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 WOLF-SAMANTHA

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Wolf-Samantha
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REPONSES DE WOLF-SAMANTHA


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1ère question


- Vous arrivez à l’aéroport de Rio de Janeiro, prenez une photo et vous prenez une chambre à l’hôtel Copacabana Palace, décrivez-le et prenez des photos.

L’aéroport international de Rio de Janeiro-Galeão :
L’aéroport international de Rio de Janeiro-Galeão baptisé Antônio-Carlos-Jobim ou aéroport international du Galeão (Code IATA:GIG; code OACI:SBGL) est un aéroport situé sur l'île du Gouverneur à Rio de Janeiro, au Brésil. C'est un des hubs les plus importants de la compagnie aérienne Varig, avec celui de l'Aéroport international de Guarulhos à São Paulo.


Photo de l'aéroport


Copacabana Palace :
Le Copacabana Palace est un célèbre palace de prestige « style années 1930 », construit en 1923 à Rio de Janeiro au Brésil et situé face à l'océan Atlantique sur la célèbre plage de Copacabana, une des plus célèbres plages de la planète, longue de 4,5 km.
100 chambres et 126 suites sur 11 étages dont la plupart avec vue sur la plage et sur l'océan.
2 restaurants : le Cipriani (gastronomique italien) et le Pergula près de la piscine.
1 bar : Copacobana Piano Bar (pub de style anglais).
3 étages consacrés à la beauté avec 7 salles de soins, spa, solarium, salle de sports, centre de Fitness, salon de relaxation et boutique.
Agence de voyages, location de voitures, blanchisserie, etc.
1 piscine découverte semi-olympique.
Surf, motomarine, pêche sous-marine, golf, beach-volley, etc.
Accès direct à la plage de Copacabana.
Des courts de tennis sur le toit.
3 salles de bal de 800 hôtes.
1 Casino.






Photos du Palace
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2ème question


- Décrivez l’histoire de Rio de Janeiro, prenez des photos de la ville.

Rio de Janeiro, capitale de l'État de Rio de Janeiro, est une mégapole située dans le sud-est du Brésil. Avec ses 6,1 millions d'habitants intra-muros (communément appelés les Cariocas, la variante « Carioques » existant en français) et 11,35 millions dans l'aire urbaine, Rio de Janeiro est la deuxième plus grande ville du pays derrière São Paulo.
Elle est mondialement connue pour son carnaval, ses plages (Copacabana et Ipanema) ainsi que sa statue du Christ Rédempteur au sommet du Corcovado. Elle fut capitale du Royaume du Portugal, suite à la fuite de la cour portugaise lors de l'invasion des troupes napoléoniennes (1808-1821), puis de l'Empire du Brésil (1822-1889), de la República Velha (1889-1930), de l’Estado Novo (1937—1945) et du début de la Deuxième République jusqu'en 1960.
En 2013, la ville accueillera les Journées mondiales de la jeunesse, puis en 2014, certains matchs de la Coupe du monde de football et enfin, en 2016, les Jeux olympiques d'été.

Histoire :
Les Amérindiens furent les premiers habitants de la Baie de Guanabara. La tribu Tamoyos vivait autour de ce lieu hautement prolifique.
Les navigateurs de l'Ancien monde ont-ils volontairement ou par dérive atteint cet endroit ? La réponse n'est pas simple et demande à être étayée.
Au début du XIXe siècle on interpréta la roche au sommet de la montagne Pedra da Gavea ceinturant et dominant la ville de Rio de Janeiro comme une immense sculpture représentant un visage de type européen portant une longue barbe. D'autres éléments de cette tête rocheuse visible à des dizaines de kilomètres à la ronde auraient été mis au jour. Par la suite, on a prétendu avoir découvert des inscriptions phéniciennes sur la falaise surplombant cette sculpture: Badezir, Phénicien de Tyr, Fils aîné de JethBaal. Un roi phénicien du nom de Badezir ou Badezor, plus connu sous son nom phénicien de Baal-Ezer II fils aîné du roi de Tyr Eth Baal ou Ithobaal Ier régna effectivement sur la ville de Tyr vers 850 avant Jésus-Christ. D'autres découvertes prétendument phéniciennes ont été avancées au Brésil, mais leur « authenticité n'a jamais pu être démontrée ». L'origine initiale de ces falsifications archéologiques est à rechercher dans le climat particulier de la cour de Pedro II empereur « lettré particulièrement passionné de langues sémitiques » en un moment où les études phéniciennes se développaient considérablement en Europe.

Le site actuel de la ville de Rio de Janeiro fut découvert le 1er janvier 1502 par un des explorateurs portugais Gaspar de Lemos et Gonçalo Coelho, accompagné par Amerigo Vespucci qui donne lui-même le nom du lieu.
À cette époque, le site était habité par des Indiens Tamoyos qui commencèrent bientôt à établir un commerce de troc avec les européens. Grâce à la profusion d'arbres « couleur de braise », le « Pau Brasil » ou « brasa » (le brésil en français), un important commerce se développa. Les relations entre Indiens et Portugais n'étaient toutefois pas toujours pacifiques, les portugais ayant la coutume de prendre les indiens pour en faire des esclaves. En outre, certaines tribus organisaient souvent des rites anthropophagiques. De plus, les Indiens commerçaient également avec les Français qui portaient des visées coloniales au Brésil.

Durant le XVIe siècle, de fréquentes attaques menées par les pirates et les corsaires français ravagèrent une partie de la région. En 1555, l'amiral Villegagnon reçut le commandement de la flotte mise à la disposition de Gaspard de Coligny par Henri II pour installer une colonie protestante au Brésil où les protestants français pourraient exercer librement leur religion. Villegagnon construisit le Fort Coligny et s'installa sur une île, dans la baie de Guanabara, qu'il appela la France antarctique. De nos jours, cette île, où se situe le bâtiment de l'École de la Marine de Guerre brésilienne, s'appelle encore « ilha de Vileganhon ».
Toutefois, les Portugais voulant à tout prix empêcher des établissements étrangers sur son territoire, le roi portugais envoya un chevalier, Mem de Sá, afin d'expatrier les Français. Ils détruisent le Fort-Coligny et les Français sont expulsés de la baie de Guanabara — mais restent dans la région. Seulement en 1565, après deux années de luttes entre les flottes des deux pays, Estácio de Sá, un neveu de Mem, fonda la ville telle qu'on la connaît aujourd'hui. Les Français resteront dans la région de Rio de Janeiro jusqu'en 1572, date des derniers combats qui eurent lieu à Cabo Frio.
La victoire du chevalier portugais Estácio de Sá, le 1er mars 1565, marque la fondation de la ville de « São Sebastião do Rio de Janeiro » (Saint Sébastien du fleuve de janvier) en l'honneur du roi Sébastien Ier de Portugal et du saint fêté le jour de sa naissance. Saint Sébastien qui reste le patron de la ville est fêté chaque année.
Vers la fin du XVIe siècle, la couronne portugaise traita le village comme une position stratégique pour le transit atlantique des navires entre le Brésil, les colonies africaines et l'Europe. Plusieurs forteresses furent construites et une alliance fut convenue avec les tribus indigènes pour défendre les colonies des invasions. On fonda, par exemple, dans le voisinage de Rio, Niterói, afin de veiller à la défense de la cité. Les quais de Rio et le Morro do Castello (colline du château, en français), dont le château imitait les châteaux fortifiés médiévaux, formèrent les premières grandes défenses de la ville. Rio de Janeiro était réellement menacé par les nombreuses invasions des flibustiers français et hollandais.
En effet le 21 septembre 1711, René Duguay-Trouin, à la tête d'une expédition de quinze navires et 6000 hommes, s'empare de la ville de Rio de Janeiro (On était alors en pleine guerre de Succession d'Espagne). Les fortifications de cette place paraissaient inexpugnables: en effet, la ville était défendue par sept vaisseaux de guerre, sept forts et 12000 hommes. Il forcera la ville à payer de lourdes rançons et à libérer 1 000 prisonniers français.
La ville connut son essor pendant le XVIIIe siècle avec la découverte d'or et de diamants dans la région voisine du Minas Gerais vers 1700, devenant un site portuaire plus utile pour l'exportation des richesses que Salvador de Bahia. C'est donc pour des raisons logistiques que l'administration coloniale portugaise en Amérique s'établit en 1763 à Rio qui devint la capitale du Brésil à la place de Salvador de Bahia.

Le 7 septembre 1822, le prince régent Pierre Ier (qui deviendra plus tard Pierre IV du Portugal) proclama l'indépendance de l'Empire du Brésil et garda Rio de Janeiro comme capitale. La couronne restant entre les mains de la maison royale des Bragance, cet événement tenait plus du partage en deux de l'empire portugais que d'un véritable mouvement indépendant comme on pouvait en voir en Amérique du Sud à la même époque. La monarchie, s'appuyant sur le peuple pour contrebalancer les riches latifundiaires brésiliens, devint constitutionnelle en 1824. En 1831, sous la pression des élites propriétaires, l'Empereur Pierre Ier abdique en faveur de son fils, alors âgé de cinq ans. Pierre II s'engagea dès les années 1850 à lutter contre l'esclavage, dont il interdit l'importation. La culture du café prit de l'ampleur et augmenta l'importance des propriétaires terriens, notamment ceux de São Paulo. Sous son règne, Rio profita de développements majeurs en matière de gaz, de plomberie, de barrages hydroélectriques, de téléphone et de télégraphe. Continuant à lutter contre l'esclavagisme, l'Empire proclama en 1871 que les enfants d'esclaves seraient désormais libres à la naissance. L'esclavage brésilien fut donc condamné à long terme. Cependant, la loi dite « Áurea » (loi d'or) de 1888 de la Princesse Isabelle, la fille de Pierre II, abolissant totalement l'esclavage au Brésil, souleva la résistance des propriétaires qui s'engagèrent alors dans une lutte armée pour renverser le régime. La libération des esclaves entraîna une importante migration depuis les campagnes vers les villes. La première favela (bidonville en français) de Rio fut construite sur les hauteurs du Morro da Providencia (colline de la Providence). Ses habitants étaient pour la plupart des militaires noirs qui s'étaient battus pour leur liberté à Salvador de Bahia et qui tentèrent de profiter des opportunités qu'offrait Rio.



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3ème question


- Qu’est-ce que les Favelas ? Prenez des photos.

Favelas :
Plus de 20% de la population carioca vit dans des bidonvilles, appelés favelas au Brésil. Les favelas poussent à un rythme soutenu car elles regroupent la population la plus pauvre composée des nouveaux arrivants, de familles sans-travail, de marginaux mais aussi et surtout de travailleurs pauvres. C'est donc le point de chute de tous ceux qui n'ont pas accès aux logements sociaux.
Leur habitat, Souvent concentrés sur pentes escarpées des collines, est un amalgame de matériaux de fortune récupérés sur les dépôts d'ordures au fur et à mesure des besoins. Cette situation engendre de nombreux accidents lors des glissements de terrains faisant suite la plupart du temps à de fortes précipitations. Celles-ci minent les fondations et font alors glisser des blocs entiers de maisons.
Leur apparence chaotique cache pourtant une organisation précise et très hiérarchisée de l'espace, des règles et des usages. Le pouvoir étant souvent entre les mains des gangs et des narcotrafiquants qui y ont élus domicile. De ce fait, les favelas sont aussi le théâtre de violences, souvent dues au trafic de drogue et à des guerres de gangs. Ville dans la ville, la favela fait peur à qui ne l'habite pas.
Des 968 favelas de Rio dont Dona Marta, Ladeira dos Tabajaras, Santa Marta, Mangueira, Morro do Borel, Cidade de Deus, Vidigal, Rocinha et bien sur Bento Ribeiro sont les plus connues.
Même si les situations entre favelas sont très inégales, depuis quelques années, la municipalité effectue un travail important de « viabilisation », en construisant « en dur », en apportant l'eau, l'électricité et le téléphone. Mais le problème de fond qu'était l'insucurité qui y régnait persistait.
Cependant, depuis que le Brésil s'est vu offrir l'organisation de la Coupe du monde de football de 2014 et celui des Jeux olympiques d'été de 2016 pour la ville de Rio, les pouvoirs publics brésiliens ont décidés d'utiliser des moyens militaires pour déloger les narcotrafiquants avec un certains succès, comme notamment à Vila Cruzeiro à Rio en novembre 2010.
Néanmoins, les favelas restent sans aucun doute le plus grave problème de Rio en tous cas du point de vue urbanistique.


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4ème question


- Quel est le fleuve qui traverse la ville de Rio ? Prenez une photo.

Rio Paraíba do Sul :
Le Rio Paraíba do Sul est un important fleuve brésilien des États du Minas Gerais, de Rio de Janeiro et de São Paulo qui naît dans l'État de São Paulo et parcourt une petite partie du Sud-Est Minas Gerais Minas Gerais. Il marque la limite naturelle entre Rio de Janeiro et São Paulo, en traversant la mésorégion du Nord Fluminense et se jette dans l'Océan Atlantique.
Le bassin du rio Paraíba do Sul a comme principales activités économiques les secteurs industriel, agricole et d'élevage.
La microrégion de la Vallée du Paraíba Fluminense fut la première grande région de production de café du Brésil, avec une économie basée sur la grande propriété agricole et le travail esclave. Rapidement, la caféiculture s'est étendue, atteignant la partie supérieure du Paraíba do Sul (mésorégion de la Vallée du Paraíba) et les vallées de ses grands affluents de la rive gauche (mésorégion de la Zone de la Mata). Avec le glissement de la domination de la production caféière vers le "Nouvel Ouest Pauliste", s'en est suivie une stagnation économique qui fut compensée par le processus d'industrialisation lancé par l'installation de la Compagnie sidérurgique nationale. La vallée est devenue une des plus grandes régions industrielles du pays. Cette industrie se concentre dans la partie haute de la vallée, mais en rapport avec le Chemin de fer central du Brésil qui relie la ville de Rio de Janeiro à São Paulo.
Actuellement, seuls deux tronçons du fleuve sont navigables, le Supérieur et le Moyen-supérieur. La partie inférieure, entre l'embouchure et São Fidélis, Rio de Janeiro, possède une déclivité de 22 cm/km sur une distance d'environ 90 km. Il y existe un embryon de navigation effectuée par de petits bateaux transportant, principalement, du matériel de construction pour la municipalité de Campos dos Goytacazes. Sur le tronçon moyen supérieur, entre Cachoeira Paulista et Guararema, sur environ 280 km, malgré la faible déclivité de 19 cm/km, la navigation se restreint à des embarcations de tourisme. Divers obstacles se situent sur le parcours du Paraíba do Sul : chutes, rapides, zones de forte pente, aussi bien que des ouvrages effectuées à des fins hydroélectriques, sans avoir prévu de canaux et d'écluses de passage.

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5ème question


- Décrivez l’économie de Rio de Janeiro. Prenez des photos de la ville.

Économie :
Même si son poids économique ne surpasse pas celui de São Paulo, la ville de Rio demeure la seconde ville économique en importance du Brésil. Elle collabore pour un peu plus de 10% du PIB brésilien. Elle représente donc le moteur de l'économie de l'État de Rio de Janeiro dont elle est la capitale.
Le tourisme est une grande force économique, grâce aux plages de la ville de Rio mais aussi de l'État de Rio — à la « Região dos Lagos » (Cabo Frio, Búzios), au nord de la capitale; ou à « Côte Verte » (Angra dos Reis, Paraty), au sud. À l'intérieur, à la montagne, les villes de Petrópolis, Nova Friburgo et Teresópolis sont les plus connues. Les villes de l'État de Rio ne sont pas plus loin qu'à 300 km de la capitale.
Jouissant d'un grand potentiel touristique, l'État de Rio dispose également de parcs industriels performants. C'est également à quelques kilomètres de la capitale que se concentrent les plus grandes réserves pétrolières du pays (les villes de Campos et Macaé). De plus, la ville s'est spécialisée dans la métallurgie, la sidérurgie, la mécanique, la chimie, l'agroalimentaire, le papier, l'extraction minérale et la construction navale. Mais ce sont vraiment les activités touristiques (la ville est la première destination en Amérique du Sud), bancaires et audiovisuelles (troisième producteur mondial après les États-Unis et le Japon dans le domaine du télévisuel) qui sont le fer de lance de l'économie carioca.

Industrie :
La plupart des activités industrielles de l'État de Rio se concentrent dans la sidérurgie (Companhia Siderúrgica Nacional — à Volta Redonda), la métallurgie (Álcalis — à Arraial do Cabo), le raffinage du pétrole (raffinerie de Duque de Caxias ou celle de Petrobrás) ainsi que l'automobile (les usines de Volkswagen, à Resende et du groupe PSA, à Porto Real). En plus de ses grandes entreprises, implantées sur le territoire de l'État de Rio (on y dit territoire fluminense), d'autres sociétés de moindre importance, mais essentielles au développement de la région se sont implantées à Rio. Ainsi, les entreprises pharmaceutiques, des transports, de presse et d'imprimerie (Globo), du ciment, de verre ou encore de textile sont les plus compétitives non seulement dans la région mais également à l'échelle nationale.

Agriculture :
De nos jours, l'agriculture est une activité peu développée à Rio, tant en termes de quantité qu'en termes de valeurs de production. Le phénomène de modernisation agricole à partir des années 1970 dans le pays modifia la nécessité du développement de l'économie primaire. Toutefois, la principale activité agricole est la culture de la canne à sucre, au Nord du État du Rio, à la ville de Campos. La culture de la tomate, du riz, de la fève, du maïs, de la pomme de terre, de l'orange et de la banane contribuent également à l'économie locale. Pour des raisons stratégiques, la ville de Rio semble avoir misé sur le développement du tourisme et des industries secondaires.

Pétrole :
Les principaux produits minéraux extraits sont les sels marins, le calcaire et le marbre. En 1974, du pétrole fut découvert sur le littoral et dans les eaux profondes au large de la baie de Guanabara. D'importantes installations de plate-formes off-shore pétrolières ont été aménagées alors dans la région. Aujourd'hui, la grande région métropolitaine carioca est la région la plus productive en matière de pétrole au pays, représentant ainsi environ 65% de la production nationale de pétrole exploité par la compagnie nationale Petrobras. Avec ses 52 600m³ et ses techniques de forage en profondeur détenant des records (près de 2 km), sa capacité de plus de 330 000 barils par jour, ce site est le plus compétitif du pays.







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6ème question


- Qu’est-ce que le Pain de Sucre ? Prenez des photos.

Le Pain de Sucre :
Le Pain de Sucre est un pic rocheux de 395 mètres à la forme si singulière qui a toujours été le symbole de Rio. Les Indiens l'appelaient autrefois Pau-nd-Acuqua, ce qui signifie « haut promontoire pointu et isolé ». Pour les Portugais cela sonnait comme pão de açúcar, et le pic lui-même leur rappelait la forme de ces moules d'argile utilisés pour faire des pains de sucre. Le nom portugais est resté. À l'ouest, on peut découvrir des panoramas de toute beauté, où s'étendent les plages de Leme, Copacabana, Ipanema et Leblon, bordées par les montagnes. À vos pieds, vous apercevrez les quartiers de Botafogo et de Flamengo avec le Corcovado surmonté du Christ Rédempteur. Quelle que soit l'heure, la vue depuis le Pain de Sucre est splendide.



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7ème question


- Qu’est-ce que le Corcovado ? Prenez des photos.

Corcovado :
La célèbre statue du Christ Rédempteur (O cristo redentor), bras en croix, se dresse sur le pic du Corcovado d'une hauteur de 710 mètres et que l'on peut apercevoir de tous les quartiers de Rio. La statue mesure 38 mètres de haut. L'œuvre, datant de 1931, est due à la collaboration du sculpteur français Paul Landowski et de l'architecte brésilien Heitor da Silva Costa. En 2007, la statue du Christ Rédempteur a été choisie comme l'une des Sept nouvelles merveilles du monde par des internautes allant voter sur un site web indépendant et par téléphone; le soutien à la candidature brésilienne à cette élection avait fait l'objet d'une campagne de soutien privée puis publique. Autour du Corcovado s'étend la magnifique forêt de Tijuca qui s'avance presque jusqu'au cœur même de la ville.


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8ème question


- Décrivez la plage de Copacabana, prenez des photos.

Plages de Rio :
Rio possède trente-six kilomètres de plages.

Copacabana est, depuis le 6 juillet 1892, un district de Rio de Janeiro au Brésil. Il est situé au sud de la ville. Le quartier comprend la plage du même nom, longue de 4,5 km, l'une des plages les plus célèbres de la planète.
Copacabana est l'un des quartiers les plus connus de la ville. Il est d'abord dénommé Sacopenapã. Mais en 1754 un moine bénédictin, Antonio de Desterro Malheiro, alors qu'il est en perdition au large du Brésil fait la promesse que s'il s'en sort vivant, il donnerat le nom de son village à l'endroit où il échouera. Au milieu du XIXe siècle, le quartier est renommé après la construction d'une chapelle abritant une réplique de la vierge de Copacabana, un petit village situé au bord du lac Titicaca en Bolivie.
Le quartier est animé et rempli de bons restaurants, cinémas, banques, synagogues (ce quartier renferme une grande partie de la communauté juive carioca) boutiques et théâtres. À partir des années 1960, la renommée de Copacabana grandi et attire davantage d'habitants que le quartier ne peut en contenir. Il forme un microcosme unissant des familles de classes sociales différentes dans un espace réduit entre la mer et la montagne.
Copacabana possède l'une des plus belles et célèbres plages de la planète, en demi-lune s'étendant sur 4,5 km, de Leme jusqu'à l'Arpoador. Elle est surnommée Princesinha do Mar, (Petite Princesse de la Mer). Copacabana est un des emblèmes touristiques de Rio de Janeiro, comme le Corcovado ou le Mont du Pain de Sucre.
Au milieu de la Plage de Copacabana se trouve le plus ancien hôtel de luxe de l'Amérique du Sud, le Copacabana Palace, construit selon les plans d'un architecte français. Le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre, un gigantesque feu d'artifice est tiré devant environ deux millions de personnes rassemblées et habillées en blanc. Comme le veut la tradition, à minuit, des fleurs sont jetées dans la mer. En 2006, les Rolling Stones y ont donné un concert devant 1,7 million de personnes.
En 2006, une grande marque de cabane brésilienne, créée la Coupe Cabana (Copa Cabana) qui récompense chaque année les plus belles cabanes, se basant sur des critères tels que l'originalité, les matériaux, et l'insertion de la cabane dans la nature.




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9ème question


- Décrivez la grande forêt de Rio, prenez des photos.

Forêt de la Tijuca :
La plus grande forêt urbaine du monde, avec une superficie d’environ 3 200 hectares, regroupe des centaines d’espèces de la faune et de la flore que l’on ne trouve que dans la « Mata Atlantica » et dont plusieurs sont en voie de disparition. Située dans le cœur de la ville, à quelques minutes de la plupart des quartiers de Rio, ses nombreux sites historiques méritent une visite: la cascatinha (petite cascade), la chapelle Mayrink, le Mirador Excelsior, le Baracão, la grotte Paulo et Virginia, le lac des fées et l’étang des solitudes. La forêt, qui se trouve à une altitude variant de 100 à 1020 mètres, est le réservoir de fraîcheur de Rio. La température y oscille de 7 °C en hiver à 25 °C au plus fort de la canicule. Au XIXe siècle il y avait une plantation de café qui assécha pratiquement les ruisseaux qui alimentaient la ville. Alors, l'Empereur Pedro II chargea un officier de l'armée, le major Manuel Gomes Archer, de refaire la forêt primaire. Ce travail, commencé en 1861, lui a pris 13 années. 100.000 arbres de variétés typiques y ont été plantés. Avec le temps, la forêt a été restaurée dans ce qui est l'un des plus anciens et brillants faits de conservation de terrain du monde et une bonne partie de Rio dépend de ses cours d'eau aujourd'hui. Elle est Parc National depuis 1961.

Le Jardin botanique :
Chacun des 141 hectares du jardin botanique héberge des spécimens de la flore brésilienne et mondiale. Les Palmiers Impériaux, principale attraction du jardin, ont été semés sous les ordres du prince régent Joâo VI en 1809. Des arbres séculaires se mélangent à des orchidées, des victoria, des broméliacées, des flamboyants et à une végétation tropicale exubérante avec plus de 235 000 plantes et 5 000 espèces d'arbres. On peut y voir une collection de cactus américains, une serre de plantes carnivores, un pavillon de quatre cents fougères, une forêt de bambous... C’est naturellement qu’il est devenu l‘endroit préféré des amoureux.



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10ème question


- Citez les musées de Rio de Janeiro, photos de vous en ville.

Musées :
Il en existe plus de trente, dont certains ne présentent que des collections très spécialisées, comme le musée de la Pharmacie, du Port, de la Presse ou encore de la Carpologia (science des fruits comestibles).
Musée historique national: ce palais peint en rose, couleur emblématique des constructions impériales, est l'un des plus vieux édifices de Rio. Tour à tour forteresse (ses souterrains servirent de prison aux esclaves noirs au XVIIe et XVIIIe siècles), arsenal, fabrique d'armement, siège de l'académie militaire, il ne fut transformé en musée qu'en 1922. Ses collections, réparties sur quatorze salles, retracent l'histoire du Brésil impérial (XIXe siècle). Il dispose d'une bibliothèque de 70 000 volumes.
Musée national: situé dans le parc de Quinta de Boa Vista, promenade dominicale des cariocas des faubourgs, cet ancien palais fut autrefois la demeure de Joao VI et de la famille impériale, jusqu'à la proclamation de la république en 1889. Il renferme la plus grande collection scientifique du Brésil: zoologie, minéralogie, archéologie, ethnologie. On y verra la fameuse météorite tombée dans l'État de Bahia en 1888, le Bendego, qui pèse 5 300 kilos et une curieuse momie de femme égyptienne: ses jambes sont recouvertes séparément de bandelettes au lieu que son corps soit enveloppé d'une seule pièce. Autour d'elle, une foule marmonne constamment des prières; la momie suscite chez les adeptes du rite umbanda beaucoup de dévotion. Collections remarquables aussi, celles qui se rapportent à la flore et à la faune amazoniennes et aux tribus indiennes, plus de cent quarante dont beaucoup ont disparu.
Musée des beaux-arts: la plus grande collection d'art de Rio. Tableaux des écoles italienne, flamande, espagnole, portugaise, anglaise et péruvienne des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Mais c'est surtout la galerie brésilienne, avec des peintures de l'époque coloniale, du XIXe et du XXe siècles: Portinari, Di Cavalcanti, Pancetti, Anita Malfati, Alfredo Volpi, Manubu Mabe et Djanira qui valent la visite.

Monuments :
Bien que Rio ait été, de 1763 à 1960, la capitale du plus grand pays catholique du monde, il n'y subsiste, hélas, que peu d'églises baroques. Quelques rares et beaux exemples à signaler, cependant:
Nossa Senhora da Gloria: blanche et gracieuse, l'église de Gloria domine de sa hauteur la baie de Guanabara. Construite en 1739, cette ravissante chapelle fut intimement liée à la vie de la famille impériale. Joao VI y porta dans ses bras sa petite-fille, la princesse Maria da Gloria, pour la présenter à l'autel et Don Pedro Ier en fit de même avec le futur empereur Pedro II. On peut y admirer des proportions harmonieuses et une décoration élégante, faite de bois sculptés et d'azulejos.
Monastère de Sao Bento: on peut y écouter tous jours des chants grégoriens à 11h et 17h30. Construit en 1641 par deux moines qui voulaient y fonder leur ordre, ce monastère est un très bel exemple de baroque colonial. Il faut voir dans l'église, l'étonnant travail de bois sculpté, recouvert de feuilles d'or.
Église Sao Francisco da Penitencia : très baroque, entièrement sculptée à la main et livrée, selon l'expression du sociologue Roger Batiste, « au tam-tam de l'or ». Mobilier de jacaranda et lustres d'argent massif qui illuminent, à la tombée du jour, le panneau peint dans le toit de la nef par José de Oliveira, représentant saint François d'Assise en extase recevant les stigmates.
Cathédrale Sao Sebastiao: tout en verre et en béton armé, de forme conique, ultramoderne, elle a été inaugurée en 1976. Au rez-de-chaussée, une crypte surprenante. Ses hautes cloisons sont percées d'orifices permettant d'y glisser des cercueils: c'est le nouveau cimetière de Rio. Au bout de deux ans, on retire les corps enterrés au cimetière pour les installer dans la cathédrale.





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11ème question


- Décrivez le port de Rio ainsi que la baie, prenez des photos.

Le port de Rio de Janeiro :
Le port de Rio de Janeiro est un port maritime brésilien, situé dans une anse de la baie de Guanabara, sur le territoire de la ville de Rio de Janeiro, capitale de l'État de Rio de Janeiro.
La baie de Guanabara est une baie du littoral brésilien de l'État de Rio de Janeiro profonde d'une trentaine kilomètres et large de presqu'autant.
Habitée par divers indigènes avant l'occupation portugaise, la baie fut découverte par une expédition portugaise (dont le commandement est attribué à Gaspar de Lemos), le 1er janvier de 1502 . Les explorateurs, confondant la baie avec l'embouchure d'un grand fleuve, la nommèrent rio de Janeiro (« fleuve de janvier » en français). Les indigènes, pour leur part, la nommaient, en tupi-guarani, Iguaá-Mbara (de iguaá = anse de fleuve, et mbará = mer).
En 1982, Robert F. Marx, un chercheur de trésors, prétendit avoir détecté des amphores antiques dans le fond de la baie. Selon lui, une épave romaine pourrait s'y trouver. Cette hypothèse est sujette est à controverses car Robert Marx a été interdit de plonger au Brésil, les autorités lui reprochant de s'adonner au trafic d'antiquités. Par ailleurs, ces mêmes autorités affirment qu'il ne peut avoir couvert le lieu de fouilles sans qu'elles en aient été averties

Les reliefs qui l'entourent forment un abri naturel favorable à l'activité économique qui conduisit à l'implantation des villes de Rio de Janeiro et Niterói sur ses rivages.
Principal accès à la ville de Rio de Janeiro pendant des siècles, elle est petit à petit rattrapée par la croissance urbaine de la cité à partir de la seconde moitié XXe siècle.
Depuis 1974, le pont Presidente Costa e Silva, connu sous le nom de pont Rio-Niterói permet de faire la liaison entre les deux rives de la baie.








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   Posté le 14-09-2011 à 09:43:03   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

12ème question


- Décrivez le carnaval de Rio, prenez des photos.

Carnaval de Rio :
Le carnaval est la fête nationale la plus populaire au Brésil, et à Rio de Janeiro en particulier. Il a lieu tous les ans entre l'Épiphanie et le Carême, durant les 4 jours qui précèdent le mercredi des Cendres.
Il s'agit de l'événement touristique le plus important de la municipalité de Rio, étant devenu un vrai synonyme de la célébration du Carnaval dans le pays et même au monde.
L'origine du carnaval brésilien est européenne, à travers l'entrudo (du latin introitus, qui signifie entrée) qui marquait l'entrée dans le Carême. L'entrudo consiste à jeter de l'eau sur une autre personne, pratique remplacée aujourd'hui par les lancers de confettis.
À la fin du XIXe siècle, les cordões (littéralement, les cordons) font leur apparition à Rio de Janeiro. Il s'agit de petits groupes qui déambulent dans les rues de la ville, tout en dansant et en jouant de la musique. Ces cordões sont les ancêtres des écoles de samba modernes. En 1899, la première musique composée exclusivement pour le carnaval voit le jour : "Ô Abre Alas" ("Oh, ouvrez les allées"), de Chiquinha Gonzaga. Cet air a été écrit pour le cordão (singulier de cordões) Rosas de Ouro (Roses d'or).
À cette époque, plusieurs tentatives de modification de la date du carnaval eurent lieu : il s'agissait de le transposer en hiver (de juin à août dans l'hémisphère sud), afin d'éviter les "maléfices" d'un été trop chaud. Cependant, aucune de ces tentatives n'a abouti.
Les carnavals les plus connus du Brésil sont ceux de São Paulo, de Recife, de Salvador de Bahia et bien évidemment de Rio de Janeiro.
A Rio, le carnaval débute dans les rues de la ville avec les bals pré-carnavalesques, les défilés des bandas et des blocos. Il s'agit de groupes de percussionnistes qui défilent, accompagnés de personnes déguisées. Généralement, un bloco (ou une banda) est organisé par les habitants d'un quartier et défile dans les rues de ce quartier. Ces défilés commencent bien avant le carnaval, les premiers se tenant plus de 3 semaines avant le début officiel des festivités.
Pendant le carnaval, des bals sont organisés dans les différents clubs de la ville. La mairie réalise également des bals populaires ouverts à tous dans certains lieux traditionnels de la ville, comme Cinelândia, par exemple.
Lors du carnaval, les différents groupes des écoles de samba défilent. Les écoles des 3 meilleurs groupes (groupe spécial, groupe A et groupe B) défilent dans le sambodrome, les autres (groupes C à E) défilent dans les rues de la ville.
A l'issue de ces défilés, un classement, rendu public le mercredi suivant le carnaval, est attribué. Les deux meilleures écoles de chaque groupe montent dans le groupe au-dessus, tandis que les deux dernières descendent (un peu comme au football). La première école du groupe spécial est déclarée championne, la seconde vice-championne.
Les défilés du groupe spécial, ainsi que l'annonce des résultats, sont retransmis en direct à la télévision.
Les défilés au sambodrome s'étalent sur 5 jours.
Le vendredi, défilent les mirins des écoles de samba, c'est-à-dire les enfants.
Le samedi, défilent les écoles du groupe A.
Le dimanche et le lundi, défilent les 12 écoles du groupe spécial.
Le mardi défilent les écoles du groupe B
Ces défilés ont lieu de nuit, de 21 heures à 6 heures du matin. Cependant, du fait du retard qui s'accumule d'école en école, la dernière école défile généralement dans le jour levant.
Ces défilés sont une sorte de compétition sportive à l'issue de laquelle est désignée l'école championne. Chaque école doit donc se soumettre à un certain nombre de règles strictes. Ainsi, chaque école doit parcourir l'intégralité du sambodrome en temps limité (entre 65 et 82 minutes).
Le samedi suivant le carnaval, les 6 écoles en tête du groupe spécial défilent à nouveau dans le sambodrome, pour le Défilé des Champions.
Dans les écoles du groupe spécial, environ 3000 personnes costumées défilent. Ces participants sont répartis dans les ailes (groupe de personnes d'une centaine de personnes portant le même costume), ainsi que sur les chars allégoriques. Pendant toute la durée du défilé, les participants doivent reprendre en chœur les paroles de la samba de enredo et danser sur sa musique, tout en veillant à ne pas perdre de pièce de son costume (chapeau, cape,...). Si ces conditions ne sont pas respectées par l'ensemble des participants, l'école risque de perdre des points, et donc d'avoir un moins bon classement.
Plusieurs éléments reviennent dans les défilés des différentes écoles.
Abre ala (en hommage à la première samba de carnaval de l'histoire (voir plus haut)), il s'agit de l'aile qui ouvre le défilé.
Commissão de frente : groupe de 10 à 15 danseurs qui réalisent une chorégraphie définie.
Porte-drapeau et mestre-sala : couple portant le drapeau de l'école. Ces danseurs évoluent de manière à dresser le drapeau de l'école.
Batterie : groupe de percussionnistes qui rythme la samba de enredo chantée tout au long du défilé par un chanteur qui se trouve sur un camion sono. La batterie est précédée d'une ou plusieurs reines de batterie.
Aile des Bahianaises : aile composée exclusivement de femmes, qui portent le costume traditionnel de Bahia.
Chars allégoriques : au nombre de 8 le plus souvent, il s'agit de chars richement décorés (certains contiennent même des éléments mobiles), sur lesquels prennent place les costumes les plus élaborés (destaques), portant des plumes pouvant aller jusqu'à 1 mètre de hauteur). Les chars sont généralement séparés par plusieurs ailes.





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   Posté le 14-09-2011 à 09:44:24   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

La rando est terminée


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