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 NATH

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Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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Wolf-Samantha
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REPONSES DE NATH


Nath
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   Posté le 22-11-2008 à 18:42:17   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 1


a) . La ligne 12 du métro de Paris est une des seize lignes du réseau métropolitain de Paris. Elle traverse toute la ville selon une direction globale nord/sud-ouest et relie la station Porte de la Chapelle, au nord de la capitale, à la station Mairie d'Issy, à Issy-les-Moulineaux au sud-ouest.

Ancienne ligne A du réseau de la société Nord-Sud ouverte en 1910, elle est intégrée au réseau concurrent de la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP), lors de la fusion des deux entreprises en 1930, sous le nom de ligne 12. La ligne conserve de ses origines quelques spécificités dans l'aménagement de ses stations. Elle est une des trois premières lignes à desservir la banlieue parisienne en 1934 et se situe aujourd'hui en onzième position sur le réseau pour son trafic, transportant soixante-douze millions de voyageurs par an.

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   Posté le 22-11-2008 à 19:16:03   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

b) .




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   Posté le 23-11-2008 à 18:30:22   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 2


. Le 18e arrondissement de Paris est un des vingt arrondissements de Paris. Situé sur la rive droite de la Seine, il comprend l'ancienne commune de Montmartre, rattachée à Paris en 1860. Il est le deuxième arrondissement le plus peuplé de la ville, après le 15e.

Lors du recensement de 1999, l'arrondissement était peuplé de 184 586 habitants sur 601 hectares, soit 30 713 hab/km². Au 1er janvier 2005, l'INSEE estimait la population de l'arrondissement à 188 500 habitants.

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   Posté le 23-11-2008 à 19:01:56   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 3


. Histoire:Montmartre fut longtemps un village hors de Paris. Son nom a sans doute pour origine Mons Martis (le mont de Mars), car la butte était l'emplacement d'un temple dédié à Mars, dieu de la guerre, sous la période romaine. Un second temple, dédié à Mercure, s'y trouvait également. On a depuis évoqué une seconde possible origine étymologique : le mont du martyre, car elle fut, selon la légende, un lieu de passage important de saint Denis, premier évêque de Paris, qui aurait survécu à son exécution. Une des rues historiques menant à Montmartre s'appelle rue des Martyrs.

À la formation des communes et des départements en 1790, Montmartre fut une commune de la Seine. Située à l'intérieur de la ligne de fortifications bâtie au XIXe siècle, elle fut annexée à Paris en 1860 (une petite partie de son territoire, hors des fortifications, revenant à Saint-Ouen) et fut intégrée au XVIIIe arrondissement.

Montmartre a été l'un des lieux importants de la Commune de Paris en 1871.

Aux XIXe et XXe siècles, Montmartre a été un lieu phare de la peinture, accueillant des artistes comme Pissarro, Toulouse-Lautrec, Steinlen, Van Gogh, Modigliani, Picasso... Plus tard, la butte a été supplantée comme quartier de prédilection des peintres par Montparnasse.

Historiquement, Montmartre comprend une partie du XVIIIe arrondissement (ouest), le nord du IX ème et une partie des Batignolles, couvrant ce qui fut le territoire de l'abbaye des Dames de Montmartre durant sept siècles.

a colline sur laquelle est bâtie Montmartre est le point culminant de Paris (130 m); on accède à son sommet par funiculaire ou empruntant un escalier de 222 marches. Cependant, la rue la plus haute de Paris est la rue du Télégraphe dans le XXe arrondissement. La butte Montmartre est située dans le nord de la capitale. C'est l'un des endroits les plus visités par les touristes.



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   Posté le 23-11-2008 à 19:25:42   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 4


. Origine : La construction du funiculaire de Montmartre est décidée par le Conseil municipal de Paris en 1891, afin de desservir la basilique du Sacré-Cœur, construite au sommet de la butte-témoin de Montmartre et inaugurée le 5 juin 1891. Selon le projet initialement retenu, le funiculaire aurait dû utiliser une traction électrique et son tracé aurait dû être beaucoup plus long, desservant six stations en plus des deux terminus; il sera finalement beaucoup plus modeste avec seulement deux stations-terminus, et utilisera un contrepoids d'eau pour se déplacer.

La mise en service du funiculaire a lieu le 12 ou le 13 juillet 1900 selon les sources, et son exploitation est confiée aux établissements Decauville par une concession qui prend fin en 1931. Cependant, n'ayant pu obtenir l'autorisation préfectorale nécessaire pour circuler, le funiculaire est fermé du 24 novembre 1900 au 22 mars 1901.

Le funiculaire possède deux voies à écartement standard munies d'une crémaillère Strub employée pour le freinage. Les voies sont supportées par des longrines en cornières métalliques entretoisées, appuyées sur des socles de béton.

Le système est actionné par deux cuves étanches d'une capacité de 5 m3 d'eau situées sous le plancher de chacune des cabines. La cuve d'une cabine est remplie à la station haute ce qui permet sa descente par effet de gravité avec le poids cumulé des voyageurs et de l'eau, entraînant dans la montée la cabine opposée. Une machinerie à vapeur située à la station basse actionne des pompes refoulant l'eau à la station supérieure. Les cabines ont une capacité de quarante-huit passagers répartis en quatre compartiments fermés disposés en escalier, les deux plates-formes d'extrémité étant réservées au conducteur (serre-frein). Elles sont retenues par un système de freinage établi sur la crémaillère. Ce système transporte un million de voyageurs par an durant une trentaine d'années.

Premier rénovation :À l'échéance de la concession, la ville de Paris et le département de la Seine chargent la société des transports en commun de la région parisienne (STCRP)[7] d'exploiter et de moderniser les infrastructures. Le système de freinage sur crémaillère est jugé trop dangereux et le système initial est alors abandonné ; l'exploitation cesse le 1er novembre 1931. Le système de funiculaire à eau est remplacé par deux cabines fonctionnant à l'électricité et l'exploitation reprend le 2 février 1935 après plus de trois ans d'interruption. La traction est assurée par un treuil actionné par un moteur électrique de 50 CV, qui permet aux cabines d'une capacité de cinquante personnes d'effectuer le parcours en soixante-dix secondes soit une vitesse de deux mètres par seconde. Celles-ci ne sont plus disposées en escalier mais composées d'un unique compartiment à plancher horizontal. En 1955, la ligne est en service de 7 à 21 heures en hiver et jusqu'à 23 heures en été, la perception du billet se fait à l'entrée en station par l'oblitération d'un ticket d'autobus[8]. En 1962, le funiculaire transporte 1 600 000 voyageurs et l'exploitation cesse durant quelques semaines pour une nouvelle rénovation. La réouverture a lieu en présence des poulbots et du Président de la République de Montmartre, Émile Kérembrun.

Seconde rénovation :Usé par cinquante-cinq années d'exploitation, et transportant deux millions de voyageurs annuels, le funiculaire doit être profondément rénové. Une idée originale est négociée par la RATP et la mairie de Paris : son prolongement via un tunnel jusqu'à la station de métro Anvers. Mais vu le coût élevé de la solution, cette idée est abandonnée.

La RATP le reconstruit donc entièrement en 1990 et 1991 sur le même modèle. Le trafic cesse totalement le 1er octobre 1990 ; il est remplacé momentanément par un renforcement du service de minibus, le Montmartrobus, entre la place Pigalle et le haut de la butte, en attendant la mise en service du nouveau funiculaire, le 5 octobre 1991. Les anciennes stations sont détruites et reconstruites sur les dessins de l'architecte François Deslaugiers en faisant largement appel au verre et à la transparence. Les travaux sont réalisés par Schindler, une société d'ascenseurs, et se montent à 43,1 millions de francs.
Depuis cette dernière rénovation, le funiculaire utilise la technologie d'un ascenseur incliné à traction électrique et n'est donc plus un véritable funiculaire au sens propre : il ne fonctionne plus selon le traditionnel mouvement alternatif des funiculaires. La machinerie est restée à la station supérieure ; elle est composée de deux treuils AKROS totalement indépendants entraînés par des moteurs de 130 kW. La masse d'une cabine est de six tonnes à vide et de dix tonnes à pleine charge. Elles disposent d'un frein de service, un de voie et un d'urgence. Les chariots et les châssis ont été conçus par Skirail, l'entraînement et les armoires électriques fabriquées par Poma.

L'exploitation est totalement automatisée : la présence et le nombre de voyageurs sont détectés par un système composé de balances électroniques situé dans le plancher des cabines et de radars dans les stations. Un ordinateur détermine alors le départ des cabines, indiqué aux voyageurs par un affichage en cabine. Selon la densité du flux de voyageurs, le choix est réalisé entre les deux vitesses possibles de circulation, de 2 ou 3,5 mètres/seconde. Des portes palières s’ouvrent uniquement en présence de la cabine afin d'accroître la sécurité, ressemblant en cela à la ligne 14 du métro.

Le 7 décembre 2006 à 17 h 50, une nacelle s'écrase en bas du plan incliné lors d'un test de freinage en charge effectué par la RATP, : le culot du câble de traction s'est rompu. L'interruption de service dès lors pose des problèmes croissants aux habitants et commerçants de la butte, les premiers perdant du temps à cause de la fréquence insuffisante du bus de remplacement et de sa surcharge, les seconds voyant leur chiffre d'affaire baisser sensiblement (20 à 30 % en moins par rapport au même mois de l'année 2006), les touristes devenant moins nombreux. Une des deux cabines a été remise en service le 30 juin 2007, l'autre le 2 août 2008.



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   Posté le 23-11-2008 à 19:48:16   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 5


. La basilique du Sacré-Cœur est un édifice religieux parisien majeur situé sur la butte Montmartre. Avec plus de 10 millions de pèlerins et visiteurs par an (2006), c'est le second monument de France le plus visité après la Cathédrale Notre-Dame de Paris.
Orgue :Les grandes orgues de la Basilique du Sacré-Cœur ont été construites, par le célèbre facteur d'orgue Aristide Cavaillé-Coll en 1898 pour le château du baron de L'Espée, grand amateur d'orgue. Cet orgue était alors l'un des fleurons de Cavaillé-Coll, puisque doté des meilleures technologies de l'époque (4 claviers manuels (61 notes)et pédalier (32 marches), 70 jeux, traction mécanique des claviers et des jeux).

À la mort du baron, à la vente de sa demeure et après avoir passé plus de dix années dans les entrepôts Cavaillé-Coll-Mutin, l'orgue fut transféré à la basilique où il fut inauguré le 16 octobre 1919 par Charles-Marie Widor, Marcel Dupré et Abel Decaux.



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   Posté le 23-11-2008 à 20:39:20   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 6


Histoire : Les dix premières années du Moulin Rouge s'enchaînent dans un tourbillon de soirées plus extravagantes les unes que les autres : inspirées du cirque, on retrouve les attractions - dont celles du Pétomane, restées célèbres. Il est surnommé « le premier palais des femmes » par ses propriétaires Joseph Oller et Charles Zidler.

Autour du cancan, on monte les premières revues - celle des Circassiens et Circassiennes en 1890. On y organise des concerts bals tous les jours à 22 heures. On y fait scandale avec le bal des Quat'z'Arts et son défilé de Cléopâtre nue portée par quatre mâles, entourés de jeunes filles tout aussi dénudées et alanguies sur des lits de fleurs...

Un début en fanfare, qui à l'orée du siècle suivant, va perdre de sa splendeur. Le 29 décembre 1902, l'heure du dernier bal a sonné dans l'indifférence générale. Le quadrille n'est plus à la mode, le bal du Moulin Rouge se transforme en théâtre-concert sous la houlette de son nouveau directeur Paul-Louis Flers. Un revuiste bien connu sur la place de Paris et qui souhaite faire un lieu beaucoup plus prestigieux. Il restera à la tête du célèbre établissement... 9 mois. De nombreux directeurs lui succèderont ce qui n'empêchera pas Le Moulin Rouge de trouver sa vitesse de croisière.
Sous des pseudonymes particulièrement imagés et plutôt canailles, les plus illustres danseuses de l'époque rivalisent, chacune avec son tempérament, sur la scène du Moulin Rouge. La figure de proue incontestée du French Cancan reste la célèbre Goulue et sa gouaille inimitable. Mais elle n'est pas la seule à s'illustrer dans l'art du cancan : on retrouve régulièrement sur scène Jane Avril surnommée Jeanne la Folle, la Môme Fromage appelée ainsi en raison de son jeune âge, « Grille d'égoût » connue pour son goût du chahut, Nini Pattes en l'Air qui ouvrira une école de Cancan ou encore Yvette Guilbert, grande diseuse nationale et imitatrice de Sarah Bernhardt... Seule figure masculine marquante dans cet aréopage de femmes : Valentin Le Désossé autrement appelé l'Homme du Quadrille et qui n'aura jamais son pareil pour faire danser les filles...

Toulouse-Lautrec, fidèle parmi les fidèles, est le grand témoin de cette période faste. Parmi l'ensemble de ses œuvres, dix-sept d'entre elles, dont certaines célèbres dans le monde entier, sont directement inspirées du Moulin Rouge. Il en est un des personnages emblématiques. Toulouse-Lautrec ne serait sans doute pas ce qu'il est sans Le Moulin Rouge et la Goulue. De même, le Music-Hall serait-il aujourd'hui ce qu'il est sans le talent du peintre ?

Le 9 mai 1893, un acte scandaleux se produit sur la scène du Moulin Rouge. Jean-Yves Rettelus, célèbre danseur (il dansa notamment aux côtés d'Anna Pavlova et Carlotta Brianza dans les Ballets Russes) laisse entrevoir une partie de son abondant appareil génital lors de sa représentation de la danse des damnés, à cause d'une soudaine déchirure de son costume sanglé.

L'établissement est racheté en 1904 par Paul Flers. Celui-ci confie à l'architecte Édouard Niermans[1] le soin de le transformer en music-hall. On construit une grande scène digne d'un opéra, ouvrant sur une salle de 2200 places, équipée d'un balcon, de baignoires, et de loges d'avant-scènes. Une salle de restaurant à l'étage permet de dîner tout en regardant le spectacle.

Le Moulin Rouge est un cabaret parisien construit en 1889 par Joseph Oller qui possédait déjà l'Olympia. Il est situé dans le quartier de Pigalle, sur le boulevard de Clichy dans le XVIIIe arrondissement, non loin de Montmartre.







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   Posté le 23-11-2008 à 20:47:08   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 7


. A Goulue, de son vrai nom Louise Weber (née à Clichy-la-garenne le 13 juillet 1866 et décédée le 29 janvier 1929), est une danseuse de cancan populaire.

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   Posté le 25-11-2008 à 21:31:23   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 8


. La place du Tertre est située dans le 18e arrondissement de Paris, en France, dans le quartier de Montmartre et à quelques mètres de Saint-Pierre de Montmartre et de la basilique du Sacré-Cœur.À une hauteur de 130 m d'altitude, elle accueille de nombreux peintres ou caricaturistes. Elle est un des lieux les plus visités par les touristes.On y trouve le restaurant À la Mère Catherine, fondé en 1793.





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   Posté le 25-11-2008 à 21:52:17   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

. À la Mère Catherine est un restaurant parisien situé sur la Place du Tertre.

Fondé en 1793, il est l'un des plus anciens restaurants de la place. Une plaque située à l'entrée du restaurant donne l'étymologie du mot bistro selon laquelle les cosaques de passage lors de l'occupation alliée après la défaite de Napoléon 1er en 1815, s'arrêtaient à la Mère Catherine et auraient donné naissance au premier bistro de Paris en commandant à boire « bystro ! » c'est à dire en russe « vite ! ».
Le restaurant est fréquenté en majorité par des touristes.



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   Posté le 25-11-2008 à 22:04:17   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 9


. Yolanda Gigliotti dite Dalida, née le 17 janvier 1933 au Caire en Égypte et décédée dans la nuit du 2 mai au 3 mai 1987 à Paris, inhumée au cimetière de Montmartre (division 18), était une chanteuse et une actrice d'origine italienne, plus tard naturalisée française, d'expression française mais aussi italienne et arabe. Son père était premier violon à l’Opéra du Caire. Elle est la seule fille issue d'une famille de trois enfants.

Iolanda (francisé en Yolanda) naît le 17 janvier 1933 à Choubrah (faubourg aux portes du Caire), en Égypte, de parents calabrais originaires de Serrastretta, dans la province de Catanzaro.

Après avoir remporté en Égypte quelques concours de beauté, dont le titre de « Miss Égypte 1954 », et tourné dans plusieurs films de série B, Dalida gagne Paris à l’âge de vingt-et-un ans dans l’espoir de faire carrière dans le cinéma. Elle prend rapidement conscience du fait que son maigre bagage ne pèse rien aux yeux des producteurs français, et s’oriente vers la chanson : elle débute à la Villa d'Este, dans un répertoire à l’exotisme latin.



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   Posté le 25-11-2008 à 22:17:40   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 10


. Au cœur de Montmartre, l’espace Dalí présente l’unique exposition permanente en France intégralement consacrée au maître du surréalisme, et plus particulièrement à ses sculptures et gravures.
Vous voyagerez dans un monde fantasmagorique et découvrirez plus de 300 œuvres originales qui ont fait de Salvador Dalí l’un des artistes majeurs du XXème siècle.
La plus grande collection en France de sculptures de Salvador Dalí.
Cette superbe collection met en lumière les réalisations tridimensionnelles des images surréalistes les plus célèbres de l’œuvre du maître.
Ces sculptures représentent un aspect significatif de la création artistique de Dalí, elles fournissent une synthèse de son intérêt pour la forme.
Une collection complète de gravures originales et de lithographies signées Dalí.
Salvador Dalí a illustré les principaux thèmes de la littérature, de la mythologie, de l’histoire et de la religion.
Il exprime à travers cette œuvre considérable sa propre vision des thèmes poétiques et littéraires universels.



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   Posté le 25-11-2008 à 22:24:00   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 11


. La vigne de Montmartre, dont le nom officiel est le Clos-Montmartre, est une vigne parisienne plantée sur la Butte Montmartre.





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   Posté le 25-11-2008 à 22:30:52   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 12


. Le Bateau-Lavoir est un immeuble situé dans le quartier Montmartre dans le 18e arrondissement de Paris. Il est principalement connu pour avoir été, au début du XXe siècle, le lieu de résidence et de réunion de nombreux artistes peintres, mais aussi de gens de lettres. Un incendie l’ayant gravement endommagé en mai 1970 (il n’en restait que la façade), il a été entièrement reconstruit pour accueillir des artistes étrangers. Initialement surnommé la « Maison du trappeur », il aurait été rebaptisé par le poète Max Jacob, lors de l’arrivée de Pablo Picasso et de ses collègues en 1904, en référence aux bateaux-lavoirs en activité sur la Seine.

Situé au numéro 13 de la place Émile-Goudeau, autrefois place Ravignan, c’était jusqu’en 1860 une guinguette à l’enseigne du « Poirier-sans-Pareil ». Le premier artiste à s’y installer en 1892 est le peintre Maxime Maufra, de retour d’un séjour en Bretagne. L’endroit devient rapidement un lieu de rencontre, où l’on remarque notamment la présence de Paul Gauguin. Entre 1900 et 1904, l’endroit est occupé par deux groupes d’artistes, des Italiens dont le plus célèbre est Ardengo Soffici et des Espagnols regroupés autour de Paco Durrio. Picasso arrive en 1904 (il y demeure jusqu’en 1909 et y garde un atelier jusqu’en 1912), sa période bleue étant terminée, il entame les tableaux de la période rose. À cette époque les habitants se nomment Kees Van Dongen, Juan Gris, Constantin Brancusi, Modigliani, Pierre Mac Orlan, Max Jacob. En 1907, la toile Les Demoiselles d'Avignon y est dévoilée. En 1908 le Douanier Rousseau y est accueilli par un mémorable banquet. Le Bateau-Lavoir perd de son animation à partir de la Première Guerre mondiale au profit du quartier de Montparnasse et de La Ruche, son équivalent de la rive gauche. La maison fut aussi surnommée la « Villa Médicis de la peinture moderne ».
Inscription aux monuments historiques le 31 mai 1965.

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   Posté le 25-11-2008 à 22:37:18   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 13


. Le Chat noir fut un célèbre cabaret de Montmartre, fondé en novembre 1881 par Rodolphe Salis.

Situé au pied de la butte Montmartre, le cabaret du Chat noir fut l'un des grands lieux de rencontre du Tout-Paris et le symbole de la Bohème à la fin du XIXe siècle.

Fils d'un limonadier de Châtellerault, Rodolphe Salis (1851-1897), arrivé à Paris en 1872, gagna d'abord médiocrement sa vie comme artiste en fabriquant des objets de piété, avant de concevoir l'idée d'associer art et débit de boisson.

Il imagina de créer un café « du plus pur style Louis XIII… avec un lustre en fer forgé de l'époque byzantine et où les gentilshommes, les bourgeois et manants seraient dorénavant invités à boire l'absinthe habituelle de Victor Hugo (celle que préférait Garibaldi) et de l'hypocras dans des coupes d'or ».En réalité, le Chat noir, ouvert en novembre 1881, commença par servir du mauvais vin dans un décor sommaire, mais déjà, à la porte, les clients étaient accueillis par un Suisse splendidement chamarré, couvert d'or des pieds à la tête, chargé de faire entrer les peintres et les poètes tout en laissant dehors les « infâmes curés et les militaires ». Le premier Chat noir était situé dans deux petites pièces boulevard de Rochechouart. Il dut son nom à un chat noir perdu sur le trottoir que Salis trouva pendant les travaux. Progressivement, le décor fut amélioré pour donner un aspect pseudo-historique évocateur de l'époque de Rabelais.

Salis avait rencontré, quelque temps auparavant, Émile Goudeau qu'il avait convaincu de transférer ses Hydropathes, qui se réunissaient sur la rive gauche, dans son établissement. Très rapidement, les poètes et les chansonniers qui se produisaient au Chat noir attirèrent la meilleure clientèle de Paris. On venait avant tout pour les réparties spirituelles qui fusaient souvent aux dépens des clients, interpellés d'un « Tiens, t'es finalement sorti de prison ? » ou d'un « Qu'est-ce que t'as fait de ta poule d'hier ? » à un nouveau client visiblement accompagné de sa femme. Un soir, le futur roi Édouard VII y fut apostrophé en ces termes : « Eh bien regardez-moi celui-là : on dirait le Prince de Galles tout pissé ! »

On trouvait au Chat noir le peintre Willette, les chansonniers Aristide Bruant, Jules Jouy, Jean Goudezki et son ami l'humoriste Alphonse Allais et les poètes Charles Cros, Albert Samain, Maurice Rollinat, Maurice Mac-Nab, Jean Richepin, etc. Léon Bloy fut un habitué. Il publia dans la revue du Chat noir de nombreux articles de critique littéraire repris pour la plupart dans ses Propos d'un entrepreneur de démolitions. Rodolphe Salis eut l'idée d'installer un piano, ce qui était une première dans un cabaret, de sorte que la chanson de cabaret vit véritablement le jour au Chat noir.

Le succès aidant, Salis transféra le cabaret dans un immeuble de trois étages situé à proximité rue de Laval (aujourd'hui rue Victor-Massé). Dans les différentes salles, il fit réaliser des décors pseudo-historiques, sous l'égide d'illustrateurs tels que Henri Rivière et Caran d'Ache. Il créa également, avec l'aide d'Henri Rivière, un théâtre d'ombres en couleurs sur lequel furent donnés de véritables petits chefs d'œuvres. Il déménagea peu après pour s'installer au 68, boulevard de Clichy.

Le Chat noir fut, selon Laurent Tailhade, « L'Assommoir et La Divine Comédie amalgamés » et, selon Jean Lorrain, « l'olla-podrida de tous les styles et de toutes les extravagances, le “décrochez-moi-ça” de la brocante artiste, de tout un quartier de rapins et de poètes, un musée picaresque et baroque de toutes les élucubrations de bohèmes venues s'échouer toutes là durant vingt ans, de toutes ces épaves : le mauvais goût le plus sûr à côté de trouvailles exquises ; statuettes polychromes et fresques de Willette ; envolées de nudités graciles et perverses, fouettées de roses et nimbées d'or, et hiboux empaillés, fers forgés et chats de faïence ; vitraux allégoriques, étourdissants de couleur et de cruelle modernité, et bas-reliefs enluminés ; musique de Delmet et chansons de Xanrof… Le Chat noir, l'hostellerie artistico-commerciale du gentilhomme Salis, seigneur de Chatnoirville-en-Vexin, où d'une main bénissante un malin compagnon à moustaches de reître débitait des chansons, des sonnets, des pochades, des œufs durs et des bocks assaisonnés de gloire dans le décor le plus miraculeusement truqué. »

De nombreux cabarets de par le monde ont pris ce nom depuis. En son temps, Le Chat noir connut des imitations dont la plus connue fut L'Abbaye de Thélème, place Pigalle, créée par Jules Roques. Le très fameux bal qui ouvre chaque année la saison du Carnaval de Dunkerque porte en l'honneur du cabaret parisien le nom de « Bal du Chat noir ».

L'enseigne du Chat noir, en tôle peinte, est aujourd'hui conservée et exposée au musée Carnavalet à Paris.

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   Posté le 25-11-2008 à 22:43:21   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 14


. Le Lapin Agile est un cabaret de Paris situé sur la butte Montmartre au 22 de la rue des Saules dans le XVIIIe arrondissement. Établi dans la seconde moitié du XIXe siècle, racheté par Aristide Bruant en 1913, il fut l'un des lieux de rencontre privilégiés de la bohème artistique du début du XXe siècle, de Max Jacob à Pablo Picasso en passant par Roland Dorgelès, Francis Carco ou Pierre Mac Orlan. Il est encore aujourd'hui en activité.



. Frédéric Gérard avait longtemps arpenté les trottoirs monmartrois, en compagnie de son âne (« Lolo » et en qualité de vendeur de produits des quatre saisons, avant de devenir propriétaire d'un cabaret, Le Zut, situé selon les sources rue Norvins ou rue Ravignan, établissement qui, se souvient Mac Orlan qui y assista, « termina sa courte carrière lors d'une bagarre mémorable qui dura toute une nuit. » Lorsqu'il emménage au Lapin Agile, il garde avec lui son singe, son chien, son corbeau, ses souris blanches, ainsi que son âne, avec lequel il vend du poisson dans les rues de Montmartre, afin de compléter ses revenus.

Figure pittoresque de la vie montmartroise, avec « sa tenue qui tenait de Robinson Crusoé, du trappeur de l'Alaska et du bandit calabrais », « Frédé » chantait des romances sentimentales ou des chansons réalistes en s'accompagnant au violoncelle ou à la guitare, dont il jouait avec un talent qui ne faisait pas l'unanimité. Surtout, il n'hésitait pas à offrir des repas et des boissons dans son cabaret aux artistes désargentés, en échange d'une chanson, d'un tableau ou d'un poème.

Aristide Bruant, toujours client régulier du Lapin Agile, se lie d'amitié avec le tenancier, et lorsque le bâtiment est promis à la démolition en 1913, il le rachète et laisse « Frédé » en assurer la gérance.

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   Posté le 26-11-2008 à 21:29:30   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 15


. Située sur le boulevard de Rochechouart, dans le quartier de Pigalle, la salle de café-concert a été construite en 1887 à l'emplacement du Bal de la Boule noire (édifié en 1822)[1]. D'une capacité d'environ 1000 places, elle se spécialise immédiatement dans la revue. Elle est agrandie en 1894 par l'architecte Henri Grandpierre, avec un plafond peint par Adolphe Léon Willette. Elle accueille les spectacles de Mistinguett, Maurice Chevalier, Yvonne Printemps, Gaston Ouvrard, Arletty, Raimu ou Max Linder.

Après la Première Guerre mondiale, on y joue des opérettes, des vaudevilles, et les soirées futuristes de Jean Cocteau. Un cabaret s'installe au sous-sol de l'établissement en 1924. Mais le caf'-conc. ferme ses portes en 1927. Il est remplacé temporairement par un petit music-hall baptisé La Fourmi.

Dans les années 1940, La Cigale devient une salle de cinéma, un moment spécialisée dans les films de Kung-fu, puis dans les films classé X.

En 1987, réouverture de La Cigale avec les Rita Mitsouko, grâce à Jacques Renault et Fabrice Coat, deux anciens brocanteurs, et cofondateurs de la boite de nuit « Les Bains Douches ». La salle est modernisée et décorée par Philippe Starck. La direction artistique et commerciale est confiée à Corinne Mimram qui, jusqu’à aujourd’hui, dirige l’établissement. Transformée en salle de spectacle polyvalente, La Cigale devient alors un des lieux de spectacle les plus appréciés de la capitale.

En janvier 2007, la Cigale signe un partenariat avec SFR et s'appellera pour deux ans La Cigale SFR. La salle est en relation avec la Boule noire et le Trabendo.

La salle est classée monument historique depuis 1981.

Les Artiste : Le Festival des Inrockuptibles se déroule depuis 20 ans à la Cigale, de même que le festival Factory. La salle a également accueilli Iggy Pop, Charles Trenet, Johnny Hallyday, Bonnie Tyler, Kim Wilde, Jango Edwards, Kylie Minogue, Noir Désir, Renaud (pour un concert gratuit et privé de 6 heures le 29 septembre 2007), Oasis, Radiohead, Blur, Page & Plant, Claude Nougaro, Jamel, -M-, Louise Attaque, Manu Chao, Muse, Norah Jones, Les Rita Mitsouko, Red Hot Chili Peppers, Superbus, Vitaa...

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   Posté le 26-11-2008 à 21:56:56   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 16


. 895, Misstinguet enflamme le Trianon
Le «Trianon-Concert», premier nom de la salle de spectacle, accueillit dès 1895 de célèbres artistes tels que Misstinguet. Mais alors que la Belle Epoque battait son plein, un incendie détruisit le music-hall et une partie des dépendances de l’Elysée-Montmartre dans la nuit du 17 au 18 février 1900. Le journal «Le Petit Bleu» fit une description du sinistre : «Trianon, le joyeux music-hall montmartrois a vécu. Hier encore, Frégoli, le protéiforme personnage, y attirait tout Paris. Aujourd’hui, ce n’est plus qu’un amas de cendres, un chaotique enchevêtrement de ferrailles tordues, demi-rompues. De la salle de théâtre, il ne reste que la place. Le jardin d’hiver est dévasté, tout y est détruit, à peine a-t-on pu sauver la carcasse de la grande salle des fêtes élevée l’année dernière dans le jardin. Le feu a jailli là où s’ébaudirent les provinciaux devant les jeux désopilants des artistes chorégraphiques : La Goulue, Grille d’Egoût, Valentin le désossé, qui, avant Trianon, vinrent à la même place, illustrer les lieux qui s’appalèrent alors Elysée-Montmartre.»

Mr Chauvin, directeur, fit entreprendre la reconstruction de l’établissement qui fut inauguré le 18 décembre 1902 sous le nom de «Trianon-Théâtre». Rebaptisé au cours des modes et des circonstances, la salle de spectacle se nomma successivement «Théâtre Victor-Hugo», «Trianon Lyrique» et enfin «Le Trianon».

Le Trianon et le cinéma
Un peu avant la guerre de 1939, le cinéma récupéra cette magnifique salle de 1000 places. Cinéma populaire que fréquenta Jacques Brel au début des années 1950. L’auteur, installé dans l'une des loges (aujourd’hui disparues), à l’abri du froid, y écrivit plusieurs de ces textes à succès.

À partir de 1985, le cinéma traversa une crise très importante et vît peu à peu disparaître sa clientèle. Les salles dites «populaires» fermèrent les unes après les autres, les premiers touchés étant les exploitants indépendants. Le Trianon restera une des dernières grandes salles parisiennes de cette catégorie et devra à son tour fermer les portes à son public cinéphile en 1992.

Néanmoins, le Trianon gardera un lien particulier avec le 5ème art. En 1983, le Ministre de la Culture Jack Lang y a inauguré le 1er festival Kung-Fu organisé par le journal Libération et en 1992, le Festival International du Film à Cannes y a fêté les 15 ans d’ «un certain regard».

Le Trianon d'aujourd'hui
À la fermeture de la salle de cinéma du Trianon, Guy Balensi, directeur général, concrétisa son désir de restituer à cette salle sa vocation première : le spectacle scénique avec une pièce de théâtre « Dommage qu’elle soit une putain » de John Ford, contemporain de Shakespeare, adaptée en pièce musicale rock.

Depuis, le Trianon s’est tourné vers une programmation variée : théâtre, concerts allant du classique avec l’Orchestre Symphonique d’Europe, à la variété avec Carla Bruni, Julie Zenati ou encore Benabar, mais aussi opéras, opérettes, comédies musicales, show cases, défilés de mode, avant-premières de films et divers spectacles, conférences de presse, présentations de courts et longs métrages, galas ou encore festivals.

Au fil des ans, cet établissement a touché tous les arts du spectacle et a permis de réunir sur ses affiches des vedettes aussi différentes que talentueuses.



Nath
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   Posté le 26-11-2008 à 22:10:19   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Question 17


. Le marché aux puces de Saint-Ouen est la plus importante concentration d'antiquaires et de brocanteurs du monde[réf. nécessaire]. Il se tient tous les samedi, dimanche et lundi et du fait de cette fréquence élevée, il n'est plus depuis longtemps constitué que de professionnels louant leur emplacement avec des baux d'une durée minimale de trois ans.

Il compte plusieurs marchés, dont le marché Vernaison et le marché Biron.

En marge du marché d'antiquités, de foisonnants commerces de vêtements et d'articles de fantaisie occupent les rues environnantes. On y croise beaucoup de touristes étrangers et même très souvent des célébrités.



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   Posté le 26-11-2008 à 22:12:50   Voir le profil de Nath (Offline)   Envoyer un message privé à Nath   

Rando terminer
Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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Wolf-Samantha
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   Posté le 26-11-2008 à 23:06:08   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

Nath très belle rando réussie toutes mes félicitations, un grand bonne documentation très belles photos avec beaucoup de recherches ce fut un plaisir de lire ta rando je vois qu'elle t'a beaucoup plut et que tu t'es bien amusée

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