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 NATATATANKA

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Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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Wolf-Samantha
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   Posté le 09-04-2009 à 11:17:52   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   



REPONSES DE NATATATANKA


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   Posté le 30-04-2009 à 09:06:59   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

1-



L'aéroport international Nouméa La Tontouta est situé au lieu dit La Tontouta dans la commune de Païta à 52 km au nord-ouest de Nouméa en Nouvelle-Calédonie. Il sert de plateforme de correspondance à Aircalin. Il est classé aérodrome d'État.


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   Posté le 01-05-2009 à 12:43:53   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

2-



Le domaine public maritime communal comprend de nombreux îlots au large de la presqu'île. Le plus important d'entre eux par sa superficie est longtemps resté l'île Nou, transformée en une semi presqu'île artificielle par la construction de polders et d'un pont. Désormais, l'îlot le plus vaste de la commune est celui de Sainte-Marie (aussi appelé « Grand Sainte-Marie » ou île N'géa) qui constitue la limite est de la baie du même nom. Le littoral nouméen est ainsi entouré d'un chapelet d'îles et îlots côtiers :

l'îlot Lassalle, dans le prolongement de la presqu'île de Tina, au nord-est.
les îlots Fourmis qui comprennent le Petit Fourmi (ou îlot Kuru) et le Grand Fourmi (ou îlot Tué), au large de la baie de Magenta, à l'est.
les îlots Sainte-Marie qui encadrent la baie du même nom au sud-est : l'îlot Sainte-Marie (ou Grand Sainte-Marie ou île N'Géa), l'îlot Uéré (ou Petit Sainte-Marie) et, plus petit, l'îlot N'do. L'îlot Sainte-Marie, assez grand, offre plusieurs plages servant de lieux de camping ou de déjeuners pour les Nouméens, et notamment pour les élèves de la base nautique de la côte blanche, de l'autre côté de la baie. L'îlot Uéré possède une unique plage dans une petite anse qui sert de lieu de mouillage aux bateaux de plaisance et est un lieu fréquenté par les motomarines.
l'îlot Canard ou île aux Canards à l'entrée de l'Anse Vata, au sud. Accessible par des « bateaux-taxis », petites navettes maritimes partant de la plage de l'anse, ainsi que par voile, il est aménagé avec un fare servant de restaurant et un sentier sous-marin de découverte et de sensibilisation à la protection de la nature.
l'îlot Brun, dans le prolongement de la Pointe Chaleix (à laquelle il est désormais relié par un pont) avec laquelle il forme le terrain de la base navale militaire de Nouméa. Il ferme la baie de l'Orphelinat, à l'ouest.
l'île Nou devenu la presqu'île artificielle de Nouville.
l'îlot Freycinet, dans le prolongement de la pointe Lestelle et du quartier de Koumourou qui constitue l'extrémité est de la presqu'île de Ducos.
les îlots Tindu et Kaméré, à l'entrée de la baie de Tindu, au nord de Ducos et au nord-ouest de la ville.
À cela il faut ajouter les îlots coralliens du lagon, plus éloignés vers le sud, plus ou moins aménagés et lieux de villégiatures pour les plaisanciers nouméens pour des sorties d'une journée ou pour les pratiquants des sports de glisse (planche à voile, funboard ou kitesurf) :

l'îlot Maître, à 4 milles marins (environ 7,5 km) au sud-sud-ouest du port Moselle et à 2,5 milles (environ 4,5 km) de l'Anse Vata, dans l'alignement de l'îlot Canard. Doté d'un hôtel (il est ainsi le seul îlot nouméen à en posséder un), il est agrémenté d'un récif d'1 mille de large entre l'îlot et sa balise.
l'îlot Signal, à 8 milles marins (environ 15 km) à l'ouest du port Moselle, il est le lieu où fut installé la première balise de Port-de-France et est situé à la sortie de la passe de Dumbéa, l'un des principaux points d'entrée des navires dans le lagon néo-calédonien, entre le récif de l'Annibal au nord-ouest et le grand-récif Aboré au sud-est.
l'îlot Larégnère, à environ 7 milles marins (environ 13 km) à l'ouest-sud-ouest du port Moselle.
le récif Crouy, parfois appelé îlot Crouy, récif corallien émergé formant un petit lagon intérieur, à 6,5 milles marins (environ 12 km) au sud-ouest du port Moselle.
l'îlot Goéland, à 6,7 milles marins (environ 12,5 km) au sud-sud-ouest du port Moselle et à 5,7 milles (en contournant l'îlot Maître, soit environ 10,5 km) au sud-ouest de l'Anse Vata. L'îlot est un important lieu de nidification de la sterne de Dougall (dont 10 % de la population mondiale réside en Nouvelle-Calédonie), et est donc fermé au public entre novembre et février.
l'îlot Amédée, haut lieu touristique en raison de son phare, à un peu moins de 13 milles marins (environ 24 km) au sud-sud-est du port Moselle et à 10,5 milles au sud de l'Anse Vata. Il se situe à l'entrée de la passe de Boulari, l'un des principaux points d'entrée des navires dans le lagon néo-calédonien et dont le phare gardait l'entrée, entre le Grand Récif Aboré au nord-ouest et le récif Kwé au sud.
Ces îlots forment tous des espaces protégés, ou réserves spéciales. En 1989 est créé le parc du lagon sud, comprenant les réserves marines spéciales existantes depuis 1981 des îlots Maître et Amédée (à quoi s'ajoute le récif Aboré et la passe de Boulari) augmentées des nouvelles réserves des îlots Signal, Larégnère et l'île aux Canards, ainsi que l'îlot Bailly situé dans le domaine maritime communal du Mont-Dore. Enfin, y ont été rajoutées les réserves de l'épave du Humbolt (bateau échoué récif de l'Annibal, près de la passe de Dumbéa) en 1996 et de la pointe Kuendu (extrémité ouest de Nouville) en 1998. Ces sites, qui forment la plus grande aire de protection marine de Nouvelle-Calédonie avec 177,36 km2, est interdit à la chasse, à la pêche hauturière, au filet, à la canne ou sous-marine, ainsi qu'à la cueillette, l'enlèvement, le déplacement ou la récolte de tout corail ou coquillage.

De plus, deux réserves spéciales de faune ont été définies dans le domaine maritime de Nouméa : celle de l'îlot Goéland créée en 1995 en raison de la nidification des sternes de Dougall, et celle du récif de Sèche-Croissant, situé entre les îlots Larégnère à l'ouest et Maître à l'est, à environ 5 milles marins (environ 9 km) au sud-ouest du port Moselle, créée en 1994 car lieu de nidification pour les sternes diamants.


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   Posté le 01-05-2009 à 13:07:33   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

3-
Le nom « Nouméa » est d'origine kanak remplaçant depuis le 14 mars 1866 l'ancien nom de la ville : Port-de-France. L'origine de ce nom reste cependant inconnue.



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   Posté le 01-05-2009 à 19:17:35   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

4-
La Nouvelle-Calédonie est un archipel d'Océanie situé dans l'océan Pacifique à 1 500 km à l'est de l'Australie et à 2 000 km au nord de la Nouvelle-Zélande, à quelques degrés au nord du Tropique du Capricorne.

Distante de la métropole de près de 20 000 kilomètres et d'une superficie de 18 575,5 km², cette collectivité territoriale de Mélanésie rattachée à la France et créée par l'accord de Nouméa, est dite sui generis (ou « de son propre genre » car possédant un statut particulier, différent des autres collectivités d'outre-mer (COM). Néanmoins, un référendum local portant sur son indépendance ou son maintien au sein de la République française est prévu entre 2014 et 2019.

Sa capitale, Nouméa, en est aussi la principale commune et la seule ville. Elle compte 91 386 habitants au dernier recensement de 2004. Le Grand Nouméa (avec les communes voisines de Païta, Dumbéa et Mont-Dore) compte 146 000 habitants.


Comme l'attestent des fragments de poterie Lapita retrouvés, les premiers habitants de la Nouvelle-Calédonie auraient posé le pied sur le territoire, il y a environ 3 000 ans. On appelle Lapita la période de 1 300 à 200 av. J.-C. Durant la période suivante, Naia Oundjo, les Canaques (terme qui viendrait de l'hawaiien kanaka signifiant « homme » maîtrisent l'art de la pierre polie, et fondent leur civilisation sur la culture de la terre (principalement ignames et taros). Lors de rituels guerriers, des tribus pratiquent aussi le cannibalisme.



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   Posté le 01-05-2009 à 19:23:24   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

5-
Les premières sources écrites concernant l'histoire de la Nouvelle-Calédonie remontent à sa découverte en 1774 par James Cook, mais l'archipel était habité par les kanak depuis bien longtemps.





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   Posté le 01-05-2009 à 19:29:46   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

6-

Après la Commune de Paris, la Nouvelle-Calédonie, sert de lieu de déportation pour de très nombreux anciens communards condamnés par les conseils de guerre mis en place par le gouvernement Thiers.



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   Posté le 01-05-2009 à 19:39:59   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

7-

Elle développe sur pratiquement toute sa longueur un axe montagneux appelé « Chaîne Centrale », dominée au nord par le mont Panié (1 628 m) et au sud par le mont Humboldt (1 618 m). Excentrée vers l'est, elle est bordée au nord et à l'ouest par un ensemble de collines, de petits plateaux, et de plaines basses protégés des vents dominants et de ce fait offrant un paysage sec de savanes à niaouli et de forêt sclérophylle. En revanche à l'est, la Chaîne Centrale se termine par des versants raides tombants directement dans la mer, ne laissant par endroit qu'une étroite bande littorale exposée aux alizés, aux fortes précipitations et à la végétation luxuriante et dense. Au sud de cette chaîne, se trouve le bassin de la plaine des Lacs, dont le principal (40 km2) est le lac artificiel de Yaté né de la construction d'un barrage hydroélectrique, caractérisée par des paysages de « maquis minier » sur un sol ferreux qui doit à sa couleur le nom de « terre rouge ». Tout le reste du territoire culmine à des altitudes inférieures à 1 500 m, si bien que les 3/4 de la Grande Terre ne dépassent pas les 500 m. Pourtant la Nouvelle-Calédonie possède un relief montagneux sur plus de 80 % de sa superficie.

L'essentiel de la population se concentre dans la partie sud de la côte ouest de l'île, et plus particulièrement dans le Grand Nouméa qui, avec plus de 146 000 habitants en 2004, regroupe les deux tiers de la population de la Nouvelle-Calédonie.

La Grande Terre est prolongée par les îles Belep et les récifs d'Entrecasteaux au nord-ouest et l'île des Pins au sud-est. L'ensemble est enfermé dans un lagon de 24 000 km², ce qui en fait l'un des plus grands lagons du monde (et que l'on présente également généralement comme « le plus beau lagon du monde »[1]), ceinturé par une barrière de corail d'une longueur de 1 600 km (la seconde sur la planète, derrière la Grande barrière de corail), située entre 10 et 50 km des côtes de la Grande Terre, et s'étendant, des récifs d'Entrecasteaux au nord-ouest à l'île des Pins au sud-est, sur 680 km de long. La température des eaux varie entre 22 et 30°, et leur profondeur dépasse rarement les 40 m (à l'exception du « Grand Passage », détroit de 500 à 600 mètres de fonds qui sépare les îles Belep des récifs d'Entrecasteaux). Durant la glaciation de Würm à la fin du Quaternaire, l'ensemble de cet archipel formait une île unique, la barrière de corail témoignant de l'emplacement de ses côtes. 15 000 km2 de lagon ont été classés le 7 juillet 2008 au Patrimoine mondial de l'UNESCO.


Mont Humboldt




Mont panié
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   Posté le 03-05-2009 à 16:07:45   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

8-

La Nouvelle-Calédonie est centrée autour d'une île principale, la Grande Terre. Elle comprend également plusieurs ensembles d'îles plus petites, les îles Belep au nord de la Grande Terre, l'île des Pins au sud, les îles Loyauté à l'est (Ouvéa, Lifou, Tiga et Maré et plus loin à l'ouest l'archipel des îles Chesterfield et les récifs de Bellone.

Sur une superficie d'environ 16 360,8 km², la Grande Terre est de loin la plus grande de toutes les îles néo-calédoniennes. Elle s'étire du nord-ouest au sud-est sur près de 400 km en longueur et 50 à 70 km en largeur. Elle est parcourue sur toute sa longueur par une chaîne montagneuse, dont le point culminant, le mont Panié, s'élève à 1 629 mètres (5 344 pieds) d'altitude.

Les îles Loyauté sont situées à une centaine de kilomètres à l'est. Lifou est la plus vaste de ces îles, avec 1 196,1 km², et est plus étendue que la Martinique. Viennent ensuite Maré (641,7 km²), Ouvéa (132,1 km² et Tiga (11 km²[8]).

À environ 45 km au large de la pointe nord-ouest de la Grande Terre, les îles Belep couvrent 69,5 km² répartis en trois îles : Art (la plus grande, avec 52 km², et la seule à être peuplée), Pott et les îlots rocheux Daos du Nord et Daos du Sud.

Limite sud du lagon néo-calédonien, l'île des Pins, située à environ 50 km de la pointe sud-est de la Grande Terre, couvre quant-à-elle 152,3 km².

À cela il faut ajouter plusieurs groupes d'îlots et de récifs affleurant non habités :

l'archipel des Chesterfield, à 550 km à l'ouest-nord-ouest de la pointe nord de la Grande-Terre, qui sert essentiellement pour la récolte de données météorologiques et de réserve naturelle pour les oiseaux marins et les tortues, et qui comprend :
les récifs Bampton au nord avec les îlots Avon, Bampton et Reynard et la caye sableuse de Skeleton.
l'atoll des îles Chesterfield à proprement parler avec les îles Longue, du Passage (ou Bennet) et Loop ainsi que les îlots du Mouillage.
les récifs de Bellone et Booby, situées à 60 km au sud-est des Chesterfield auxquelles elles sont généralement associées.
les récifs d'Entrecasteaux, à 180 km de la pointe nord-ouest de la Grande Terre, dans le prolongement des îles Belep desquelles ils sont séparés par le « Grand Passage », détroit de 500 à 600 mètres de fonds. Il comprend les atolls de Huon, de Surprise (les deux plus importants, avec les îles Fabre, Huon, Le Leizour et Surprise), de Pelotas et du Portail. Ils constituent la limite nord du lagon de la Nouvelle-Calédonie.
l'île de Walpole, à 140 km au sud-est de Maré et à 200 km à l'est-sud-est de la pointe sud de la Grande Terre.
les îles Matthew et Hunter, respectivement à 450 et 520 km à l'est de la pointe sud de la Grande Terre, dont la possession est contestée à la France par le Vanuatu. Météo France a installé une station météorologique automatique sur l'île Matthew en 1981.




Îles Belep


Île des Pins


îles Loyauté


Îles Chesterfield
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   Posté le 03-05-2009 à 16:10:50   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

9-
Le lagon néo-calédonien a une surface totale de 24 000 km², ce qui en fait l'un des plus grands lagons du monde (et que l'on présente également généralement comme « le plus beau lagon du monde »).

Il est ceinturé par une barrière de corail d'une longueur de 1 600 km, située entre 10 et 50 km des côtes de la Grande Terre, et s'étendant, des récifs d'Entrecasteaux au nord-ouest à l'île des Pins au sud-est, sur 680 km de long. La température des eaux varie entre 22 et 30°.

En dehors de la Grande Terre, plusieurs atolls possèdent leurs propres lagons, le plus important d'entre eux étant Ouvéa avec un lagon de 850 km².

Le 7 juillet 2008, une grande partie des lagons de Nouvelle-Calédonie, soit 6 sites formant une totalité de 15 000 km², ont été inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO. Il s'agit du 33e site inscrit au patrimoine mondial pour la France, et plus particulièrement de son second site naturel après le golfe de Porto (inscrit en 1983) et le premier d'outre-mer.




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   Posté le 03-05-2009 à 16:20:05   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

10-
La biodiversité de la Nouvelle-Calédonie, un large groupe d'îles du Pacifique, est considérée comme la plus importante de la planète. L'île possède un niveau élevé d'endémisme, avec notamment beaucoup de plantes, d'insectes , d'oiseaux et de reptiles uniques. L'île n'a pas de mammifère à part des chauve-souris, et aucun amphibien. La biodiversité néocalédonienne est menacée par des espèces introduites, l'exploitation forestière, les incendies et le développement urbain et les gisements miniers (nickel et d'autres métaux précieux). La Nouvelle-Calédonie a perdu de nombreuses espèces depuis que l'homme a posé le pied sur l'île, mais aucune ne s'est éteinte depuis le XVIe siècle.

La Nouvelle-Calédonie se situe sur le bord le plus austral de la zone inter-tropicale. L'île principale, la Grande Terre, héberge une variétés de milieux résultant de nombreux facteurs, incluant la géologie, les sols et l'altitude.

Les communautés végétales de Nouvelle-Calédonie sont de véritables fossiles vivants, offrant l'occasion d'examiner des espèces associées à l'époque des dinosaures. En dehors de son ancienneté, la flore de ce territoire insulaire est extrêmement diverse, et possède un degré d'endémisme, par kilomètre carré, connu quasiment nulle part ailleurs sur la planète.

La diversité faunistique de la Nouvelle-Calédonie est semblable à de nombreuse île, et particulièrement la Nouvelle-Zélande. À l'instar des îles Galapagos, la proportion d'espèces reptilienne dominent par rapport aux autres espèce de vertébré sur l'île avec 85 espèces de lézards dont 83,5% sont endémiques à la Nouvelle-Calédonie.

Les menaces qui pèsent sur l'écosystème sont :

les espèces introduites et éventuellement invasives, comme Wasmannia auropunctata.
la fragmentation par les routes. Elle reste relativement limitée sur une grande partie de l'archipel, mais augmente rapidement, sur les littoraux notamment,
les impacts immédiats et différés de Barrages et de certaines activités extractives, industrielles, d'agriculture (divagation des animaux,
les impacts des brûlis, des incendies et de la pêche, voire d'une chasse anarchique ou d'un braconnage peu soucieux du respect du renouvellement des populations animales facilités par la création de nombreuses pistes et l'apparition des quads et du GPS.

Localement certains aménagements touristiques, et l'exploitation forestière posent problème.

Le Plan forestier national(PFN) annonce vouloir avec l'UICN et le WWF protéger ce qui reste des forêts sèches menacées par des incendies répétés. Dans les années 2000, ils ont aussi travaillé à limiter certaines espèces invasives (ex : la liane de Gatope dans les forêts sèches de la pointe Maa, jugées « prioritaires en termes de conservation ». Cette liane a été introduite à partir de Madagascar, comme plante ornementale, avant de devenir invasive, notamment en région de Ouaco).

Depuis 2006, le Conservatoire Botanique de Nouvelle Calédonie étudie et conserve les espèces rares et menacées de Nouvelle-Calédonie.





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   Posté le 03-05-2009 à 16:30:20   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

11-

La Nouvelle-Calédonie est peuplée de différents groupes ethniques dont la répartition, en 1998, était:

les Kanak (Mélanésiens) qui représentent 44,1 % de la population néo-calédonienne.
les descendants d'Européens historiques souvent métissés, représentent 34,1 % de la population : les Caldoches, principalement d'origine française, descendants d'anciens bagnards ou de colons libres dont beaucoup d'Alsaciens-Lorrains ayant fui l'Alsace ou la Lorraine après leur incorporation à l'Empire allemand en 1870, mais aussi les quelques descendants de la dernière grande vague de « peuplement libre » de la colonie dans les années 1920, phase généralement appelée la « colonisation des nordistes » car les familles venaient alors essentiellement du Nord de la France. Mais on retrouve également de nombreux patronymes d'origine britannique (Martin se prononçant « Martine » dont l'homme politique local Harold Martin, Johnston, ...) ou irlandaise (Daly qui se prononce « Délé », O'Donnoghue, Nagle ...), familles descendant de certains aventuriers pour la plupart déçus de la « ruée vers l'or » qu'a connue l'Australie au milieu du XIXe siècle et qui ont alors tenté leur chance dans cette l'île voisine de Nouvelle-Calédonie comme négociants ou éleveurs, et sous l'impulsion de James Paddon (un aventurier et commerçant britannique installé dans l'île Nou, actuelle Nouville dans la rade de Nouméa avant même que la ville soit créée et la Nouvelle-Calédonie soit française). Il faut noter aussi la présence de descendants d'Italiens (Pantaloni, Paladini, Gervolino ...), d'Allemands (Tuband, Metzger, Münkel, ...), de Belges (Metzdorf, ...), entre autres.
les Polynésiens du sud (dont les Wallisiens et Futuniens), représentent 9 % de la population alors que les Vanuatus représentent 1,4 %. Ils sont pour la plupart venus à partir des années 1960 et 1970 afin de faire face à une forte poussée démographique dans leurs îles natales et pour trouver du travail dans une Nouvelle-Calédonie en plein essor grâce au boom du nickel.
Les Tahitiens représentent 2,6 % de la population néo-calédonienne.
les Européens issus d'une immigration plus récente datant de la deuxième moitié du XXe siècle, et principalement d'origine française.
divers groupes asiatiques historiques, notamment Indonésiens représentant 2,5 % et Vietnamiens représentant 1,4 % de la population, descendent d'une ancienne main-d'œuvre venue pour travailler essentiellement dans les caféries (surtout pour les Indonésiens). Il y a aussi quelques familles de souches d'origine japonaise (Tsuitsui, Nakamura ...). À cela il faut ajouter une faible part, mais non négligeable, de Chinois (0,4% de la population).
Il existe également en Nouvelle-Calédonie des descendants des déportés musulmans kabyles de la révolte des Mokrani (Algérie), parfois dénommés les Kabyles du Pacifique et d'engagés indiens d'origine réunionnaise venus sous l'impulsion de Gabriel Le Coat de Kerveguen, grand propriétaire cannier réunionnais désireux de faire cultiver la canne à sucre en Nouvelle-Calédonie (région de la Naïna) et qui a fait ainsi venir plusieurs familles de l'île de la Réunion et leur main-d'œuvre essentiellement composée de « Malabars ».
La démographie est une donnée politique importante en Nouvelle-Calédonie. Depuis les accords de Nouméa, en effet la composition ethnique du collège électoral est un enjeu dans l'optique du référendum. Les indépendantistes soupçonnent l'État d'encourager l'immigration de métropole par des avantages fiscaux et d'Asie de façon à mettre en minorité les peuples autochtones davantage favorables, selon eux, à l'autonomie ou l'indépendance.

D'autre part, l'attractivité économique de la Nouvelle-Calédonie favorise une immigration importante de populations polynésiennes (notamment de Wallis-et-Futuna, que l'État français tente de freiner par un important programme de développement spécifique à Wallis-et-Futuna, et de la Polynésie française). Aujourd'hui les Wallisiens par exemple y sont plus nombreux qu'à Wallis-et-Futuna, et des conflits ethniques se produisent avec les Mélanésiens.

Ce cosmopolitisme est également à l'origine de la présence de langues, dialectes et façons spécifiques de s'exprimer propres à l'archipel.


Les Kanak

Les Wallisiens

Les Futuniens

Les Tahitiens
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   Posté le 04-05-2009 à 08:16:34   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

12-
L'économie de la Nouvelle-Calédonie est l'une des plus fortes et des plus dynamiques de l'outre-mer français, avec un PIB estimé à un peu moins de 6,5 milliards d'euros en 2007, soit un PIB par habitant particulièrement élevé (estimé à 26 500 € en 2007), supérieur à ceux de pratiquement tous les États et territoires du Pacifique insulaire (dont la Nouvelle-Zélande) et comparable à ceux de la plupart des régions métropolitaines.

Ce dynamisme économique est lié aux ressources du sous-sol: la Nouvelle-Calédonie détient près de 25 % des réserves mondiales connues de nickel. Celui-ci est extrait de la garniérite, minerai devant son nom à Jules Garnier qui l'a découvert en 1864 sur l'île. La présence de ce minerai est due à des roches appelées ophiolites, constituées de péridotite altérée en serpentine, qui finit par donner de la garniérite[48].

Si l'économie locale a souffert de la baisse des cours de ce métal dans les années 1990, elle connaît, depuis le début des années 2000, un élan économique particulièrement important, dû au redressement de ces cours (du fait de la hausse de la demande en fer, le nickel étant un composant qui entre dans la fabrication d'aciers inoxydables) mais aussi à l'important apport d'investissements liés aux deux grands projets de construction d'usine : Goro Nickel dans le sud par Inco et Koniambo dans le nord par une coopération entre le groupe local des Sociétés des Mines du Sud Pacifique et le géant canadien Falconbridge. Le nickel représente le principal produit d'exportation (les produits miniers représentaient près de 94 % des exportations en 2006), sans pour autant être la ressource dominante au sein du PIB néo-calédonien (18 % en 2007). Cependant, Le groupe canadien Falconbridge obtient une concession pour de nombreuses années.

L'agriculture est relativement peu développée du fait du manque de terre cultivable et d'un mode de production resté largement vivrier, notamment dans le cadre de la culture traditionnelle par les Kanak des tarots et ignames. Le territoire doit donc importer des denrées alimentaires, faute d'autosuffisance (12 % des importations en 2006). L'élevage (surtout de bovins) par contre est particulièrement bien implanté, notamment dans les grandes plaines herbeuses et les savanes de la côte ouest de la Grande Terre, et permet à la Nouvelle-Calédonie d'être pratiquement autosuffisante dans son approvisionnement en viande. Par contre, l'archipel ne réalise pratiquement pas de produits laitiers, étant obligé de se fournir chez les deux gros producteurs voisins : l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Enfin, l'aquaculture de la crevette est un secteur en développement et essentiellement destiné à l'exportation vers les marchés porteurs d'Europe ou du Japon.

Les autres sources de revenu du territoire sont :

le tourisme, en provenance de France métropolitaine, du Japon, de l'Australie et de Nouvelle-Zélande. Ce secteur reste encore largement embryonnaire (avec moins de 225 000 touristes accueillis en 2007, dont 120 000 croisiéristes) et ne représente que 4 % du PIB du territoire.
surtout les transferts financiers depuis la métropole qui restent une donnée fondamentale, comme dans les autres territoires ultramarins, de l'économie calédonienne, représentant 16% du PIB du territoire en 2007.


Mine

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   Posté le 04-05-2009 à 08:23:55   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

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Quatre musées :
le Musée de la Nouvelle-Calédonie, créé en 1971 à partir des collections jusqu'alors exposées à la bibliothèque Bernheim et de divers apports, il est consacré à l'archéologie et à l'ethnologie des populations océaniennes, essentiellement de la population kanak (sculptures anciennes, totems, masques funéraires, poteries, parures, bijoux, monnaies kanaks, sagaies, flèches faitières, reproduction de pirogues et d'une grande case installée dans sa cour intérieure) mais aussi avec des œuvres provenant d'autres sociétés insulaires du Pacifique, notamment de Papouasie-Nouvelle-Guinée, Wallis-et-Futuna, Vanuatu ou Fiji[52].
le musée de la Ville de Nouméa, fondé en 1996 et installé dans un bâtiment de style colonial récemment rénové, en bordure de la place des Cocotiers. Celui-ci avait, par le passé, servi tout d'abord de local à la Banque Marchand, première banque locale, de 1874 à 1880, puis, après la faillite retentissante de cet établissement financier, d'hôtel de ville de 1880 à 1975[50]. Il accueille plusieurs objets retraçant l'histoire du chef-lieu de la Nouvelle-Calédonie de sa création en 1854 à nos jours, issus de plusieurs collections privées (dont celle de la Société Le Nickel), mais aussi deux expositions permanentes : une au sous-sol sur la Nouvelle-Calédonie dans la Grande Guerre et la seconde à l'étage sur la Seconde Guerre mondiale.
le Musée d'histoire maritime, inauguré le 4 octobre 1999 dans les locaux de l'ancienne gare maritime sur les quais du port, à l'entrée de Nouville, et créé à l'initiative de deux associations de passionnés d'archéologie sous-marine : « Fortune de mer » (au champ d'action limité aux eaux territoriales néo-calédoniennes) et « Salomon » (qui s'intéresse au mystère de la disparition du navigateur Jean-François de La Pérouse près de l'île de Vanikoro aux îles Salomon en 1788). Le musée expose ainsi de manière permanente, sur 600 m², les découvertes des différentes campagnes de fouilles réalisées par ces deux associations, selon 6 thèmes : les premiers navigateurs (sur les techniques de navigation des premiers peuples océaniens), l'ère des grands découvreurs, aventuriers et commerçants (sur les santaliers et baleiniers du début du XIXe siècle), de Port-de-France à Nouméa, sur la route du nickel et au temps des Américains. À cela s'ajoute des expositions temporaires, installées à l'étage du bâtiment[53],
le musée du Bagne, installé dans l'ancienne boulangerie en pierre du bagne sur la presqu'île de Nouville, qui passe pour être le plus ancien bâtiment construit par l'administration pénitentiaire sur ce site, a été créé par l'association « Témoignages d'un passé ». Il n'est pas ouvert en permanence, mais se visite à la demande et est le point de départ d'un tour guidé des différentes infrastructures du bagne de Nouville : la chapelle, les anciens ateliers qui abritent aujourd'hui le département de droit, économie et gestion de l'Université de la Nouvelle-Calédonie, l'ancien magasin aux vivres devenu le Théâtre de l'Île, l'ancien hôpital du marais et actuel CHS Albert-Bousquet, la ferme nord et la laiterie.




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La Nouvelle-Calédonie a produit plusieurs écrivains dont le plus célèbre localement reste Jean Mariotti. Ses principales œuvres sont surtout :

Les Contes de Poindi, recueil de contes inspirés de légendes kanak, publié en 1939 puis revu et corrigé en 1941 et traduit en anglais, en allemand et en slovaque notamment.
Takata d'Aïmos, éd. Flammarion, Paris, 1930, 249 p. (réédité à Nouméa en 1995 puis de nouveau en 1999), roman fantastique lui aussi inspiré d'une légende traditionnelle kanak.
Remords, éd. Flammarion, Paris, 1931, 283 p. (réédité à Nouméa en 1997), roman psychologique sur les bagnards.
A bord de l'incertaine, éd. Stock, Delamain et Boutelleau, Paris, 283 p. (réédité à Papeete en 1981 puis à Nouméa en 1996 et en 2000), récit de fiction se situant dans un pays imaginaire mais inspiré de son enfance dans le petit village calédonien de Farino.
Le Dernier voyage du Thétis, éd. Stock, Paris, 1947, 251 p., recueil comprenant 7 nouvelles : « Le Dernier Voyage du Thétis », « Paysage », « Le Porto du Drafn », « Toi y'en a monnaie ? », « Simple histoire », « L'épopée accidentelle », « Nuit calédonienne ».
Également plusieurs ouvrages sur l'histoire, la géographie ou l'économie de la Nouvelle-Calédonie.
La Nouvelle-Calédonie a également vu naître ou a accueilli plusieurs auteurs renommés, en inspirant fortement tout ou partie de leur œuvre. C'est le cas notamment de Francis Carco, qui a passé ses dix premières années sur le Territoire, ou encore A.D.G., auteur de roman noir resté célèbre pour ses idées d'extrême droite véhiculées dans ses livres et pour avoir été témoin de la période de la montée de l'indépendantisme puis des Évènements des années 1980.

Pour ce qui est de la littérature kanak, les auteurs les plus représentatifs restent Déwé Gorodey, actuellement membre du Gouvernement local en charge de la Culture, ou encore l'écrivain, poète et dramaturge Pierre Gope. Une de ses pièces, Les Champs de la Terre, fable poétique inspiré du folklore calédonien et surtout kanak, a ainsi été représentée au Festival d'Avignon en 2006 et a fait ensuite l'objet d'une tournée en Europe.

De plus, l'un des auteurs calédoniens les plus prolifiques aujourd'hui est Nicolas Kurtovitch, président fondateur depuis 1996 de l'Association des écrivains de Nouvelle-Calédonie, et dont le recueil de poésie Le Piéton du dharma a reçu le prix du salon du livre insulaire d'Ouessant, catégorie poésie. On lui doit surtout des recueils de poésie, mais aussi un roman : Good night friends, éd. Au Vent des Îles, Papeete, 2006, 124 p., ainsi que plusieurs pièces de théâtres dont une en collaboration avec Pierre Gope : Les Dieux sont borgnes, éd. Grains de sable, Nouméa, 2002. Frédéric Ohlen est un autre poète réputé, auteur de quatre recueils qui allient profondeur du message et acuité de la forme[76]. Le plus récent, La Lumière du Monde, a reçu le prix du gouvernement au Salon international du livre océanien.

En 1996 a été créé le Prix Livre Mon Ami décerné par des enfants âgés de 9 à 13 ans vivant en Nouvelle-Calédonie à un ouvrage de littérature d'enfance et de jeunesse de parution récente et de langue française. L'auteur qui remporte le prix est ensuite invité à se rendre en Nouvelle-Calédonie pour rencontrer ses jeunes lecteurs.

La Brousse en folie de Bernard Berger permet de découvrir les singularités de la société néo-calédonienne à travers une expression humoristique accessible à tous. Cette série de bande dessinée, née en 1984, est chaque année parmi les plus gros succès d'édition de l'île.

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   Posté le 05-05-2009 à 11:56:45   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   

15-


Moi avec mon guide On a toujours besoin d'un bon guide


natatatanka
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   Posté le 05-05-2009 à 12:03:14   Voir le profil de natatatanka (Offline)   http://tatanka-et-les-sioux.spaces.live.com/   Envoyer un message privé à natatatanka   



FIN DE LA RANDO NOUVELLE-CALEDONIE
Wolf-Samantha
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Wolf-Samantha
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   Posté le 05-05-2009 à 19:22:42   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

Natatatanka très belle rando réussie félicitation, un grand très bonne documentation de très belles photos avec beaucoup de recherches de très beaux montages toujours un plaisir de lire tes randos je vois qu'elle t'a beaucoup plut j'espère que tu as été très satisfait de ton guide je suis fière de toi

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