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 DANY

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Wolf-Samantha
La Grande Louve Grise
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Wolf-Samantha
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   Posté le 29-05-2008 à 21:49:03   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   



REPONSES DE DANY


dany
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dany
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   Posté le 04-06-2008 à 08:21:44   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

1ère question : Vous êtes arrivé à St Malo, décrivez brièvement cette station balnéaire, prenez quelques photos


Carte de Saint-Malo probablement du XVIIIe siècle.


Saint-Malo (Saent-Malo en gallo et Sant-Maloù en breton) est une commune de France métropolitaine, située en Bretagne, dans le département d'Ille-et-Vilaine .

Station balnéaire connue pour sa ville close et son rapport à la mer, la ville attire de nombreux touristes, en particulier l'été où elle voit sa population multipliée. Fruit d'une riche histoire maritime, elle demeure un port important (plaisance, pêche, commerce et voyageurs) et un centre économique.


Le port de Saint-Malo vu du ciel



Remparts de Saint Malo
dany
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dany
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   Posté le 04-06-2008 à 08:42:52   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

2ème question : D’où vient le nom de Saint Malo, quel est le personnage Gallois qui lui donna son nom et à quelle date ?



Saint-Malo doit son nom au moine gallois Mac Low qui, vers le VIe siècle, devint évêque d'Alet, berceau antique de la ville actuelle fondée au mileu du XIIe siècle sur un îlot rocheux voisin.

Dès le XIIIe siècle, les Malouins firent des prises sur les navires ennemis. En 1308, ils eurent une commune jurée, puis de 1395 à 1415, ils se donnent au Roi de France, Charles VI, qui leur accorde des franchises portuaires.

Vers le 6ème siècle après JC, un moine Gallois du nom de Mac Low, disciple de Aaron, s'installe à Alet, berceau antique de la Cité Corsaire et en devient l'évêque. C'est à lui que la ville doit son nom. Elle deviendra plus tard l'un des neuf évêchés de Bretagne.
dany
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   Posté le 04-06-2008 à 09:18:12   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

3ème question : Citez les noms des trois plus grands navigateurs ou corsaires de la ville de St Malo, décrivez leurs aventures, prenez leur trois photo.



DUGUAY TROUIN (1673-1736) & SURCOUF (1773-1826)
Deux illustres corsaires malouins qui infligèrent aux Hollandais,
aux Espagnols et aux Anglais de lourdes pertes.

Au 17s et 18s ces marins recevaient du roi des lettres de course ou de "marque"
leur permettant d'attaquer ces navires sans craindre d'être pendu à la grand'vergue.



JACQUES CARTIER (1491-1557)

A la demande du roi François 1er, il partit en 1534 à la recherche du passage du Nord-Ouest vers la Chine, mais en fait il découvrit le St Laurent et une nouvelle terre qu'il nomma Canada (mot qu'il emprunta aux indiens hurons signifiant campement).






Jacques Cartier


Jacques Cartier (né vers la fin de l'année 1491 à Saint-Malo en Bretagne, mort au même endroit le 1er septembre 1557), est navigateur et explorateur français. Auteur de cartes ayant permis l'apparition du golfe et du fleuve Saint-Laurent sur les représentations du globe, Cartier par ses Relations décrit pour la première fois ces eaux et le territoire visité qu'il nomme Canada.

Ce marin français découvrit le Canada en 1534 et en pris possession au nom du roi de France (François I er ).

Il part de saint Malo le 20 avril 1534 pour chercher un passage vers l'Asie par le nord du Nouveau Monde.

Le début de sa vie est mal connu. Fils de Jamet Cartier et de Jesseline Jansart, de la paroisse Saint-Vincent de Saint-Malo, il y épouse le 2 mai 1519 Catherine, fille de Jacques des Granches, connétable : un mariage qui améliore grandement sa condition sociale.

Plusieurs historiens avancent qu'il aurait pu accompagner une campagne de pêche pour se rendre à Terre-Neuve avant 1532, car la région était fréquentée des pêcheurs basques et bretons. Certains suggèrent aussi qu'il aurait pu participer à l'un des voyages d'exploration de la côte brésilienne par la flotte normande sous pavillon dieppois, vu :

d'une part, les fréquentes comparaisons que Cartier fit, dans ses récits de voyage, entre les Amérindiens de la Nouvelle-France et les Brésiliens, ainsi que sa connaissance du portugais car lors de sa retraite il agira à plusieurs occasions comme interprète en langue portugaise ;
d'autre part, l'histoire de la ville de Dieppe, qui relate la navigation non seulement du capitaine Jean Cousin, mais de deux autres capitaines, Thomas Aubert et Jean Vérassen qui embarquèrent de Dieppe en 1508 et reconnurent le fleuve Saint-Laurent auquel ils donnèrent son nom.
En 1532, alors qu'une guerre éclate entre la couronne du Portugal et les armateurs normands au large du Brésil, il est présenté à François Ier par Jean Le Veneur, abbé du Mont-Saint-Michel. Celui-ci évoque des voyages que Cartier aurait déjà faits « en Brésil et en Terre-Neuve » pour affirmer qu'il était à même « de conduire des navires à la découverte de terres nouvelles dans le nouveau monde ». Recevant une commission du roi de France, et devenant en ce sens le successeur de Giovanni da Verrazano, Cartier dirigera aux frais du roi trois voyages vers l'Amérique du Nord entre 1534 et 1542, espérant y trouver un passage pour l'Asie, sinon des richesses



DUGUAY TROUIN


D'une famille honorablement connue dans la marine marchande, il était destiné à l'état ecclésiastique, et fit ses études à Rennes et à Caen. Mais son goût pour les plaisirs contrariant les vues de ses parents, on lui permit de s'embarquer en 1689 sur un navire armé en course contre les Anglais et les Hollandais. En 1691, bien qu'il n'eût que 18 ans il reçut de sa famille, en récompense de ses exploits, le commandement d'une frégate de 14 canons. Jeté par une tempête sur la côte d'Irlande, près de Limerick, il s'empara d'un château appartenant au comte de Clarc, et incendia deux navires pris dans la vase. En croisant dans la Manche, il fit de nombreuses prises.

En 1694, il tomba, près des Sorlingues, au milieu de 6 vaisseaux anglais, soutint pendant quatre heures un combat inégal, et ne se rendit qu'après avoir tout épuisé et reçu une blessure. Emmené captif à Plymouth, il dut la liberté à l'amour d'une jeune Anglaise. Ses nouveaux exploits après son retour en France attirèrent l'attention de Louis XIV, qui le fit entrer dans la marine royale. Tantôt sous les ordres de Nesmond, tantôt seul, il continua de capturer les navires ennemis.

En 1696, il vainquit et fit prisonnier l'amiral hollandais Wassenaer. Pendant la guerre de la succession d'Espagne, il désola les côtes d'Espagne, de Hollande et d'Angleterre.

En 1704 il prit sur les côtes d'Angleterre un vaisseau de guerre de cinquante-quatre canons ainsi que douze vaisseaux marchands. Capitaine de vaisseau en 1706, il attaqua une flotte brésilienne avec 3 vaisseaux, à la hauteur de Lisbonne, flotte du Brésil, qui était chargée de vivres et de munitions pour l'Archiduc et qu'escortaient dix vaisseaux de guerre : le combat dura deux jours.

Duguay-Trouin ne montra plus d'intrépidité, mais des circonstances malheureuses firent échouer ses projets. En 1707, il répara cet échec en s'emparant d'un convoi de 200 voiles, escorté par 6 gros vaisseaux de guerre, succès qui acheva de ruiner en Espagne les affaires de l'archiduc. En 1709, on raconte qu'il a capturé 300 navires marchands et 20 vaisseaux de guerre ou corsaires. Pour le récompenser de ses services, Louis XIV décide de l'anoblir.

De toutes les expéditions de Duguay-Trouin, la plus célèbre est la prise de Rio de Janeiro en 1711. Les fortifications de cette place paraissaient inexpugnables. En onze jours elles furent toutes enlevées. Il forcera la ville à payer de lourdes rançons et à libérer 1000 prisonniers français.

En 1715, il fut nommé chef d'escadre, membre du conseil des Indes en 1723, et en 1728 lieutenant général. En 1731, il reçut de Louis XV le commandement d'une escadre destinée à soutenir les intérêts du commerce, menacés par les Barbaresques et réprima les corsaires de Tunis. Ce fut là son dernier fait d'armes. Ses infirmités l'obligèrent bientôt à se retirer.


ROBERT SURCOUF


Nommé capitaine à l'âge de vingt ans, il commanda successivement les corsaires la Clarisse, la Confiance et le Revenant.

Surcouf naviguait encore dans la marine marchande, lorsqu'il se fit aimer d'une jeune personne dont il voulut obtenir la main.

Surcouf alla tenter la fortune en Inde en 1796. Un mauvais petit bâtiment le porta jusqu'à l'Île de France. La course enrichissait dans ces parages ceux qui s'y livraient avec résolution. Surcouf le fit.

Quelques jeunes gens de l'île de France armèrent un petit corsaire pour Surcouf, qui fit voile pour les côtes de l'Inde, avec un équipage de Lascars (marins indiens). À l'embouchure du Bengale, où il se dirigea d'abord, il rencontra un petit convoi escorté par un bateau-pilote, armé en guerre ; il aborda le bateau-pilote et le prit ; il s'empara ensuite des bâtiments marchands anglais, se débarrassa de ses prises, de son propre navire, et passa sur le schooner avec dix-neuf hommes seulement.

Mais Robert Surcouf, le plus célèbre des armateurs malouins, entre dans la légende à vingt-trois ans, en 1796 quand, avec un équipage de 190 hommes, il prend à l'abordage un grand vaisseau britannique, trois fois plus important et plus armé que le sien.


La Confiance (18 canons et 190 hommes) prend le Kent (40 canons et 437 hommes). Par Ambroise-Louis Garneray, alors sous les ordres de Surcouf.Ce premier succès enhardit Surcouf, qui va tenir la mer, courant après tous les bâtiments qu'il apercevra, en corsaire non autorisé, car il est parti de l'île de France sans ces lettres-patentes, qu'on appelle lettres de marque, qui donnaient au vol sur mer une légalité officielle.

Peu après, avec son bateau, n'ayant que deux canons, Robert Surcouf met le cap sur un gros trois-mâts : c'était un vaisseau de la compagnie des Indes, monté par 150 Européens et armé de 26 canons de 12 ; il se nommait le Triton. Il dut son succès à ce stratagème. En effet, comment prêter le flanc à un si fort ennemi ? Car le bateau-pilote avait deux canons seulement. Surcouf fait cacher tout son équipage ; l'idée lui était venue de se faire passer un instant pour un des pilotes du Gange. « Je cours sur ce gros Anglais, dit-il à ses gens, je l'accoste : à un signal que je vous ferai, vous reparaîtrez sur le pont ; nous ferons une décharge de mousqueterie pour effrayer l'équipage, nous sauterons à bord et nous prendrons le bâtiment. » Les choses se passèrent comme il l'avait dit. Le combat qui s'engage sur le pont du Triton est terrible ; le capitaine anglais et dix de ses hommes sont tués, cinquante autres sont blessés, et Surcouf reste maître du vaisseau, n'ayant eu que deux blessés et un mort parmi les siens. Il fait signer un cartel d'échange à ses prisonniers, les envoie à Madras sur son petit schooner qu'il dépouille de toutes ses armes et mène son importante capture à l'île de France.

Il remet à la mer le plus tôt qu'il peut, pour profiter de la chance qui paraît lui sourire, et cette fois c'est avec un corsaire un peu plus grand.

Chassé par trois vaisseaux de la Compagnie , il parvient au moyen d'une manœuvre habile à les isoler ; puis, les attaquant séparément, il en enlève deux, et contraint le troisième à prendre la fuite.

En 1799 la frégate la Preneuse, commandée par l'intrépide Lhermite, venait de se perdre à l'île de France. L'équipage attendait une occasion de retour ou d'embarquement. Le bruit se répand que la Confiance va faire la course.

Deux mois s'étaient passés ; six bâtiments avaient été pris et dirigés sur la colonie

La fortune de Surcouf commençait à grandir. Après plusieurs courses aventureuses, Robert Surcouf fut sur le point d'être dépouillé du fruit de ses dangers parce qu'il avait écumé la mer sans lettres de marque. Il avait armé en course sans autorisation à sa première croisière ; aussi quand il avait attéri avec le Triton, on avait confisqué sa prise.

Cependant les autorités de l'ile de France consultèrent le Directoire qui, voulant récompenser la bravoure du jeune corsaire, proposa au Corps législatif de lui décerner, à titre de don national, la valeur de ses prises qu'on avait vendues au profit de la colonie ; il reçut 700.000 francs.
dany
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   Posté le 04-06-2008 à 15:20:17   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

4ème question : Décrivez le port de St Malo ainsi que le Terminal du Naye pour les ferries, prenez la photo du terminal de Naye.



Port de Saint-Malo



Le port de Saint-Malo est un port de commerce actif, il est classé d'intérêt national, au 2e rang breton pour les marchandises, au 1er rang pour les passagers. Au niveau national (hors Outremer), il se situait en 2004 au 15e rang, à égalité à l'époque avec Brest, derrière Lorient 13e.

Il est la propriété de la Région Bretagne depuis le 1er janvier 2007. Il est géré par la Chambre de commerce et d'industrie du Pays de Saint-Malo.



C'est aussi la 9e criée régionale et en même temps un port de plaisance.

Il bénéficie par ailleurs d'équipements de réparation navale avec deux formes de radoub.

Depuis toujours, un différend opposait les communes de Saint-Malo et Saint-Servan. Pour cette raison, trop longtemps Saint-Malo resta un port d'échouage. Les querelles apaisées, l'ouverture en 1932 des deux écluses de la Naye permit la mise en eau profonde des bassins. Malheureusement, le 7 août, 1944 lors des violents combats des derniers jours de l'occupation, les hommes du colonel Von Aulock dynamitèrent les écluses. Une seule sera reconstruite, l'emplacement de l'autre servira de forme de radoub.

Outre l'activité « ferries », traitée dans l'avant-port, il reçoit 2 à 3 cargos par jour. Ses installations comprennent 4 bassins dont les capacités d'accueil permettent de réceptionner des navires jusqu'à 15 000 tonnes, de dimensions maximales suivantes :
Longueur 150 m ; largeur 21 m ; tirant d'eau 9 m.

dany
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   Posté le 04-06-2008 à 15:40:02   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

5ème question : Citez les cinq peuples Celtes qui peuplaient la Bretagne. Ils avaient de fortes relations commerciales avec qui ?

Pendant la protohistoire celtique, le territoire est occupé par cinq peuples principaux :



les Coriosolites dont le territoire se situait dans l'est de l'actuel département des Côtes-d'Armor (avec pour port principal Alet), dans l'ouest de l'Ille-et-Vilaine et le nord-est du Morbihan et qui ont donné leur nom à la ville de Corseul ;

les Namnètes résidaient dans l'actuel département de Loire-Atlantique, en rive droite de la Loire (la rive gauche étant occupée par les Pictons). Ils ont donné leur nom à la ville de Nantes (Naoned en breton) ;

les Osismes étaient localisés dans l'actuel département du Finistère et la partie ouest des Côtes-d'Armor et du Morbihan ;

les Redones résidaient dans l'est de l’actuel département de l’Ille-et-Vilaine. Ils ont donné leur nom à la ville de Rennes ;

les Vénètes se situaient dans l’actuel Morbihan, apparentés au peuple homonyme de Vénétie, ils ont donné leur nom à la ville de Vannes (Gwened en breton).

Ces peuples avaient de fortes relations économiques avec les Celtes de l'île de Bretagne, notamment pour le commerce de l'étain .

Ils appartenaient à une « confédération armoricaine » de peuples gaulois qui, selon Jules César, comprenait « les Coriosolites, les Redones, les Ambibarii, les Calètes, les Osismes, les Lémovices et les Unelles »
dany
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   Posté le 04-06-2008 à 15:52:42   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

6ème question : Quel est la longueur de ses côtes sans compter les iles ? Décrivez le climat de Bretagne.



La Bretagne est une péninsule qui se trouve à l'extrême ouest du continent européen et qui aujourd'hui fait partie de la France. Sa position et sa dimension jouent un rôle important dans son climat, son territoire et son organisation territoriale. En tant que région française, elle détient le record en France de la plus grande façade maritime, avec 2 800 km de littoral très découpé. Les quatre départements de la Bretagne administrée (Finistère, Côtes-d'Armor, Morbihan et Ille-et-Vilaine) et les cinq départements de la Bretagne (Loire Atlantique) ont un accès soit à l'océan Atlantique soit à la Manche. La Bretagne occupe l'ouest du Massif armoricain, massif hercynien très raboté par l'érosion dont émergent deux lignes de crêtes à l'altitude plus élevée, de direction est-ouest : les monts d'Arrée et les montagnes Noires.



Le climat dominant de la Bretagne est le climat océanique caractérisé par des étés doux et des hivers pluvieux et doux. Les écarts de températures sont faibles et les jours de gel en hiver sont rares. Les précipitations sont assez fréquentes et sont réparties toute l'année, ce qui donne une fausse réputation de « mauvais temps » en Bretagne.

Il est loin d'être uniforme : « Les frileux, même quand ils ne sont pas des intégristes du culte solaire, éviteront Brest. Et Saint-Brieuc aux vents particulièrement primesautiers. Ils se réfugieront à Vannes, à qui le golfe du Morbihan vaut une lumière quasi-insulaire. Mais les amateurs de grand large et de nuées bousculées par le vent choisiront Saint-Malo pour les plus beaux couchers de soleil de Bretagne Quant à Nantes, elle participe déjà de la douceur angevine

Le sud est plus ensoleillé que le nord. La moyenne annuelle des températures donne un léger avantage à Vannes sur Saint-Brieuc (2 degrés environ). Inversement, la température de l'eau est en moyenne plus élevée en Manche (19 à 20 °C en moyenne l'été que sur l'Atlantique (17 à 19 °C) par l'effet conjugué du Gulf Stream et de la faible profondeur de la mer.

De nombreux sites sont censés être régis par un micro-climat ; cela se conçoit pour Ouessant vue sa position excentrée et dans l'autre sens pour l'île de Bréhat, nordique mais au climat agréable, le golfe du Morbihan à plus grande échelle, mais c'est moins indubitable pour des stations-balnéaires telle que le Val-André...
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   Posté le 04-06-2008 à 16:11:06   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

7ème question : Citez les quatre espèces de Falconidae qui peuplent la Bretagne. Prenez une ou deux photos.


Faucon émerillon (Falco columbarius) - Migrateur et hivernant



Faucon pèlerin (Falco peregrinus) - Migrateur



Faucon hobereau (Falco subbuteo) - Nicheur



Faucon crécerelle (Falco tinnunculus) - br. logotaer, fr. crécerelle, ga. craqenelle - Nicheur
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   Posté le 04-06-2008 à 16:20:38   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

8ème question : a) Décrivez l’économie Bretonne et dans quel domaine est-elle leader ?
b) La Bretagne représente la première région de pêche de France, donnez le pourcentage national.


Depuis les temps les plus reculés, la petite Bretagne eut des liens commerciaux avec la Grande Bretagne. D'une façon générale la Bretagne occupait une position géographique centrale entre l'Espagne, l' Angleterre et la Hollande. Les Bretons transportaient le vin de Bordeaux, le sel de Guérande et de Bourgneuf. La Bretagne exportait du beurre, du suif, des viandes salées, des porcs vivants, du poisson sec ou salé dans des barils et des produits manufacturés comme les toiles. En 1483, il y a 344 navires bretons dans le port d'Arnemuiden en Hollande. Au XVe siècle, la Bretagne était riche.

L'économie de la Bretagne est tournée vers l'agriculture et les industries agroalimentaires, le tourisme estival (principalement sur la côte), ainsi que des pôles technologiques de télécommunication (Rennes, Lannion)



La Bretagne historique (incluant le département de la Loire-Atlantique) représente la première région de pêche de France, totalisant 47 % de la production en volume.
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   Posté le 04-06-2008 à 16:27:37   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

9ème question : En gastronomie citez quelques spécialités régionales, et donnez celle de Douarnenez, prenez sa photo.

Parmi les spécialités régionales on peut citer le kouign amann (gâteau au beurre), les crêpes, les galettes, les kouigns,le harstum (à base de confiture), le far breton (gâteau), le palet (biscuit), le kig-ha-farz (litt. « viande et far » et la cotriade. La proximité des côtes et la douceur du climat font de la Bretagne une région riche en fruits de mer (crabes, crustacés, coquillages) et en poissons. Citons également le beurre blanc.



Le kouign amann est un gâteau à pâte feuilletée, spécialité régionale de Douarnenez en Bretagne, dont le nom breton signifie : kouign : gâteau ou brioche et amann : beurre

Le kouign amann est proposé dans un grand nombre de boulangeries-pâtisseries en Bretagne. On le trouve sous forme de "galette" ronde pour 4 à 12 personnes, comme sur la photo ci-dessus, de parts découpées dans un grand plat rectangulaire, mais aussi en gâteau individuel, souvent façonné et cuit dans un moule jetable.

Le kouign amann est aussi produit et commercialisé par la grande distribution par des biscuiteries ou autres producteurs industriels. La qualité de ces produits "longue conservation" est cependant très éloignée de celle du produit frais vendu en boulangerie
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   Posté le 04-06-2008 à 16:33:02   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

10ème question : Qu’est-ce que le Gwenn ha du, décrivez-le et où le trouve t’on souvent maintenant, prenez sa photo.



Le drapeau moderne de la Bretagne s'appelle le Gwenn ha Du (écrit également « Gwenn-ha-Du »), termes bretons signifiant « blanc et noir ». Il est aujourd'hui utilisé sur les bâtiments publics en Bretagne (hôtels de ville, conseils généraux, conseil régional) et sur de nombreuses propriétés privées (entreprises, particuliers, magasins, navires, automobiles, etc.).

Le drapeau de la Bretagne actuellement le plus répandu, le Gwenn ha Du (« blanc et noir » en breton) a été dessiné en 1923 par Morvan Marchal, architecte et militant nationaliste breton. Il comporte 9 bandes horizontales alternées (5 noires et 4 blanches), avec au bord supérieur gauche un canton au semé d'hermines plain. Comme son nom l'indique, ce drapeau n'a aucun élément coloré, ce qui est très rare.
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   Posté le 04-06-2008 à 16:37:03   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

11ème question : Le Bro gozh ma zadoù est l’hymne national Breton, ces paroles sont de François Jaffrenou, donnez les paroles de cet hymne en breton naturellement.

« Ni, Breizhiz a galon, karomp hon gwir Vro !
Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-dro.
Dispont kreiz ar brezel, hon tadoù ken mat,
A skuilhas eviti o gwad.
Diskan :
O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro.
Tra ma vo 'r mor 'vel mur 'n he zro.
Ra vezo digabestr ma Bro !
Ar Vretoned a zo tud kalet ha kreñv ;
N'eus pobl ken kalonek a zindan an neñv,
Gwerz trist, son dudius a ziwan enno,
O ! Pegen kaer ec'h out, ma Bro !
Diskan
Breizh, douar ar Sent kozh, douar ar Varzhed,
N'eus bro all a garan kement 'barzh ar bed,
Pep menez, pep traonienn, d'am c'halon zo ker,
Enne kousk meur a Vreizhad taer !
Diskan
Mard eo bet trec'het Breizh er brezelioù bras,
He yezh a zo bepred ken bev ha bizkoazh,
He c'halon birvidik a lamm c'hoazh 'n he c'hreiz,
Dihunet out bremañ, ma Breizh ! »



« Nous Bretons de cœur, aimons notre vrai pays !
L'Arvor est renommée à travers le monde.
Sans peur au cœur de la guerre, nos ancêtres si bons
Versèrent leur sang pour elle.

Refrain :
O Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays
Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle.
Sois libre, mon pays !
Les Bretons sont des gens durs et forts ;
Aucun peuple sous les cieux n'est aussi ardent ;
Complainte triste ou chant plaisant s'éclosent en eux.
Oh ! Combien tu es belle, ma patrie !
Refrain
Bretagne, terre des vieux Saints, terre des Bardes,
Il n'est d'autre pays au monde que j'aime autant ;
Chaque montagne, chaque vallée est chère à mon cœur.
Y dorment plus d'un Breton héroïque !
Refrain
Si autrefois la Bretagne as fléchi durant les grandes guerres,
Sa langue est restée vivante à jamais,
Son cœur ardent tressaille encore en elle.
Tu es réveillée maintenant ma Bretagne ! »


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   Posté le 04-06-2008 à 16:48:53   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

12ème question : Vous arrivez à Brest, donnez les records de température maximale et minimale de Brest, prenez quelques photos de la ville.



Brest est une ville française de Bretagne, chef-lieu d’un arrondissement du département du Finistère (29). Son nom en français provient du nom breton qui serait une forme abrégée de Beg ar Rest (la pointe du château). Ses habitants sont appelés les « Brestois et Brestoises » (en breton Brestad ha Brestadez). En breton, Brest se prononce [bʁest].




Les records de température maximale et minimale à Brest (aéroport de Guipavas) entre 1945 et 2001 sont respectivement de 35,2 °C le 12 juillet 1949 et -14 °C le 28 janvier 1947. La température moyenne est de 10,9 °C. Les précipitations sont supérieures à 2,5mm 112 jours par an.


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   Posté le 04-06-2008 à 17:00:44   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

13ème question : Dans l’ancien régime, citez les deux grands personnages qui ont contribué à l’essor de Brest, prenez leur photo


HENRI IV


En 1593, Henri IV donne à Brest le titre de ville et en 1631, Richelieu fait de Brest un port militaire. Il crée alors le port et les arsenaux, sur les rives de la Penfeld. Ces constructions nécessitèrent une main-d’œuvre abondante qu’il fallut loger.

En 1683, Vauban fortifia la ville. À la fin du règne de Louis XIV la ville est désormais constituée et compte environ quinze mille habitants.

En 1686, venus par la mer à bord de l’Oiseau et de la Maligne, débarquent à Brest, trois ambassadeurs du roi de Siam accompagnés de six mandarins, trois interprètes, deux secrétaires et une vingtaine de domestiques, chargés de nombreux présents, ils venaient rendre visite au roi Louis XIV à Versailles. Empruntant à pied la rue Saint-Pierre, ils émerveillèrent les Brestois qui rebaptisèrent la rue en rue de Siam.

Au XVIIIe siècle, l’ingénieur brestois Antoine Choquet de Lindu dirigea les travaux du port et, en 1750, bâtit le bagne de Brest qui ne sera désaffecté qu’au milieu du XIXe siècle. Vidocq, fils d’un boulanger d’Arras et le plus célèbre forçat brestois, parviendra à s’en évader.

Parmi les amiraux de l’Ancien Régime qui ont commandé la Marine, le port et la ville de Brest, mention spéciale doit être faite de la dynastie des amiraux de Roquefeuil dont le père Jacques Aymar de Roquefeuil et du Bousquet puis le fils Aymar Joseph de Roquefeuil et du Bousquet ont occupé cette fonction pendant trente-trois ans à eux deux (1728/1740 puis 1761/1782). Une rue du quartier de Recouvrance porte encore leur nom.


RICHELIEU
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   Posté le 04-06-2008 à 17:14:52   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

14ème question : a) Le château de Brest (prenez sa photo), abrite depuis 1955 quel musée national ?



Etabli sur une assise gallo-romaine du IIIè siècle, le château de Brest fut achevé par Vauban au XVIIè siècle. Manifestation de la puissance des Comtes de Léon jusqu’au milieu du XIVèsiècle, enclave anglaise pendant cinquante ans, convoitée par la Bretagne, l’Angleterre, la France, la forteresse du bout de la terre était considérée au Moyen Age comme le plus fort château du monde.

Très endommagé lors de la seconde guerre mondiale, pendant le siège de Brest d’août à septembre 1944, le château restauré dans sa majesté multiséculaire est l’un des monuments majeurs de la Bretagne. Abritant dans sa cour intérieure le siège du commandement maritime du théâtre Atlantique et la préfecture maritime, il est sans doute de très loin, la plus vieille place militaire active du monde.

Simple mur flanqué de tours, érigé par une légion romaine suivant le principe de l’éperon barré, le castellum antique fut renforcé inlassablement, d’abord rempart de la ville enclose jusqu’au XVIè siècle, puis garant de la protection du port militaire voulu par Richelieu et développé par Colbert.

De Conan, Hervé ou Even de Léon à Villegagnon, Chevalier de Malte, d’Hervé de Portzmoguer, l’Amiral breton, aux chefs d’Escadre des flottes royales, de la reine Anne au conventionnel Jeanbon Saint-André, de Richard II d’Angleterre au GI de la seconde guerre mondiale, de Duguesclin à Cadoual, le Château de Brest a vu se dessiner la France à travers l’histoire mouvementée de la Bretagne.

Insensible aux bouleversements et aux drames, résidence princière, prison ou forteresse, son destin est lié depuis dix-sept siècles à celui de la ville de Brest.



La visite du Château de Brest commence au pied du portail érigé à partir de 1464 sur ordre de Jean V de Bretagne. En gagnant la Tour Madelaine qui abrite l’accueil, le visiteur longe la courtine sud dont la base laisse apparaître l’appareil de pierre et de briques du mur gallo-romain du IIIè siècle. Construite à l’emplacement d’une des dix tours antiques, la Tour Madelaine est aujourd’hui le plus puissant ouvrage défensif du château.

Elle conserve ses murs du XVè siècle, dont l’épaisseur atteint une douzaine de mètres. Sa plate-forme modernisée par Vauban offre une vue magnifique sur la rade de Brest. Par la courtine sud plantée de pins, on gagne le chemin de ronde du portail Paradis érigé au XVè siècle, qui a conservé, avec son immense toit d’ardoises, l’aspect des fortifications médiévales. La courtine nord conduit au donjon qui domine la Penfeld, imbrication puissante de tours et d’ouvrages érigés entre le XIIIè siècle et le XVIIè siècle. Il se compose de deux tours principales. La tour Duchesse Anne (XIVè abrite un oratoire où vint prier la reine en août 1505 au cours d’un pèlerinage en Bretagne. Elle avait été accueillie au château par son capitaine, Gilles de Texue, dont on voit le gisant dans la chapelle.

La tour est reliée à la tour du donjon (XVIè par un ouvrage voûté construit au XVIIè siècle par Vauban. De l’extérieur du donjon, le sommet de la tour Azénor (XIIIè offre une belle vue sur la Penfeld et le quartier de Recouvrance.

Avec la tour César qui supporte un sémaphore et une tour de contrôle des mouvements du port, la tour Azénor est la plus ancienne relique du premier château médiéval. Une légende fait de cet emplacement la prison d’Azénor, fille du Comte Even, accusée injustement d’adultère en 537 et jetée à la mer dans un tonneau confiée à la miséricorde divine. Elle aurait abordé cinq mois plus tard en Irlande, mettant au monde un fils, le futur Saint-Budoc « sauvé des eaux ». Autour du donjon, vers la ville, règne le bastion Sourdéac, érigé au XVIè siècle.

La visite du château se poursuit à travers la cour intérieure du donjon et les salles, aujourd’hui souterraines en partie, de la tour Duchesse Anne.



Le Château de Brest abrite le Musée de la Marine.


Le Musée de la Marine de Brest est l’un des établissements décentralisés du Musée de la Marine de Paris (Palais de Chaillot). Installé en 1827 au Louvre autour d’une collection constituée en 1748, le Musée de la Marine et le Musée de Saint-Pétersbourg fondé par Pierre Le Grand sont les plus vieux musées maritimes du monde.

La collection de modèles de navires du Musée de la Marine est sans équivalent. Evoquant l’art des charpentiers des arsenaux royaux, la collection rassemblée à Brest rappelle l’histoire de l’arsenal de Richelieu et des grandes flottes de haute mer à l’apogée de la voile.

C’est à Brest que fut armée la flotte de Grasse dont la victoire sur la flotte anglaise à la Chesapeake le 30 août 1781 permit la victoire de Yorktown le 19 octobre et l’indépendance de l’Amérique.
Le 1er août 1785, l’Astrolabe et la Boussole de Lapérouse partirent pour un voyage autour du monde dont elles ne reviendraient jamais.
Une grande part de l’histoire navale de la France trouve ici toute sa mémoire et tout son potentiel d’émotion.

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   Posté le 04-06-2008 à 17:22:04   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

b) Décrivez le centre océanopolis de Brest (prenez sa photo).



Océanopolis est un parc de découverte, proposant un tour du monde des océans. Trois pavillons vous emmènent en voyage autour du globe dans les zones tempérées, polaires et tropicales. Mêlant des approches scientifiques et spectaculaires, ce parc recense près de 10.000 animaux marins et offre un aperçu de la variété de la flore maritime. L'auditorium propose des documentaires filmés sur les monstres des profondeurs animales ou les animaux polaires. En prime, le parc permet de découvrir les fonds marins de Bretagne. Une découverte de tous les océans du globe et les espèces animales et végétales qui y vivent.

dany
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   Posté le 04-06-2008 à 17:31:55   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

15ème question : Allez à Douarnenez, quelle est la devise de la ville.


Douarnenez est une commune française du département du Finistère en Bretagne. Port de pêche florissant jusqu'à la fin des années 1970 et début 1980, il a connu un très net déclin depuis. L'activité de la pêche y est aujourd'hui marginale mais de nombreux bateaux y débarquent leur pêche. C'est également un port de plaisance important du Finistère avec Tréboul et le Port-Rhu.

Ses habitants portent le nom de Douarnenistes ; leurs voisins les appellent parfois (notamment les femmes) Penn sardin, en référence à la coiffe que portaient les femmes et qui ressemble à la tête d'une sardine (penn signifiant tête en breton).
La commune fut agrandie en 1945 en fusionnant avec les communes voisines de Ploaré, Pouldavid et Tréboul.

La devise de la ville est : Dalc'h mad, qui signifie Tiens bon


dany
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   Posté le 04-06-2008 à 17:46:40   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   

Puis prenez une chambre à l’auberge de Kerveoc'h qui est une ancienne ferme près de la plage du Ris, prenez une photo de l’auberge et d’une chambre
Vous pouvez y rester jusqu'à la semaine prochaine pour la seconde partie de la rando




L'Auberge de Kerveoc'h est une ancienne ferme de caractère, authentique, rénovée avec goût dans la tradition bretonne, en campagne, au calme à l'entrée de Douarnenez (accès par la route de Quimper D765) et près de la plage du Ris.

Lieu privilégié de séjour et base idéale d'excursions (moins d'une demi-journée) vers tout ce qui contribue à la beauté ou à la richesse touristique de la Cornouaille Bretonne.

Accueil chaleureux et ambiance familiale dans un cadre exceptionnel.




Youpiiiiiiiiii wolf nous offre une semaine de vacances


dany
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   Posté le 04-06-2008 à 17:48:31   Voir le profil de dany (Offline)   Envoyer un message privé à dany   



RANDOS BRETAGNE 1ER PARTIE TERMINEE


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Wolf-Samantha
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Wolf-Samantha
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   Posté le 05-06-2008 à 11:48:54   Voir le profil de Wolf-Samantha (Offline)   http://line-samantha.monsite-orange.fr/   Envoyer un message privé à Wolf-Samantha   

Dany toutes mes félicitations très belle randonnée, bonne documentation détaillée et belles photos bravo randonnée réussie bon repos à l'auberge Wolf

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