tracteurs etc. Après les fêtes, les Etablissements Dejou revenaient à leurs produits traditionnels.
Premier jouet fabriqué dans les années 1940, l’ « Attelage Auvergnat », un char tiré par deux bœufs, qui conduira cette reconversion saisonnière au succès, pendant plus de 30 ans.
Dejou va produire, de 1937 à 1985, plus d'une centaine de modèles de jouets différents en bois : aux débuts, charrettes fourragères, tombereaux tractés par des chevaux, auxquels succèdent camions, grues, trains, tracteurs, etc. avec, en parallèle, du mobilier pour poupées : lits, meubles, voitures, etc.
Dans les années quatre-vingts, le secteur du bois, les industries du meuble et celles du jouet traditionnel, concurrencées par les matériaux plastiques et les fabrications étrangères à moindre coût, traversent une crise sans précédent, et, en 1985, la firme Dejou est contraite de mettre la clé sous la porte.
La plupart des jouets Dejou étaient livrés démontés, les pièces en bois ciré et teinté (ocre jaune, acajou, carmin, noir) étant à assembler par l’acheteur au moyen d’un système de vissage simple.
Si les modèles des origines sont presque tous entièrement réalisés en bois, des baguettes d’aluminium font apparition dans la production des années 1960 et 1970 (pour les calandres, le treillis des grues, les volants…).
L’esthétique de ces jouets simples et solides mais aussi réalistes, soucieux du détail vrai, sera banalisée par une simplification extrême dans les années 1980, appauvrissement stylistique dénaturant le cachet équilibré des débuts.








Jouets Dejou
Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 17:57:38   

5ème question


- Décrivez le fromage cantal, prenez une photo.

Le cantal est un fromage français à pâte pressée en fourme (forme de cylindre haut pour ce fromage), non cuite originaire du Massif central fabriqué à partir de lait cru de vache ou pasteurisé.
Appellations d’Origine Controlée depuis 1956
18 000 tonnes de fromages fabriqué par an
2 200 producteurs de lait sur l’aire d’appellation
90 producteurs fermiers
23 collecteurs de lait
17 ateliers de transformation coopératives ou privés
24 affineurs
10 litres de lait pour obtenir 1 kg de cantal
un fromage de 35 à 45 kg
33h pour fabriquer un Cantal

Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:01:22   

6ème question


- Citez les festivals et les musées du Cantal, prenez des photos du département.

Festivals :
Un tourisme culturel existe aussi grâce à de nombreux festivals :
Festival international de théâtre de rue d'Aurillac
Festival de musiques du monde de Murat
Festa del païs et Festival des Hautes Terres à Saint Flour
36 Heures - Solos et petitespièces dansées 36heures.fr
Méchament Rock
Fête du Bleu d'Auvergne à Riom-ès-Montagnes
Rencontres du Sarrasin à Boisset
Fête de l'Estive à Allanche

Musées :
On trouve également de nombreux musées :
Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac (34 100 visiteurs/an)
Maison de la faune, situé à Murat (23 500/an)
Musée Géothermia de Chaudes-Aigues (20 600/an)
Muséum des volcans d'Aurillac (20 100/an)
Musée du Veinazès près de Lacapelle-del-Fraisse
Musée de la foudre de Marcenat (11 500/an)
Musée de la Haute Auvergne à Saint-Flour (11 100/an)
Maison de la châtaigne (Mourjou) (5 200/an)
Musée Georges Pompidou à Montboudif (3 500/an)
Musée de l'accordéon de Siran
Musée de l'agriculture auvergnate à Coltines (municipal)
Musée Élise Rieuf à Massiac école de femmes peintres au XXe siècle, plus de 200 toiles.
Autres musées oubliés des statisticiens mais qui attirent également des dizaines de milliers de visiteurs...
La Maison des eaux minérales, située à Vic-sur-Cère (municipal)
La Chaumière de Granièr, située à Thiézac (authentique hameau de Niervèze)
La Maison du buronnier, située à Laveissière
La Maison de la foudre, à Marcenat
La Maison de la gentiane - Espace Avèze, située à Riom-ès-Montagnes
La Maison de la gentiane, et la Maison du fromage et de la vache de Salers, situé dans deux burons sur la route du Puy Mary à 4 km du Salers
La Maison de la Pinatelle, situé à Chalinargues
La Maison de la paille et du grain, situé à Escorailles





Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:06:45   

7ème question


- Décrivez le parc des Volcans d'Auvergne, citez sa faune et sa flore, prenez des photos et une photo de vous.

Le Parc des Volcans d'Auvergne est un parc naturel régional français, créé le 25 octobre 1977 dans la région Auvergne, au cœur du Massif central. D'une superficie de 395 070 ha, c'est le plus grand parc naturel régional de France.
Situé au cœur de l'Auvergne, le parc qui s'étire du Nord au Sud sur 120 km sur les deux départements du Cantal et du Puy-de-Dome, est composé de 153 communes territoriales et de 20 communes partenaires (hors périmètre), qui rassemblent 91 200 habitants. Son altitude oscille entre 400 et 1 886 mètres.
Le parc régional couvre quatre régions historiques et cinq régions naturelles. Les régions historiques sont :
La Haute-Auvergne, comprenant la partie nord du Carladez et la partie ouest des Montagnes d'Auvergne
La Basse-Auvergne
Parmi les régions naturelles, 4 sont des massifs volcaniques :
Les monts du Cantal (plomb du Cantal 1 855 m)
Le Cézallier (signal du Luguet 1 551 m)
Les monts Dômes (puy de Dôme 1 465 m)
Les monts Dore (puy de Sancy 1 886 m)
et 1 plateau granitique :
l’Artense (800 m environ).
Le massif du Cantal est un seul édifice volcanique très ancien (entre trois millions d'années et deux cent cinquante mille ans) de 150 km de tour, érodé par douze ou treize vallées glaciaires qui convergent vers ses trois principaux sommets: Puy Griou, qui est son ancienne cheminée, le Puy Mary et le Plomb du Cantal. C'est un pays de sources thermales et de lacs. L'homme a travaillé inlassablement pour modeler son cadre de vie, faire pâturer des pentes infertiles et bâtir avec de la lave volcanique des villages, des Châteaux, des burons et des églises romanes.
Très différent d'aspect, le panorama de la chaîne des Puys étale un moutonnement de cônes et de dômes boisés. Au total 80 volcans d'origine plus récente (entre dix mille et six cent mille ans).
Le parc s'étend essentiellement sur des territoires de moyenne montagne, mais abrite une grande diversité d'habitats naturels. Il est surtout remarquable pour ses nombreux lacs d'origine glaciaire (comme le Lac-d'en-Bas à La Godivelle) ou volcanique (comme le Lac Pavin, le Lac Chambon ou le Lac d'Aydat), les grandes étendues d'estives du Cézallier, les vallées (les « Couzes » et les nombreuses tourbières d'altitude.

La faune et la flore abritées par le parc sont essentiellement montagnardes, avec quelques espèces relictuelles des périodes glaciaires localisées dans des zones particulièrement favorables telles que les tourbières. La faune compte parmi ses représentants les plus connus le chamois, le mouflon corse, le faucon pèlerin, la loutre.
Le parc naturel régional des Volcans d'Auvergne compte quatre réserves naturelles nationales, toutes implantées dans le département du Puy-de-Dôme. Administrées par le Syndicat mixte du parc, chacune constitue un type de milieu bien particulier avec une faune et une flore remarquable.
La vallée de Chaudefour protège plusieurs habitats forestiers de moyenne montagne, des dykes, éboulis et falaises, des pelouses et prairies, et accueille des espèces remarquables comme le chamois et le mouflon corse, le tichodrome échelette, le faucon pèlerin (qui est l'objet d'attentions particulières en vue de favoriser sa nidification sur le site), des plantes rares comme la Soldanelle des Alpes ou le Saule herbacé.
Les Sagnes de La Godivelle protègent une tourbière et d'autres biotopes humides sur environ 24 ha. Elle est composée de deux parties : la plus grande autour du Lac-d'en-Bas, et la plus petite sur la tourbière de le Coualle Basse, à un kilomètre au nord du Lac. Les recensements naturalistes dénombrent acutellement plus de 1500 espèces animales et végétales, dont plus de 80 sont protégées au niveau régional à international, et/ou sont inscrits sur les Livres Rouges des espèces menacées au niveau régional à européen. La flore de la tourbière accueille par exemple des espèces rares telle la droséra à feuilles rondes, une plante carnivore, et la Ligulaire de Sibérie. Plusieurs espèces de papillons remarquables sont également présentes sur le site, tout comme des coléoptères, orthoptères, etc. De nombreux oiseaux migrateurs viennent également y faire escale.
Le Rocher de la Jaquette est une petite réserve de 18 ha qui abrite pourtant une richesse naturelle remarquable, notamment en insectes. Ainsi près de 70% des espèces de papillons diurnes connues dans le département du Puy-de-Dôme ont été recensées sur la réserve, dont des espèces rares et emblématiques comme l'Apollon (Parnassius apollo).
Une quatrième réserve vient d'être créée au cours de l'année 2007, sur une grande superficie, la Réserve naturelle nationale de Chastreix-Sancy.









La faune



La flore
Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:07:57   

Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:11:53   

8ème question


- Qu’est ce le Plomb du Cantal ? Citez sa faune et sa flore, prenez des photos.

Le Plomb du Cantal, situé dans le département du Cantal, est le plus haut sommet des monts du Cantal avec 1 855 mètres d'altitude. Il est situé sur la ligne de crête entre les vallées de la Cère, de l'Alagnon et de Brezons, de part et d'autre des communes de Saint-Jacques-des-Blats et d'Albepierre.
S'élevant jusqu'à 1 855 mètres d'altitude, il est presque aussi élevé que le puy de Sancy (1 886 m), point culminant du Massif central.
Administrativement, le sommet se trouve à la frontière entre les communes de Saint-Jacques-des-Blats à l'ouest et Albepierre-Bredons à l'est. Cent mètres au sud du sommet se trouve le point triple avec la commune de Brezons. C'est aussi un point triple de rencontre des bassins versants de trois grands fleuves français :
côté Saint-Jacques-des-Blats, à l'ouest, c'est le bassin-versant de la Cère, qui se dirige vers la Dordogne ;
côté Brezons, au sud, c'est le bassin-versant du Brezons, qui se dirige vers la Garonne ;
côté Albepierre-Bredons, au nord-est, c'est le bassin versant de l'Alagnon, qui se dirige vers la Loire.
On y découvre, par temps clair, un magnifique panorama avec :
au nord, le massif du Cézallier et les monts Dore avec, en arrière-plan, la chaîne des Puys et le puy de Dôme ;
au nord-est, les monts du Forez ;
à l'est, les monts de la Margeride ;
au sud-est, l'Aubrac et, en arrière-plan, le mont Aigoual, distant de plus de 100 km ;
à l'ouest, au-delà de la vallée de la Cère, les autres volcans du massif : le puy Griou (1 690 m), le puy de Peyre-Arse, le puy Mary (1 787 m), le puy Violent (1 592 m), Le puy Chavaroche (1 739 m).
Faune et Flore :
Sur ses pentes paissent des troupeaux de vaches de race aubrac, à la robe fauve et au contour des yeux noir, et de race salers, à la robe rouge et aux grandes cornes « en guidon de vélo » (autrefois on disait en forme de lyre).
Le réseau Natura 2000 distingue les monts et Plomb du Cantal comme zone d'intérêt faunistique ; ceux-ci sont répertoriés comme étape migratoire importante pour une soixantaine d'espèces d'oiseaux, parmi lesquelles de nombreux rapaces.
La gentiane jaune ou grande gentiane y pousse. Sa racine qui peut atteindre 1,50 m peut servir à produire la Salers. On y trouve aussi des myrtilles.





Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:14:42   

9ème question


- Décrivez le viaduc de Garabit, prenez des photos.

Le viaduc de Garabit est un ouvrage ferroviaire situé près et sur la commune de Ruynes-en-Margeride, en France dans le Cantal, qui permet à la ligne des Causses de franchir les gorges de la Truyère, affluent du Lot. Entièrement métallique, il fut construit par la société Gustave Eiffel & Cie et achevé en 1884, mais la mise en service de la ligne n'eut lieu qu'en 1888. Il est situé sur la route de Saint-Flour à Mende, à 14 kilomètres de Saint-Flour.
Le viaduc de Garabit se compose d'un tablier métallique long de 564,85 m reposant sur sept piles en fer puddlé de hauteur variable (jusqu'à 80 m pour les deux plus hautes). Les trois travées situées au-dessus de la partie la plus basse de la vallée font l' arc d'une portée de 165 m et d'une hauteur de 52 m. La partie métallique est encadrée par deux viaducs d'accès nord et sud, en maçonnerie, de 46 m et 71 m respectivement. La hauteur au-dessus de l'étiage de la Truyère était de 122,5 m, cependant depuis la construction en 1959 du barrage de Grandval sur la Truyère, qui a entraîné la formation d'un lac de retenue de 28 km de long, le viaduc surplombe le lac de 95 m.
À l'origine du projet, l'idée d'un pont métallique à grand arc enjambant la vallée revient à un jeune ingénieur, Léon Boyer, né en 1851 et mort prématurément en 1886. C'est lui qui imposa l'idée d'un tracé direct sur les plateaux et un franchissement de la Truyère à grande hauteur (120 m au-dessus du niveau d'étiage), plutôt que la solution traditionnelle qui aurait consisté à descendre la ligne par les vallées affluentes pour franchir la Truyère par un ouvrage plus modeste, solution plus coûteuse en exploitation par la suite.
Pour ce franchissement, il était exclu de recourir au pont suspendu, à cause des risques d'oscillations, et il était impossible d'envisager à l'époque des piles de plus de 65 m de haut. Léon Boyer s'est inspiré de l'exemple du viaduc Maria Pia sur le Douro (Portugal). Ce viaduc construit également par la maison Eiffel avait été conçu par un autre associé d'Eiffel, Théophile Seyrig, et inauguré en 1877. Il comporte un arc métallique de 160 m de portée, avec une flèche d'intrados de 37,50 m.
Le viaduc est exposé en miniature au parc France Miniature, un grand parc d'une cinquantaine d'hectares qui expose une centaine de monuments français en miniature, à Elancourt dans les Yvelines.
Le viaduc fut créé pour relier Paris à Béziers par chemin de fer, en passant par le Massif central. La vitesse des trains circulant sur ce viaduc est limitée à 40 km/h pour soulager la structure. C'est donc depuis plus d'un siècle que l'Aubrac Express — nom du train circulant sur la voie — surplombe la vallée de la Truyère. Le viaduc dispose de caténaires et supporte une voie unique.
Longueur totale du tablier : 564,69 m
Portée de l'arche principale : 165 m
Hauteur au-dessus de l'étiage : 122 m
Volume de maçonnerie : 20 370 m3
Quantité de métaux employés :
fer forgé : 3 169 t
acier : 41 t
fonte : 23 t
Nombre de rivets posés : 678 768
Durée du chantier : 4 ans (de janvier 1880 à septembre 1884)



Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:18:11   

10ème question


- Décrivez la Truyère et le barrage de Grandval, prenez des photos.

La Truyère est une rivière française du Massif central qui coule dans les départements de la Lozère, du Cantal et de l'Aveyron. C'est l'affluent principal du Lot dans lequel elle se jette en rive droite. Elle est donc un sous-affluent de la Garonne.
La Truyère prend sa source dans la forêt de la Croix-de-Bor dans la montagne de la Margeride, à 1450 m d'altitude (Lozère. Son cours direction nord ouest, était inféodé au bassin de l'Allier. Désormais il l'est au profit de celui du Lot. Cette capture, est due à l'épanchement de coulées de lave basaltique, provenant du volcan du Plomb du Cantal (planèzes). Il y a environ 7 millions d'années, elles ont constitué un barrage près de Saint-Flour. A ce point, la Truyère fait un coude en direction du Sud Ouest et descend en rapides dans une vallée au relief jeune, pour se jeter dans le Lot en rive droite, à l'aval d'Entraygues-sur-Truyère.
Cours : 170 km de long avec des dénivellations importantes ce qui a favorisé l'hydroélectricité : (barrage de Grandval, barrage de Sarrans, barrage de Labarthe, barrage de Couesque, etc.), au détriment du biotope naturel et des activités traditionnelles telles la pêche, notamment la pêche à la mouche.
Le débit est devenu très irrégulier depuis l'installation des barrages, avec parfois des lâchers trop importants pour le cours d'eau, provoquant l'érosion accélérée des berges, et parfois, des « débits réservés » largement inférieurs aux minima légaux, provoquant la mort par asphyxie des espèces aquatiques et dépôt des boues fines et des métaux lourds (toxiques).
Barrage de Grandval :
Le barrage de Grandval est un barrage Français du Massif central, situé plus précisément dans le département du Cantal au lieu dit Grandval.
Le barrage de Grandval est situé sur la Truyère un affluent de la rive droite du Lot dans le département du Cantal (une petite partie de la retenue se situe en Lozère).
Il est implanté sur les communes de Lavastrie et de Fridefont entre Saint-Flour et Chaudes-Aigues.





Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:21:53   

11ème question


- Quels sont les bâtiments et lieux publics remarquables de Salers, prenez des photos.

Salers (prononcer "salerce", non comme "salaire", cette dernière étant incorrecte, salèrn en occitan) est une commune française située dans le département du Cantal et la région Auvergne. Les habitants de Salers sont appelés les Sagraniers.
Salers est située à l'extrémité ouest du complexe volcanique du Cantal, au bord d'un plateau d'une altitude de 900 m environ. La ville s'est constituée autour d'un château situé sur une butte basaltique dominant la vallée de la Maronne. À cet endroit, la Maronne n'est plus loin de son confluent avec l'Aspre, ces deux vallées permettant l'accès par l'ouest au puy Violent et à toute la chaîne des Puys cantaliens.
La ville est loin des grandes voies de communications. Ce relatif isolement et son climat hivernal rude n'ont pas favorisé son expansion, et elle a ainsi pu garder une taille modeste.
Bâtiments et lieux publics remarquables :
Les bâtiments publics comme les maisons des Sagraniers sont bâties en pierre volcanique noire, typique de la région. Parmi les lieux remarquables, on peut citer :
la Place Tyssandier d'Escous, dédiée au rénovateur de la race Salers, entourée de maisons Renaissance dans le plus pur style de la Haute-Auvergne,
la maison dite du Bailliage, ayant été la propriété de la Famille Sevestre, vous pourrez y remarquer notamment les "traces" des meneaux arrachés des fenêtres pour raisons fiscales,
la maison de la famille Chazette de Bargues avec un balcon en pierre de lave du XVe siècle orné de sculptures,
la maison dite des Templiers qui accueille le musée de Salers : mobilier ancien et costumes issus de la maison Dolivier, chasubles, aubes et étoles en provenance de la sacristie, matériel d'affinage du fromage mais également expositions d'art contemporain, la dédicace d'une œuvre abstraite de Jean-Edern Hallier, écrivain, polémiste et ami du notaire de la ville, Maître Fenies, visite de l'ancienne pharmacie de Salers (apothicaire de la rue du Beffroi),
la Maison de la Ronade, dont les fondations datent du XIIIe siècle. Bâtisse de la famille du même nom, elle est aujourd'hui visitable2,
la porte du Beffroi et la porte de la Martille qui sont les derniers vestiges de l'ancien rempart médiéval.
la chapelle dite "Lizet" qui s'avère être la chapelle de la mission diocésaine devenue depuis maison de retraite, une exposition permanente y est organisée : "Salers, regards sur la peinture et la sculpture".
le Beffroi de Salers, XVe siècle, il domine la rue commerçante du même nom,
l'Hospice Lizet, il est dissimulé par le Beffroi et abrite un artisan d'émaux. C'est le premier hospice de Salers, fondé par Pierre Lizet, premier Président du Parlement de Paris au XVIe siècle.



Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:26:17   

12ème question


- Décrivez Vic-sur-Cère ainsi que le Castelvielh de Vic, prenez des photos.

Vic-sur-Cère (en occitan, Vic en Carladés) est une commune française, chef lieu du canton de Vic, dans le département du Cantal et la région Auvergne. Elles est située dans la vallée de la Cère, bordée en aval par la commune de Polminhac et en aval par celle de Thiézac avec laquelle elle forme une station verte.
Cette ancienne petite station thermale est située dans la vallée de la Cère, à l'entrée du Parc des volcans d'Auvergne du Puy Griou et du Plomb du Cantal.
Le territoire de la commune se trouve sur le fond d'une vallée qui résulte de l'érosion d'un ancien glacier dont les dépôts morainiques ont créé la gorge et la cascade du Pas-de-Cère. Elle est située entre le plateau du Coyan qui confine à la commune de Velzic, et au sud celui de Pailherols sur lequel une ancienne voie romaine conduit au Plomb.
L'ancien bourg, construit en pierres de lave (andésite) et couvert de lauzes de schiste, est établi sur le versant Est de la vallée, à l'abri d'un chaos rocailleux et boisé, dont descend le torrent de l'Iraliot.
Économie :
La commune de Vic-sur-Cère vit principalement du tourisme. Reconnue comme station verte et village de Neige, elle jouit d'un climat agréable durant l'été et de la proximité de la station de ski du Lioran en hiver.
Vic possède aussi une zone industrielle où sont implantées deux grandes entreprises, l'une qui emploie 185 personnes: la société de fabrication des meubles de cuisines et de salles de bains Pyram.
Elle possède plus d'une dizaine de commerces ou services.

Castelvielh de Vic :
Le Castelvielh de Vic est l'ancien château supérieur de Vic-sur-Cère dans le Cantal. Il ne subsiste qu'une motte castrale, quelques vestiges de maçonneries et une vue panoramique sur la vallée et le bourg.
Ancien château de la famille des seigneurs de Vic qu'on croit commencer avec Gilbert de Vic, fils benjamain d'Henri de Bénavent (1175-1221), vicomte de Carlat et d'Algayette de Scorailles. En 1219, il était seigneur ou viguier de Vic-en-Carladez, de Polminhac, aussi coseigneur de Scorailles et de Saint-Christophe.
En 1265 et 1283, Bertand de Vic, fils de Guillaume et d'Alix, rend hommage pour Vic avec sa femme Elve, au vicomte de Carlat.
Le troubadour Pierre de Vic, dit le Moine de Montaudon, appartient à cette famille.
On sait que le bourg de Vic a été pris et ruiné par les Anglais en 1379 lors de la guerre de Cent Ans, puis reconstruit et fortifié. Le château vieux, soubro (supérieur, souverain) semble avoir été détruit, et son site délaissé à cette occasion, au profit d'un Castelniau ou Castel Soutro (château neuf ou château inférieur) situé en contrebas dans la ville.
Promenade ouverte toute l'année, belle vue sur le bourg et la vallée de la Cère vers le Plomb.






Castelvielh de Vic
Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:30:06   

13ème question


- Décrivez Chaudes-Aigues et ses monuments, prenez des photos.

Chaudes-Aigues est une commune française, située dans le département du Cantal et la région Auvergne. C'est une station thermale réputée pour ses eaux chaudes.
Ses habitants sont appelés les Caldaguès, ce qui, en latin, veut dire « eaux chaudes », d'où le toponyme Chaudes-Aigues.
Chaudes-Aigues, comme son nom l'indique, possède une trentaine de sources d'eau chaudes naturelles dont la température est comprise entre 45° et 80°. La plus renommée est la source du Par avec des eaux de 82° – soit l une des plus chaudes d'Europe apres Plombières-les-Bains (84° – dont le débit est voisin de 450 000 litres par jour. Le nom de cette source vient du fait que le cochon y était « paré », c’est-à-dire dépecé grâce à l'eau chaude. Ces eaux sont utilisées tout au long de l'année. Réservées au chauffage des habitations et de l'église en hiver, elles sont dès le printemps canalisées vers l'établissement thermal et font le bonheur des rhumatisants.
Commune située dans le Massif central en Aubrac, la commune est traversée par le Remontalou et le Lévandès qui trace une frontière naturelle avec la commune voisine de Jabrun.
Lieux et monuments :
Les niches vitrées : une des particularités de cette petite cité thermale, la seule station thermale du Cantal, est aussi de posséder pour chaque quartier un oratoire, appelés niche, dédié au saint patron du quartier. On dénombre huit au total : Saint Jean le pauvre, Saint Roch, Saint Jacques – Chaudes-Aigues se trouve sur le chemin de Compostelle –, Saint Jean le riche, Saint Joseph, Sainte Elisabeth, Notre Dame d'Août (ou de l'Assomption), Notre Dame de l'Annonciation.
La chapelle des Pénitents
Le lavoir fumant
La Tour du Couffour
Château de Montvallat
Musée de la géothermie et du thermalisme : Géothermia
Barrage de Grandval



Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:32:48   

14ème question


- Décrivez le château d'Alleuze, prenez des photos.

Le Château d'Alleuze est un château fort situé sur la commune d'Alleuze, dans le Cantal. Cet édifice est aujourd'hui en ruine et maintenu dans cet état. Il est accompagné de la chapelle Saint-Illide, reconstruite au XVe.
Possédé au XIIe siècle par Béraud VIII, de Mercœur, connétable d'Auvergne, seigneur d'Aubijoux et d'Alleuze. Il appartenait ensuite aux évêques de Clermont. C'était un des postes avancés de la citadelle de Saint-Flour.
Au cours de la guerre de Cent Ans, Bernard de Garlan (du parti des anglais) s'en empare. Il sème la terreur dans toute la région et ce n'est qu'à prix d'or que l'on parvient à le déloger. Pour éviter que Garlan ait des successeurs, les habitants de Saint-Flour incendient le château en 1405. Monseigneur de la Tour, propriétaire du château, très mécontent de ces dépradations, obligea les sanflorains à le reconstruire. Les Huguenots le prirent en 1575.
Les tours furent utilisées comme geôles par les évêques de Clermont.
Le château apparaît dans un des plans de La Grande vadrouille, lors de la poursuite du camion de Louis de Funès par des motards allemands.



Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:36:20   

15ème question


- Décrivez le château de Val, prenez des photos.

Le château de Val est un château situé sur le territoire de la commune de Lanobre, Cantal.
Le fief d'Enval, devenu de Val, a d'abord appartenu aux familles de Tinières, puis de Pierre de Pierrefort.
Guillaume IV d'Estaing, né en 1397 de Jean, seigneur de Cheylade , et d'Elise de Pierrefort, est chambellan du roi Charles VII, gouverneur et sénéchal du Rouergue , puis bailli de Nîmes. Il achète Val et fait construire le château actuel.
Ses descendants habiteront le château jusqu'à Guillaume V d'Estaing, dit Guillot, seigneur de Val, de Cheylade et de Landorre, né en 1529.
Il a appartenu a EDF et a été pillé durant des années car il était à l'abandon, destiné à être englouti sous les eaux du barrage de Bort-les-Orgues (en Corrèze).
Bien que situé sur la rive auvergnate du lac, il est la propriété de la ville corrézienne de Bort-les-Orgues qui l'a sauvé en en devenant propriétaire en 1953, l'a restauré et en a fait un lieu touristique. Autrefois, il dominait la vallée. Aujourd'hui, l'eau du lac artificiel arrive au pied de ses murailles. Son parc a disparu sous les eaux du lac.
Chaque été, une exposition de peinture contemporaine y est organisée. Il est d'usage que l'artiste croque le site du château, chaque fois avec un œil personnel. Une vaste collection d'une qualité remarquable s'est ainsi constituée (cf par exemple l'œuvre de Bernard Buffet).
En 1960, une scène du film Le Capitan avec Jean Marais et Bourvil a été tournée dans ce château. Il s'agit de la scène connue de l'escalade et du poignard qui se casse



Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:38:26   

Voilà la rando du cantal terminée




Wolf-Samantha
   Posté le 11-08-2010 à 18:43:22